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Alixan

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Alixan
Alixan
L'église Saint-Didier.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Jean-Claude Duclaux
2020-2026
Code postal 26300
Code commune 26004
Démographie
Gentilé Alixanais
Population
municipale
2 645 hab. (2021 en évolution de +6,48 % par rapport à 2015)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 58′ 33″ nord, 5° 01′ 42″ est
Altitude Min. 163 m
Max. 224 m
Superficie 28,28 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourg-de-Péage
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Alixan
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Alixan
Liens
Site web mairiealixan.fr

Alixan est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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La commune, traversée par le 45e parallèle nord, est donc située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).
L'intersection du 45e parallèle nord et du 5e méridien à l'est de Greenwich se trouve sur le territoire de la commune (voir aussi le Degree Confluence Project)[réf. nécessaire].

Situation et description

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Alixan se trouve à 114 km de Lyon et à 80 km de Grenoble. Bien que d'aspect encore partiellement rurale, la commune est rattachée à la communauté d'agglomération Valence Romans Agglo.

Communes limitrophes

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Relief et géologie

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Hydrographie

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La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • le canal secondaire n° 2 de la Bourne ;
  • la Barberolle.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 852 mm, avec 7,6 jours de précipitations en janvier et 5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valence-Chabeui »sur la commune de Chabeuil à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 873,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports

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panneau routier de la RN532 près d'Alixan

La commune est traversée par le périphérique valentinois (route nationale 532) et par la route départementale 538 (axe de Romans-sur-Isère à Crest).

La gare de Valence TGV est située sur le territoire communal d'Alixan.

La commune d'Alixan est desservie par le réseau de bus Citéa.

Au , Alixan est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,8 %), cultures permanentes (15,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,8 %), zones urbanisées (2,4 %), mines, décharges et chantiers (1,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Alixan est un exemple de village circulaire dans la Drôme. Le village s'enroule en trois anneaux autour d'un piton central en molasse.

Hameaux et lieux-dits

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Projets d'aménagement

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Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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Autres risques

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Attestations anciennes

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La forme moderne Alixan n'est attestée qu'au Xe siècle[13].

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :

  • 915 : villa de Alexiano (cartulaire de Romans, 96) (étudié par Ernest Nègre[15]) ;
  • 1157 : castrum Alexiani (Gall. Christ., XVI, 104) ;
  • 1163 : Aleissais (cartulaire de Léoncel, 11) ;
  • 1192 : Aleissa (cartulaire de Léoncel, 47) ;
  • 1194 : Alaisan (cartulaire de Léoncel, 54) ;
  • 1194 : Alexanum (cartulaire de Léoncel, 65) ;
  • 1223 : castrum de Alisio (cartulaire de Léoncel, 91) ;
  • XIIIe siècle : Alixsan (J. Ollivier, Essais sur Valence, 324) ;
  • 1344 : castrum Aleysano (Cart. Cleyriaci [cartulaire de Clérieux], 54) ;
  • 1442 : Alexia (choix de documents, 273) ;
  • 1540 : Alexianum (du Rivail, De Allobrog., 77) ;
  • 1549 : cura Aleyziani (rôle de décimes) ;
  • 1549 : Alissan (rôle de tailles) ;
  • 1580 : Leyssans (Mémoires d'E. Piémond, 131) ;
  • 1754 : Alleissan (archives de la Drôme, E 4576) ;
  • 1891 : Alixan, commune du canton de Bourg-de-Péage.

Étymologie

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Ce toponyme dérive du nom latin Alexianus[15] (du grec alexein (« dominer ») et du suffixe latin de propriété -anum, qui a donné la terminaison -an caractéristique du sud de la France (-ano en Italie). Il signifie la « terre d'Alexius », Alexius étant probablement le premier propriétaire d'une villa romaine à l'origine du village.

Antiquité : les Gallo-romains

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Présence romaine : découvertes du XIXe siècle (monnaies, tuiles). À la suite de la guerre des Gaules, la fondation de la colonie de Valence entraîne la distribution de terres aux anciens légionnaires dans la plaine de Valence[réf. nécessaire].

