Merry-sur-Yonne
Merry-sur-Yonne | |||||
Eglise Saint-Denis | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Yonne | ||||
Arrondissement | Avallon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Avallon - Vézelay - Morvan | ||||
Maire Mandat |
Bruno Massias Jurien de La Gravière 2020-2026 |
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Code postal | 89660 | ||||
Code commune | 89253 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Médéricien | ||||
Population municipale |
191 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 8,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 33′ 50″ nord, 3° 38′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 122 m Max. 241 m |
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Superficie | 23,66 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Joux-la-Ville | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Yonne
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Merry-sur-Yonne est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Merry-sur-Yonne est une commune française située dans le sud du département de l'Yonne, à 33 km au sud de sa préfecture Auxerre par la D606 et le département de la Nièvre à seulement 6 km à l'est (commune de Surgy).
Avallon est à 27 km au sud-est, Dijon à 137 km aussi au sud-est et Paris à environ 203 km au nord-ouest[1].
Le parc naturel régional du Morvan commence à 10 km à vol d'oiseau au sud-est de Merry-sur-Yonne, avec Asquins[2].
Description, hydrographie
[modifier | modifier le code]Merry-sur-Yonne se situe dans la vallée de l'Yonne, affluent de la Seine, en rive gauche (côté ouest) de la rivière. Dans la région, l'Yonne coule généralement du sud au nord mais elle s'est creusé un méandre convexe à droite au niveau du bourg.
La largeur du lit majeur, donc de la plaine du fond de vallée, avoisine les 350 m de large pour environ 127 m d'altitude ; le bourg est à peine 10 m plus haut, à 135 m d'altitude moyenne.
Le fond de vallée est également occupé par le canal du Nivernais, qui partage occasionnellement le lit de l'Yonne. Il est bordé par de hautes falaises culminant à environ 190 m d'altitude, dont les fameux rochers du Saussois en rive droite de l'Yonne[2].
La commune inclut plusieurs grottes, dont la grotte de Rechimet, la grotte de la Grande Planchette, le Cachot de Ravereau et la grotte de la Roche aux Loup, toutes quatre explorées par le spéléo-club de Chablis[3]. Plusieurs de ces grottes sont des sites préhistoriques.
Transports
[modifier | modifier le code]La route départementale D100 traverse la commune du nord au sud, allant de la D606 à côté de Vincelles (17 km au nord) vers Vézelay (22 km au sud).
Les deux grandes routes les plus proches sont la D606 à l'est, dont les accès les plus proches sont à Arcy-sur-Cure (13 km), Saint-Moré et Voutenay-sur-Cure (16 km) ; et la N151 qui passe à Coulanges-sur-Yonne à l'ouest.
L'autoroute la plus proche est la A6, avec la sortie no 21 « Nitry » à 30 km au nord-est et la sortie no 22 « Avallon » à 34 km au sud-est[1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Mailly-le-Château | Mailly-la-Ville | |||
N | ||||
O Merry-sur-Yonne E | ||||
S | ||||
Crain | Châtel-Censoir | Brosses |
Hameaux
[modifier | modifier le code]D'une superficie totale de 2 366 hectares, la commune compte plusieurs hameaux en sus du bourg[2].
Les hameaux à proximité immédiate de Merry (moins de 1,5 km à vol d'oiseau) sont :
- le Saussois, au nord-est du bourg en rive droite de l'Yonne, renommé pour son site d'escalade auquel il donne son nom, l'ensemble de falaises calcaires des « rochers du Saussois » ;
- le Vieux Moulin au nord en bord de rivière ;
- la ferme des Vignes juste en face du Vieux Moulin, de l'autre côté de la rivière mais sur le plateau ;
- le château de la Tour, sur la falaise au sud-ouest du bourg, n'est constitué que du bâtiment éponyme ;
- la Rotisserie au nord-ouest, un ensemble de maisons en habitat dispersé à faible densité, sur le haut d'une falaise taillée par un ancien petit affluent de l'yonne.
