Villers-Plouich
Villers-Plouich | |||||
L'église Saint-Quentin. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Cambrai | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Cambrai | ||||
Maire Mandat |
Pascal Bruniaux 2020-2026 |
||||
Code postal | 59231 | ||||
Code commune | 59625 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villersois | ||||
Population municipale |
389 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 35 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 04′ 47″ nord, 3° 08′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 78 m Max. 131 m |
||||
Superficie | 10,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Cambrai (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Cateau-Cambrésis | ||||
Législatives | Dix-huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
modifier |
Villers-Plouich est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code](50° 04′ 43″ N, 3° 07′ 58,6″ E)
Villers-Plouich a hérité de son histoire la particularité d'être une commune avec un centre et deux hameaux :
- Beaucamp, distant du centre d'1,5 km, et qui compte une vingtaine d'habitations ;
- La Vacquerie, distant de 2,5 km du centre de la commune, et qui compte trente-cinq habitations et dispose d'une église et d'un cimetière.
-
Entrée du hameau. -
La chapelle Notre-Dame des Champs de Beaucamp.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]-
Entrée du bourg. -
Panorama.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la rivière L'Eauette[1],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Escaut ». Ce document de planification concerne un territoire de 2 005 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Escaut. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Escaut et Affluents (SyMEA)[2].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 691 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 33 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Villers-Plouich est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cambrai, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,7 %), zones urbanisées (2,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %), forêts (0,2 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par le réseau de transports urbains de la Communauté d'agglomération de Cambrai appelé TUC (Transports Urbains du Cambrésis), par la ligne 14[14],[15]. La ligne S120 permet de rejoindre le collège de secteur à Gouzeaucourt.
Toponymie
[modifier | modifier le code]En 1096 et en 1101, nous trouvons cité le nom de Altare sancti quintini de villeri (Villers-Plouich), ce village étant situé sur la chaussée romaine de Cambrai à Fins (actuellement départementale 80) près de Combles. En 1164 on trouve Villarium, en 1233 Villare le Ploych, en 1240 El Ploich, en 1261 Vilers le Ploich et Villare le Ploich en 1349[16],[17]. Selon les sources ces noms s'interprêtent comme : « village de branches entrelacées »[18], ou « village, exploitation agricole » (du mot ploue)[16] ou encore « métairie d'une terre labourée », du bas-latin plogetum, « terre labourable », ou ploum, « charrue à deux roues »[17].
Toponymie des deux hameaux
[modifier | modifier le code]La toponymie des hameaux du village a aussi évolué au fil du temps, ainsi Beaucamps est devenu en 1134 Belcamp puis Belcampo en 1139. Il y avait à cette époque une curte à Beaucamp, une curte étant une partie de la population religieuse placée dans une exploitation agricole. À sa tête se trouvait généralement un magister qui était le chef d'une curte ; il y en avait un en 1188. Dans le passé, il existait de vastes souterrains avec 44 grandes chambres et 52 petites chambres.
Beaucamp s'était appelé successivement :
Toponymie du hameau de la Vacquerie.
Le hameau de la Vacquerie s'était successivement appelé :
Histoire
[modifier | modifier le code]La commune et notamment le hameau de la Vacquerie ont été le théâtre de violents combats lors de la Première Guerre mondiale, notamment durant la bataille de Cambrai[21].
L'unité des 8 silos enterrés[Quoi ?] pour réserves de carburant OTAN existe à proximité de la ville (50° 05′ 29,5″ N, 3° 08′ 37″ E)
Le soir du un important orage provoque des inondations à Villers-Plouich[22] et dans les communes environnantes. Un décès est constaté sur la commune[23]. Le relief vallonné du village a accentué les dégâts[24]. Le hameau de la Vacquerie n'a pas été touché, se trouvant sur un point haut.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Maire de 1802 à 1807 : L. A. Farez[25],[26].
Jean Leterme, agriculteur, a été président de l'union syndicale agricole du Cambrésis de 1973 à 1984. Raymond Machut a été président de la Communauté de communes de la Vacquerie de 2001 à 2008.
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
---|---|---|---|---|
Début | Fin | |||
Jean Leterme (d)[27],[28] ( - ) | 12 ans et 3 mois | Parti socialiste | ||
Raymond Machut (d)[29],[30],[31],[32],[33] (né le ) | 24 ans et 11 mois | Parti socialiste | ||
Pascal Bruniaux (d) (né le ) | En cours | 4 ans, 5 mois et 3 jours |
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2021, la commune comptait 389 habitants[Note 3], en évolution de −6,27 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 210 hommes pour 188 femmes, soit un taux de 52,76 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Églises Saint-Quentin et Saint-Joseph
- L'église Saint-Quentin fut réalisée par Pierre Leprince-Ringuet entre les années 1924 et 1930. S'y retrouvent les caractéristiques stylistiques du grand architecte.
- Au hameau de la Vacquerie, l'église Saint-Joseph date aussi de la reconstruction consécutive à la Grande Guerre. Elle fut aussi l'œuvre de Pierre Leprince-Ringuet, ingénieur centralien et architecte grand prix de Rome.
- Les deux cimetières militaires britanniques de la Première Guerre mondiale: Fifteen Ravine Cemetery et Sunken Road Cemetery Villers-Plouich.
