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Pierre Morange

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Pierre Morange
Illustration.
Fonctions
Maire de Chambourcy
En fonction depuis le
(29 ans, 4 mois et 19 jours)
Élection 18 juin 1995
Réélection 11 mars 2001
9 mars 2008
23 mars 2014
25 mars 2020
Prédécesseur Jean-Pierre Boillot
Député français

(18 ans, 4 mois et 18 jours)
Élection 1er juin 1997 (suppléant)
Réélection 16 juin 2002
17 juin 2007
17 juin 2012
Circonscription 6e des Yvelines
Législature XIe, XIIe, XIIIe et XIVe (Cinquième République)
Groupe politique RPR (1999-2002)
UMP (2002-2015)
LR (2015-2017)
Prédécesseur Michel Péricard
Successeur Natalia Pouzyreff
Biographie
Date de naissance (68 ans)
Lieu de naissance Clermont-Ferrand (France)
Nationalité Française
Parti politique RPR
UMP
LR
Profession Médecin généraliste

Pierre Morange, né le à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), est un homme politique français.

Membre du parti Les Républicains, il est député de la sixième circonscription des Yvelines de 1999 à 2017. Il est maire de Chambourcy depuis 1995.

Pierre Morange débute au milieu des années 1980 une carrière de médecin généraliste à Chambourcy.

Conseiller municipal dès 1989, il devient maire de Chambourcy en 1995. Choisi comme suppléant par Michel Péricard (journaliste et ancien maire de Saint-Germain-en-Laye) lors du scrutin législatif de 1997, Pierre Morange devient député de la 6e circonscription en au décès de Michel Péricard.

Il est réélu maire de Chambourcy en 2001 et élu député en 2002 avec plus de 67 % des voix. Il est réélu au premier tour en avec 54 % des voix, puis en avec 60 % des voix. En , il est à nouveau élu maire de Chambourcy avec 60 % des voix.

Il annonce, le , dans Le Parisien, employer sa compagne, dont il dévoile le nom : Anne Messier (conseillère régionale d'Île-de-France). Il dit également ne pas avoir embauché une proche, mais que c'est son assistante parlementaire qui est devenue sa compagne. Il se dit donc étranger à la polémique concernant l'emploi de proches en tant qu'assistant parlementaire, qui a éclaté après l'affaire Fillon. Pour lui, le seul sujet qui compte, c'est le caractère effectif du travail[1].

Notes et références

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  1. « Yvelines : vos députés font-ils travailler leurs proches ? », leparisien.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )

Liens externes

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