Plus loin sur la commune se trouvent :
- la Rippe, en direction de Mailly-le-Château au nord, domine l'écluse de Ravereau depuis le haut de la falaise en rive gauche de l'Yonne ;
- ravereau au nord-est ;
- le Bois du Fourneau, la Croix-Ramonet et les Blonderies à l'est sur la route d'Avallon (D130) ;
- Magny (sur la D217) et Château Saint-Marc (sur la D321), au sud-est de Merry ;
- les Maisons, à l'ouest du bourg, jouxte la limite de communes avec celle de Mailly-le-Château[2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Lorraine, plateau de Langres, Morvan » et « Centre et contreforts nord du Massif Central »[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 702 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 776,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,8 | 0,7 | 2,9 | 5 | 8,6 | 11,9 | 13,8 | 13,7 | 10,2 | 7,8 | 4 | 1,6 | 6,8 |
Température moyenne (°C) | 3,7 | 4,4 | 7,7 | 10,5 | 14,2 | 17,8 | 20,1 | 20 | 15,9 | 12,1 | 7,2 | 4,4 | 11,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,5 | 8 | 12,4 | 16 | 19,8 | 23,7 | 26,4 | 26,2 | 21,6 | 16,4 | 10,5 | 7,1 | 16,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−22 16.01.1985 |
−15,5 10.02.1986 |
−13,9 01.03.05 |
−5,5 12.04.1986 |
−2 15.05.1995 |
1,6 17.06.1972 |
4 04.07.1968 |
3 31.08.1986 |
0 30.09.1995 |
−4,5 30.10.1997 |
−10,5 24.11.1998 |
−12,5 30.12.1996 |
−22 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,5 30.01.1967 |
20,8 23.02.1990 |
26,5 30.03.1989 |
28,9 25.04.07 |
33 15.05.1992 |
40 29.06.19 |
40 31.07.20 |
40,7 07.08.03 |
34 14.09.20 |
29,8 01.10.1985 |
22,3 07.11.15 |
18 14.12.1989 |
40,7 2003 |
Précipitations (mm) | 63,2 | 55,5 | 55,3 | 64,7 | 72,2 | 63,5 | 59,7 | 56,5 | 57,6 | 77,8 | 74,6 | 76,3 | 776,9 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
6,5 0,8 63,2 | 8 0,7 55,5 | 12,4 2,9 55,3 | 16 5 64,7 | 19,8 8,6 72,2 | 23,7 11,9 63,5 | 26,4 13,8 59,7 | 26,2 13,7 56,5 | 21,6 10,2 57,6 | 16,4 7,8 77,8 | 10,5 4 74,6 | 7,1 1,6 76,3 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Merry-sur-Yonne est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et protohistoire
[modifier | modifier le code]En 1850, deux haches de pierre ont été trouvées dans le lit de l'Yonne au pertuis de Magny[N 1]. L'une, de 15 à 20 cm, est en silex ; l'autre, de 10 cm de long, est en porphyre[14].
La grotte de la Roche au Loup (Merry-sur-Yonne) sur Merry est un site du bronze final III[15],[N 2]. Mais elle a aussi été occupée longtemps avant cette période. Entre autres objets plus anciens, y a été retrouvé un grattoir daté du Châtelperronien (environ -38 000 à −32 000 ans avant le présent), fait d'un fossile d'oursin taillé dont F. Poplin précise qu'il a été rapporté sur une grande distance, que ce fossile « ne faisait qu'un médiocre galet de matière première », et que son choix procède plus vraisemblablement d'une sensibilité psychologique « aux formes, à la matière, aux couleurs, sens de la découverte, de l'appropriation[16]... ». Cet oursin faisait partie du genre (disparu) des Micraster, datant du Crétacé[17].
Époque gallo-romaine
[modifier | modifier le code]À l'occasion d'un travail sur des déblais sur la route départementale D20 qui longe la rivière sous les rochers du Saussois, un grand nombre de monnaies romaines ont été mises au jour, datant des empereurs Tétricus et Gallien. Tout près de là a été trouvée une statuette de Mercure en bronze de 15 à 20 cm de hauteur[14],[N 3].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Des cercueils en pierre[N 4] ont été découverts sur le tracé de la route départementale 20, à la croisée de deux anciens chemins[14].
Le château de la Tour est construit au XIIIe siècle. Déjà au XIXe siècle il était en grande partie en ruines[18].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules à trois fleur de lys florencées d'or[19]. |
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Détails | Présent sur les plaques de rue. |
Économie
[modifier | modifier le code]Commune rurale, l'agriculture représente une part importante de son activité économique.
L'activité touristique de la commune provient principalement du site d'escalade des rochers du Saussois ainsi que du passage de bateaux de plaisance sur l'Yonne et le canal du Nivernais.
Aussi, il existe principalement trois entreprises de services dans la commune : deux comptant de 1 à 9 salariés et une comptant plus de 10 salariés[20].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration locale
[modifier | modifier le code]La commune de Merry-sur-Yonne comptant entre cent et cinq cents habitants, elle est dirigée par 11 conseillers municipaux. Pour le mandat 2014-2020, le maire de Merry-sur-Yonne est Bruno Jurien de La Gravière et ses deux adjoints sont Françoise Pigneur et Jean-Paul Sautreau. Pour le mandat 2020-2026, le maire est de nouveau Bruno Jurien de La Gravière, et ses deux adjoints sont Franck Thévenot et Bertrand du Passage.
De plus, Merry-sur-Yonne faisait partie de la communauté de communes de Forterre-Val d'Yonne, dont le siège se trouvait à Molesmes jusqu'au 1er janvier 2017, date à laquelle Merry-sur-Yonne a rejoint la communauté de commune d'Avallon-Vézelay-Morvan.
