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Saint-Hilaire-le-Grand

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Saint-Hilaire-le-Grand
Saint-Hilaire-le-Grand
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Châlons-en-Champagne
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Suippes
Maire
Mandat
Antonia Paquola
2020-2026
Code postal 51600
Code commune 51486
Démographie
Gentilé Charbodiers (Charbaudiers), Charbodières (Charbaudières)
Population
municipale
368 hab. (2021 en évolution de +7,92 % par rapport à 2015)
Densité 8,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 10′ 19″ nord, 4° 27′ 52″ est
Superficie 42,39 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Argonne Suippe et Vesle
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Hilaire-le-Grand
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Saint-Hilaire-le-Grand

Saint-Hilaire-le-Grand est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés Charbodiers et Charbodières, qu'on peut aussi voir écrit Charbaudiers et Charbaudières.

Géographie

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Localisation

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La commune de Saint-Hilaire-le-Grand est située au nord de Châlons-en-Champagne et à l'est de Reims.

Situation de Saint-Hilaire-le-Grand.

Géologie et relief

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Saint-Hilaire-le-Grand se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[1].

Voies de communication et transports

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La commune est traversée par la D 931, reliant Valmy à l'aéroport de Reims en Champagne. Cette route fait partie dans sa totalité de la Voie de la Liberté, qui commémore la victoire des Alliés et la libération de la France, de la Belgique et du Luxembourg durant la Seconde Guerre mondiale. Des bornes kilométriques spécifiques y sont installées.

Perpendiculairement, la commune est également traversée par la D 19, reliant Grauves à Souain-Perthes-lès-Hurlus.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans la région hydrographique « la Seine du confluent de l'Oise (inclus) à l'embouchure » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Suippe, l'Ain et le Cheneu[2],[Carte 1].

La Suippe, d'une longueur de 82 km, prend sa source dans la commune de Tailly et se jette dans l'Aisne à Saint-Juvin, après avoir traversé 27 communes[3].

Le Cheneu, d'une longueur de 12 km, prend sa source sur le territoire de Saint-Hilaire-le-Grand et se jette dans la Vesle à Livry-Louvercy, après avoir traversé quatre communes[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Saint-Hilaire-le-Grand[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Aisne Vesle Suippe ». Ce document de planification, dont le territoire s’étend sur 3 096 km2 répartis sur trois départements (Aisne, Marne et Ardennes) et deux régions (Champagne-Ardenne et Picardie), a été approuvé le 16 décembre 2013. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Syndicat d’aménagement des bassins Aisne Vesle Suippe (SIABAVES)[5].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 726 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, appelée « Mourmelon-grand », sur la commune de Mourmelon-le-Grand à 8 km à vol d'oiseau[8], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 651,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,7 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au , Saint-Hilaire-le-Grand est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 294 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25 %), forêts (8,4 %), zones urbanisées (1,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

La commune de Saint-Hilaire-le-Grand a connu de nombreuses appellations au fil du temps. Elle était autrefois surnommé le Ménissier (vers 1274)[18], pouvant représenter la forme assimilée de marnessier, surnom désignant l'ouvrier marneur qui répandait la marne sur les terres à labourer.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Hilarius (vers 850) ; Saint-Hillier (1218) ; Sanctus Ylerius (1234) ; Seint-Elier (1245) ; Saint-Elier, Seintelier, Sanctus Ilarius, Sanctus Hylarius (vers 1252) ; Sanctus Elerius (1256-1270) ; Sanctus Hilerius (1271) ; Saint-Ilier (1273) ; Saintelier, Seint-Hillier, Saint-Hylier, Saint-Ylier le Menesier (vers 1274) ; Sanctus Hillerius Manasseri (1285) ; Saint-Hyler, Saint-Hiler (vers 1300) ; Sanctus Hilarius Manasseryus (1303-1312) ; Sanctus Hilarius Menesseri (1346) ; Saint-Hillier-le-Meineur (1397) ; Sanctus Hilarius le Menissier (1398) ; Saint-Hillier le Mennessier, Saint-Ylier le Mennessier (1398) ; Saint-Yllier le Menessier (1444) ; Saint-Yllier le Menissier (1444) ; Saint-Telier (xve siècle) ; Sanctus Hilarius Manasserii (1554) ; Saint-Hilier-le-Menissier (1603) ; Le Grand-Saint-Hillier (1605) ; Saint-Hillaire-le-Menissier (1643) ; Saint-Hilaire-le-Menissier (1676) ; Sanctus Hilarius le Menuisier (1679) ; Grand-Saint-Hilaire (XVIIIe siècle) ; Hilaire-le-Ménissier (1793) ; Montain (1794)[19].