-
L'église Saint-Quentin. -
La mairie. -
Le monument aux Morts. -
Le cimetière militaire Fifteen Ravine. -
Le cimetière militaire Sunken Road sur la route de Beaucamp.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune de Villers-Plouich se blasonnent ainsi : |
Jumelages
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne)
- Eugène Mannier, Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Paris, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, (lire en ligne).*Histoire du village : Revue de l'association Cambrésis terre d'histoire numéros 28, 29 et 30.
- Histoire du hameau de la Vacquerie : Michel Hary, La Vacquerie, pièces d'archives, consultable en ligne.
- Villers-Plouich dans la bataille de Cambrai : K.W Mitchinson, Villers-Plouich and the Five Ridges. Battleground Europe - Hindenburg Line, première édition, Pen and Sword, Barnsley, Londres, 1999, 158 pages (index inclus). (ISBN 0-85052-658-2) et (ISBN 978-0-85052-658-5)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- (fr) Présentation de la commune sur le site Tourisme en Cambrésis.
- (fr) « La communauté de communes de La Vacquerie »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- Villers-Plouich sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Villers-Plouich » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Insee
[modifier | modifier le code]- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
Autres références
[modifier | modifier le code]- « Fiche communale de Villers-Plouich », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- « SAGE Escaut », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villers-Plouich et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Villers-Plouich ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cambrai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Horaires lignes de bus TUC », sur tuc-cambresis.fr (consulté le ).
- « Plan du réseau TUC » [PDF], sur tuc-cambresis.fr, (consulté le ).
- Mannier 1861, p. 316.
- Boniface 1866, p. 313.
- Page intitulée Histoire du village, informations tirées d'un ancien numéro du journal communal de Villers-Plouich.
- Abbé Boniface, Études sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, 1866, page 303 : Vaccaria (vacherie) : lieu où paissent les vaches, terre inculte livrée au pâturage ; fut ainsi dite par opposition à Couture (Metz-en-Couture) et Plouich (Villers-Plouich), mots qui désignent des terres en cultures''. Pour plus de détails sur la toponymie, voir Michel Hary, La Vacquerie, pièces d'archives, page 1.
- Attention, certaines photos de ce type étaient des mises en scènes destinées à illustrer les combats sans exposer le photographe ni les soldats
- Voir Michel Hary, La Vacquerie, pièces d'archives, pages 125, 126 et 127. Le hameau de la Vacquerie est perdu en décembre 1917, et repris le 29 septembre 1918 par la 46e division anglaise, lors de la deuxième bataille de Cambrai.
- Article du quotidien gratuit 20 Minutes : Inondations dans le Nord: «on ne peut ni entrer ni sortir du village». (consulté le 12 septembre 2008)
- Dépêche de l'AFP : Inondations près de Cambrai: décès d'une femme piégée par les eaux. (consulté le 14 septembre 2008)
- Article du quotidien gratuit 20 Minutes : Inondations dans le Nord: les raisons d'une catastrophe. (consulté le 12 septembre 2008)
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807 », sur lillonum.univ-lille.fr, p. 154-155. Images 184-185.
- « Villers-Plouich : Jean Leterme, ancien maire, est décédé », La Voix du Nord, : « Jean Leterme est décédé ce lundi matin à l’âge de 79 ans. [...] En effet, il fut tour à tour président de l’union syndicale agricole du Cambrésis de 1973 à 1984, adjoint au maire de 1979 à 1983 et de 1995 à 1997, maire de 1983 à 1995, et enfin conseiller municipal. »
- « Villers-Plouich : le complexe sportif Jean-Leterme a été inauguré », La Voix du Nord, : « Le nouveau complexe sportif, situé route de Marcoing, comprend un terrain de football ainsi qu’un terrain de boules a »
- Paul Sion, « Cambrésis : leur combat contre les éoliennes », L'Observateur du Cambrésis (d), : « Raymond Machut, maire de Villers-Plouich, s’étant exprimé publiquement contre ce projet. »
- « Raymond Machut, maire de Villers-Plouich, n’a pas évoqué clairement sa candidature », La Voix du Nord,
- « Bilan des maires. Villers-Plouich, Raymond Machut : un mandat difficile après les inondations mais « ce qui était prévu a été fait et même plus ! » », La Voix du Nord, : « Conseiller municipal de 1983 à 1989, élu premier adjoint en 1989, puis maire dès 1995, on peut dire que Raymond Machut connaît les ficelles de la fonction. Pourtant ce troisième mandat aura été hors-norme… En 2014, le maire de Villers-Plouich comptera dix-neuf années au poste de maire – il a aussi été président de la Communauté de communes de La Vacquerie de 2001 à 2008. »
- « Villers-Plouich : un quatrième mandat de maire pour Raymond Machut à Villers-Plouich », La Voix du Nord, : « Pour l’élection du maire, le seul candidat, Raymond Machut, a été élu avec neuf voix et un bulletin blanc. »
- Maurice Leclercq, Cambrésis, 1900-2002 : Son industrie & son commerce, Nord Patrimoine Éditions, , 255 p. (ISBN 978-2-912961-22-8), p. 238 :
.« Communauté de la Vaquerie (Raymond Machut, maire de Villers-Plouich) »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villers-Plouich (59625) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- La Banque du blason - 59625.
- Jumelage non formalisé, voir le site Comité Cambrésis Europe.