Du Moyen Âge à la Révolution

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La seigneurie

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Elle fut, dans un partage des biens de cette église, attribuée aux évêques qui la gardèrent jusqu'à la Révolution[14].

Histoire détaillée

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Du milieu du XIIIe siècle au milieu du XIVe siècle : Alixan est la victime des guerres entre les comtes de Valentinois et les évêques de Valence qui durent presque un siècle. En 1357. Le village est détruit par un incendie provoqué par les troupes comtales[réf. nécessaire].

Possession des comtes de Valentinois[13][réf. à confirmer].

1349 : Le Dauphiné est rattaché au royaume de France.

En 1448 et 1450, le château d'Alixan reçoit la visite du futur Louis XI de France, alors Dauphin de Viennois (voir Dauphiné)[réf. nécessaire].

À la fin du XVe siècle, Alixan, comme d'autres communes de la région, accueille des réfugiés de l'Église évangélique vaudoise, courant religieux issu du catholicisme, mais précurseur de la Réforme protestante[réf. nécessaire].

Au XVIe siècle, le village subit les guerres de Religion. Il est pris et repris alternativement par les catholiques et les huguenots à plusieurs reprises. Il y eut de nombreux dégâts (remparts, église, château, prieuré de Coussaud)[réf. nécessaire].

Les registres paroissiaux d'Alixan les plus anciens datent de 1553. Ils sont accessibles sur le site web des archives départementales de la Drôme. L'acte le plus ancien concerne la naissance d'Antoine Gonin, fils de Jean, né le .

XVIIe et XVIIIe siècles : la commune subit des épidémies et des catastrophes naturelles qui détruisent les récoltes. Des loups dévorent des enfants en 1717[réf. nécessaire].

Sous l'Ancien Régime, la communauté gérait ses affaires de manière autonome, tous les habitants ayant part à l'assemblée du village, mais elle était assez peu fréquentée[16].

1789 (démographie) : 386 familles[14].

Avant 1790, Alixan était une communauté de l'élection, subdélégation et bailliage de Valence.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église était dédié à saint Didier et dont les dîmes appartenaient au prieur de Coussaud[14].

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[17] :

  • 1165 : Cozau (cartulaire de Léoncel, 12).
  • 1192 : parrochia de Cossau, parrochia de Cozau, prior de Couzaut et Cousau (cartulaire de Léoncel, 47).
  • 1195 : Coszau (cartulaire de Léoncel, 57).
  • 1207 : prior de Coczau (cartulaire de Léoncel).
  • 1240 : claustrum de Cossaut (cartulaire de Romans, 370).
  • 1264 : Corzau (cartulaire de Léoncel, 217).
  • 1275 : prioratus Sancti Martini de Cossaud (cartulaire de Léoncel, 237).
  • XIVe siècle : prioratus de Cossaudo (pouillé de Valence).
  • XVe siècle : prioratus Alessiani sive de Cossauda (pouillé de Valence).
  • 1891 : Coussaud, chapelle et quartier de la commune d'Alixan.

Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Augustin (dépendant du prieuré de Saint-Félix de Valence puis de l'abbaye de Saint-Ruf) dont le titulaire était décimateur dans la paroisse d'Alixan.

De la Révolution à aujourd'hui

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Lors de la Révolution française, les évêques de Valence perdent leurs droits sur Alixan. Les terres détenues par des institutions religieuses, comme l'abbaye de Léoncel ou le prieuré de Coussaud, sont vendues comme biens nationaux et acquises par des familles d'Alixan[réf. nécessaire].

En 1790, la commune d'Alixan est compris dans le canton de Montélier. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Bourg-de-Péage[14].

Au XIXe siècle, Alixan reste une commune agricole. Elle perd une partie de son territoire en 1850 lors de la création de la commune de Saint-Marcel-lès-Valence[réf. nécessaire].