Saint-Hilaire est un hagiotoponyme évoquant Hilaire de Poitiers.

La commune de Saint-Hilaire-le-Grand, située en Champagne crayeuse, est une commune rurale, traversée par la Suippe grossie de l'Ain.

Le site était déjà occupé au Ier siècle de notre ère. La carte du territoire rème affichée au musée de Reims fait correspondre Saint-Hilaire-le-Grand à l'ancienne station de Basilia située sur la voie romaine allant à Verdun.

Si les Romains ont laissé derrière eux un témoignage important (restes de l'aqueduc souterrain reliant Jonchery-sur-Suippe à Reims, nécropole à la ferme du mont Levrat, voie romaine), il reste bien peu de traces du Moyen Âge, les destructions des guerres en étant en grande partie responsables.

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement les noms de Hilaire-le-Ménissier et de Montain[20].

La commune est pendant un temps équipée d'une station hydroélectrique sur la Suippe pour subvenir aux besoins en électricité du village.

Politique et administration

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Intercommunalité

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La commune, antérieurement membre de la communauté de communes de la Région de Suippes, est membre depuis le de la communauté de communes de Suippe et Vesle.

En effet, conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de la Marne du [21],[22], les communautés de communes CC de la région de Suippes et CC des sources de la Vesle ont fusionné le afin de former la nouvelle communauté de communes de Suippe et Vesle[23].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1876 1877 Machet[24]    
  mars 1983 Jacques Gillet   Agriculteur
mars 1983 mars 1989 Hubert Gangand    
mars 1989 mars 1995 Renée Machet    
mars 1995 mars 2001 Hubert Gangand    
mars 2001 mars 2020 Agnès Person UMP Institutrice
Conseillère générale de Suippes (1998 → 2015)
Vice-présidente du conseil général de la Marne[Quand ?]
Députée suppléante de Benoist Apparu (06/2012 → 06/2017)
mars 2020 En cours Antonia Paquola    

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 368 habitants[Note 4], en évolution de +7,92 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
667675675646689690721743750
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
721664643612594560529524497
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
483480476260319340370376346
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
335335310327276309324326337
2017 2021 - - - - - - -
363368-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dispose d'une école primaire composée d'une école maternelle accolée à la Mairie et d'une école élémentaire en haut de la même rue. Elles regroupent les enfants des villages environnants (Souain-Perthes-lès-Hurlus, Jonchery-sur-Suippe, Aubérive, ...).

Un accueil périscolaire comprenant la restauration est proposé le midi dans la salle des fêtes adjacente.

Manifestations culturelles et festivités

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Une salle des fêtes accueille régulièrement des événements communaux ou privés.

La commune dispose d'un terrain de football et d'un terrain de tennis. Son vestiaire accueillait dans les années 1980 une équipe de football amateur, constituée de jeunes de la commune.

Comme pour la plupart des communes rurales en France, l'économie de la commune est historiquement très liée à l'agriculture et à l'élevage.

De nos jours, plusieurs dizaines d'agriculteurs sont actifs sur les territoires de la commune.

Un restaurant vietnamien, Le Chouchou, est installé depuis la fin du XXe siècle dans le village.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église et en arrière-plan la mairie.

L'église, reconstruite en 1925, conserve en témoignage des siècles passés un très beau christ du XVIe siècle aujourd'hui classé Monument historique.

Dans l'église, en entrant à gauche on trouve une grande plaque commémorative fixée sur le mur − en marbre, de plus d'un mètre de haut et de large − qui rappelle en termes élogieux le sacrifice héroïque pour la défense de la France du 3e régiment de zouaves, le , sous les ordres du lieutenant-colonel Louis.

Cimetière militaire et chapelle russes

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Située au lieu-dit l'Espérance :

  • La chapelle orthodoxe à proximité du cimetière militaire, est une chapelle-mémorial qui perpétue le souvenir des soldats russes tombés en France pendant les combats de la Première Guerre mondiale.
Chapelle et cimetière russe.
  • Cimetière militaire russe : 915 corps y reposent sur les 4 000 victimes du contingent russe qui participa à partir de 1916 aux combats sur le sol français.
    13 anciens du corps expéditionnaire se sont fait enterrer au nord de la chapelle et au côté de leurs anciens camarades, trois l'ont fait avec leurs femmes. Se trouvent là le colonel Rexine et deux médecins.
  • Monument orthodoxe aux soldats du 2e régiment spécial : de l'autre côté de la route, en face du cimetière, a été érigé en 1917 un petit monument orthodoxe, dans une petite clairière en bordure du camp de Mourmelon. Ce monument a été construit par les soldats du 2e régiment spécial à la mémoire de leurs camarades tués au combat.
  • Ermitage de Tous-les-Saints-de-Russie : un petit monastère orthodoxe, situé à la bordure de la RD 21, entre Aubérive et Mourmelon-le-Grand. Cet ermitage a été fondé dans les années 1930 par trois moines russes ; le supérieur, l'archimandrite Alexis Kireevsky, a participé à la consécration de l'église-mémorial. Cet ermitage est blotti dans un petit bois de bouleaux et de sapins, qui rappelle le paysage un peu mélancolique de la Russie. Toutefois, l'église, représentative de l'architecture en bois russe, vient de Finlande.

Personnalités liées à la commune

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  • Olga Sciou (née Thierry) a fêté ses 100 ans le et est ainsi devenue la 1re centenaire de ce village.

3 enfants, 6 petits-enfants (garçons), x arrière-petits-enfants, plusieurs arrière-arrière-petits-enfants. Elle est décédée le 17 juin 2007.[réf. nécessaire]

  • Paul Champenois, né à Saint-Hilaire-le-Grand en 1802, fut curé de l'église Notre-Dame-en-Vaux de Châlons et consacra sa vie à la restauration de cette église jusqu'à sa mort en 1870[28].

Décorations françaises

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Croix de guerre 1914-1918 : .

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Hilaire-le-Grand » sur Géoportail (consulté le 27 mai 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Plan séisme
  2. « Fiche communale de Saint-Hilaire-le-Grand », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  3. Sandre, « la Suippe »
  4. Sandre, « le Cheneu »
  5. « SAGE Aisne Vesle Suippe », sur gesteau.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-le-Grand et Mourmelon-le-Grand », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Mourmelon-grand », sur la commune de Mourmelon-le-Grand - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Mourmelon-grand », sur la commune de Mourmelon-le-Grand - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Hilaire-le-Grand ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Reims », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Annuaire-bulletin de la Société de l'histoire de France, vol. 145, , p. 153.
  19. Auguste Longnon, Dictionnaire topographique de la Marne, Paris, (lire en ligne), p. 241.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Jamais plus sans ma communauté de communes : La France et ses 36.000 communes pèsent à elles seules 37,5% du nombre de collectivités territoriales de premier niveau (les communes) de l'Union européenne ! Avec 1.600 habitants par commune en moyenne, la France est dernière de ce classement européen, à égalité avec la République tchèque, très loin de 36.000 habitants par commune aux Pays Bas ou au Portugal, des 17.400 en Belgique, des 10.300 en Slovénie, des 7.100 en Italie ou des 5.900 en Allemagne », L'hebdo du vendredi,‎ (lire en ligne).
  22. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne » [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
  23. « Arrêté préfectoral du 30 janvier 2013 portant création du nouvel Établissement public de coopération Intercommunale issu de la fusion de la Communauté de communes de la région de Suippes et de la Communauté de communes des Sources de la Vesle », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Marne, no 2 quater,‎ , p. 3-7 (lire en ligne [PDF]).
  24. Almanach économique, historique & administratif de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine de 1877, Reims, p164.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Jean-Paul Barbier Des Châlonnais célèbres, illustres et mémorables, 2000.