Après la révolution de février 1848, c’est le camp conservateur qui remporte les élections nationales. Le commissaire de la république, Ferlay, met en place des mesures autoritaires pour réduire l’influence de la gauche dans la Drôme, département républicain qui a envoyé 6 députés Montagne sur 7 à l’Assemblée. Ces mesures sont facilitées par la proclamation de l’état de siège à la suite du complot de Lyon. Et pour prévenir une résistance armée à ces mesures, il fait collecter les armes de tous les habitants, exceptés ceux jugés surs. Une colonne de 500 soldats de la garnison de Romans passe ainsi de commune en commune pour ramasser les armes qui ont normalement été déposées en mairie[18].

À Alixan, la réaction au coup d’État du 2 décembre 1851 est faible, alors que la plupart des communes de la région s’était organisées pour s’armer et converger vers Valence ou Crest. La nouvelle du coup d’État est connue le 3. La mobilisation des insurgés fut décidée, selon les lieux, pour le 6 ou le 7. Le seul évènement à Alixan fut, le soir du 7 décembre, la circulation de groupes de 10 à 20 personnes après 23 heures (heure solaire, minuit heure actuelle). Du 6 au 8, la répression disperse les groupes d’insurgés dans les communes alentours. Le calme revenu, le préfet Ferlay lance la répression. La nuit du 16 au 17, plusieurs hommes, venus se faire raser au village ou moudre leur blé, sont attablés au cabaret. De leur côté, le commissaire de police de Bourg-de-Péage, quelques gendarmes et dix soldats du 32e de ligne et leur sergent arrêtent le maire du village, Drevet, puis se dirigent vers le village pour interpeller le cabaretier. Quand ils entrent au cabaret, tout le monde prend peur et s’enfuit : un tailleur est blessé d’un coup de baïonnette, et des coups de feu sont échangés. Deux autres villageois sont blessés, un soldat est tué. Trois personnes ne peuvent s’échapper et sont enchaînées. La troupe arrête encore l’instituteur, puis une autre personne à Châteauneuf-d’Isère, et conduit tout le monde à la prison de Romans. Le maire est révoqué et remplacé par Trouillet[19].

Alors que la répression dure toujours, vient le plébiscite destiné à légaliser le coup d’État après coup, les 21 et 22 décembre. Les fugitifs sont encore traqués par les gendarmes et l’armée qui quadrillent la campagne, les perquisitions se succèdent, l’état de siège est encore en vigueur. Les autorités laissent entendre que si les habitants votent « bien », les condamnations seront moins sévères. Alors que les bulletins ‘’Oui’’ sont imprimés et fournis aux électeurs, celle des bulletins ‘’Non’’ est interdite, et c’est aux électeurs qui souhaitent s’opposer au plébiscite de fabriquer eux-mêmes le leur. Enfin, le vote se fait en remettant le bulletin plié au maire qui le glisse lui-même dans l’urne. Dans ces conditions, le secret du vote n’est pas respecté : les dossiers des inculpés mentionnent si la personne a voté ‘’Oui’’ ou ‘’Non’’, le fait étant parfaitement connu des autorités[20].

Au début du XXe siècle, les habitants d'Alixan subissent les méfaits des bandits surnommés « les chauffeurs de la Drôme », notamment à la ferme des Blancs, où deux personnes de la famille Dorier sont assassinées en 1908[réf. nécessaire].

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le village est placé sous haute surveillance par les forces d'occupation à cause de la proximité du Vercors. Il subit quelques dégâts à la suite des brefs combats qui ont lieu lors de la remontée de la vallée du Rhône par les armées alliées[réf. nécessaire].

Politique et administration

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Mairie d'Alixan.

Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1830      
1830 1848 Joseph-François Payan-Dumoulin    
1848 1852 Ennemond Drevet   révoqué en décembre 1851
1852 1860 Jean Antoine Alexis Trouiller    
1860 1870 Ennemond Drevet    
1870 1874 Pierre Rozeron    
1874 1876 Jean Antoine Alexis Trouiller    
1876
(élection ?)
1876 Pierre Rozeron    
1876
(élection ?)
1878 Hyppolite Gilibert    
1878 1886 Pierre Rozeron    
1886
(élection ?)
1904 Jacques Gilibert    
1904 1904 Lucien Junillon    
1904
(élection ?)
1911 Homère Barbier    
1911
(élection ?)
1912 Jean Merle    
1912 1919 Paul Faibie    
1919 1942 Homère Barbier   révoqué
1942 1945 Henry Lacour    
1945 1965 Georges Barbier    
1965 1977 Emile Descombes    
1977 1983 Marc Lafont    
1983 1997 Albert Merle    
1997
(élection ?)
2008 Yves Dufaud SE  
2008 2014 Josette Lefort DVG  
2014 2020 Aurélie Bichon Larroque SE  
2020 En cours
(au 11 février 2021)
Jean-Claude Duclaux[21][source insuffisante] SE-DVD  

Rattachements administratifs et électoraux

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Alixan abrite le siège de la communauté d'agglomération Valence Romans Agglo.

Politique environnementale

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  • Amélioration de la gestion des déchets ainsi qu'une meilleure intégration dans le paysage des containers de tri sélectifs.
  • Mise en place d’une démarche de gestion des espaces verts moins gourmands en eau et qui a pour but d’aboutir à la suppression des produits phytosanitaires à horizon 2016.
  • Utilisation d’éco-matériaux pour la rénovation de l'école élémentaire.

Finances locales

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Population et société

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Démographie

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En 2021 en évolution de +6,48 % par rapport à 2015, la commune d'Alixan comptait 2645 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2006, 2011, 2016 pour Alixan). Les autres chiffres sont des estimations.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8081 9521 9212 1952 4292 4342 4892 5511 951
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0561 9881 9521 8551 7511 6191 6611 5911 540
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4801 4731 4901 2231 2081 1731 1821 0951 208
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 1421 1491 0991 3351 7032 0802 2172 4552 497
2021 - - - - - - - -
2 645--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

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Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Manifestations culturelles et festivités

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  • Le Dauphiné libéré est un quotidien régional distribué sur l'agglomération de Valence. Il a une rédaction valentinoise.
  • L'Écho Drôme Ardèche est un journal économique, basé à Valence. Il couvre les deux départements précités[24].
  • Drôme Hebdo (anciennement Peuple Libre) est un journal hebdomadaire catholique basé à Valence. Il couvre l'actualité de tout le département de la Drôme.
  • L'Agriculture Drômoise est un journal agricole et rural. Il couvre l'actualité de tout le département de la Drôme.

Agriculture

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En 1992 : céréales (coopérative agricole), fruits (coopérative de fruits et légumes), ovins[13].

Commerce et industrie

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Une partie du parc technologique et scientifique Rovaltain est située sur le nord-ouest de la commune. Elle est dénommée quartier de la Gare.

Revenus de la population et fiscalité

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine culturel

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  • Artisanat d'art : poterie[13].

Patrimoine naturel

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Alixan possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Abbé Vincent, Notice historique sur Alixan, Valence, .
  • J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, 1891, page 5.
  • Jean-Noël Couriol, Alixan histoire et tourisme, Les Amis du Vieil Alixan, .
  • Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, , 192 p..
  • Une histoire d'Alixan en mots et en images, Le Passé Licorne, .

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Alixan et Chabeuil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Valence-Chabeui », sur la commune de Chabeuil - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Valence-Chabeui », sur la commune de Chabeuil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valence », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b c d e f et g Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Alixan.
  14. a b c d et e J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 5 (Alixan).
  15. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, page 640, (ISBN 2600028838).
  16. Roger Pierre, « Libertés et contraintes des communautés villageoises dans les pays de la Drôme à la veille de la Révolution », Études drômoises, no 64,‎ , p. 21.
  17. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 116 (Coussaud).
  18. Robert Serre, 1851. Dix mille Drômois se révoltent. L’insurrection pour la République démocratique et sociale, préface de Maurice Agulhon, co-édition Peuple libre/Notre temps, s.l., 2003. (ISBN 2-912779-08-1 et 2-907655-42-6), p. 56.
  19. R. Serre, op. cit., p. 225-226.
  20. R. Serre, op. cit., p. 226-227.
  21. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Site web de l'Echo Valentinois.