Enfin, la commune dépend du canton de Joux-la-Ville, dont les conseillers départementaux sont Colette Lerman et André Villiers, ce dernier étant également le président du Conseil départemental de l'Yonne.
Candidats | Voix | % Inscrits | % Exprimés | Élu |
---|---|---|---|---|
Arnaud Fleury | 80 | 51.61 | 93.02 | Oui |
Franck Thevenot | 79 | 50.96 | 91.86 | Oui |
Gabrielle Jeangerard | 78 | 50.32 | 90.69 | Oui |
Bertrand Du Passage | 77 | 49.67 | 89.53 | Oui |
Renée Ivon | 76 | 49.03 | 88.37 | Oui |
Bruno Massias Jurien
de La Graviere |
72 | 46.45 | 83.72 | Oui |
Jessica Beauchaud | 71 | 45.80 | 82.55 | Oui |
Jeannine Delvoye | 70 | 45.16 | 81.39 | Oui |
Soïzic Richard | 70 | 45.16 | 81.39 | Oui |
Philippe Picq | 67 | 43.22 | 77.90 | Oui |
Loïc Sautreau | 64 | 41.29 | 74.41 | Oui |
Il y a cinq femmes et six hommes pour onze sièges, soit 45,55 % de femmes et 55,55 % d'hommes au sein du conseil municipal.
Tendances politiques
[modifier | modifier le code]Les électeurs de Merry-sur-Yonne votent plutôt à droite, voire à l'extrême-droite, au moins depuis 2002. Ainsi, dans la commune, Nicolas Sarkozy arrive en tête des élections présidentielles de 2007 (29,49 % au premier tour, 58,70 % au second tour) et de 2012 au premier tour (22,76 %). De même, la droite remporte les élections législatives de 2002 et 2007, les élections européennes de 2009 et les élections départementales de 2015. Le Front National, quant à lui, arrive en tête du premier tour de l'élection présidentielle de 2002 (20,98 %) avant d'être battu par le candidat de la droite modérée au second tour. La liste Front National conduite par Florian Philippot arrive également en tête des suffrages lors des élections européennes de 2014 (22,77 %).
Cependant, les Mérédiciens peuvent voter ponctuellement à gauche. Par exemple, lors du second tour de l'élection présidentielle de 2012, François Hollande recueille 53,15 % des suffrages dans la commune. De même, lors des élections législatives qui ont suivi, le candidat de la gauche bat d'une voix le candidat de la droite[22].
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].
En 2021, la commune comptait 191 habitants[Note 2], en évolution de −7,28 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2006, Merry-sur-Yonne comptait 55,6 % d'hommes pour 44,4 % de femmes. Parmi la population, il y avait 25,4 % de célibataires, 64,9 % de personnes mariées, 2,7 % de personnes divorcées et 7 % de veuves et de veufs.
Cette même année, le taux d'activité était de 67,5 %, le taux de chômage de 7,8 %, et les retraités et pré-retraités représentaient 41,2 % de la population.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Denis de Merry-sur-Yonne, autrefois appelée église Saint-Augustin[14].
-
Église Saint-Denis, d'architecture romane -
Château de La Tour -
Lavoir sous la neige -
Monument aux morts -
Pont de la D217 sur le canal du Nivernais au nord de Merry, entre la D100 à gauche et l'Yonne (hors photo) à droite
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Luc Grimaud, dit "Grimo", sculpteur sur métaux, cinéaste tv, ancien président de l'association Mouv'Art[27] et président du collectif A.B.I.
- Bruno Jurien de La Gravière, maire du village et président de la 1re chambre du tribunal de commerce d'Auxerre.
Merry-sur-Yonne dans les arts
[modifier | modifier le code]- Le peintre nivernais Rex Barrat est l'auteur d'une huile sur toile intitulée Paysage de neige à Merry-sur-Yonne, visible au musée Auguste-Grasset de Varzy dans la Nièvre.
- Le film Rabbi Jacob réalisé par Gérard Oury et mettant Louis de Funès et Henri Guybet en vedette a été tourné en partie à Merry-sur-Yonne (scènes du lac).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Coordonnées du Pertuis de Magny (vers le sud de la commune) : 47° 32′ 51″ N, 3° 37′ 39″ E.
- Les sites du bronze final III ne sont pas très nombreux dans le sud-est de l'Yonne. Ce sont : les Milosiottes à Noyers ; le Gros Chêne à Cry ; le Coin à Argentenay ; le Petit Béru à Tonnerre ; les Roches à La Chapelle-Vaupelteigne ; grottes de Villiers-Tournois à Massangis ; Fontaine Sainte-Marguerite à Guillon ; Cisery ; les Fontaines Salées à Saint-Père-sous-Vézelay ; grotte au Larron à Voutenay-sur-Cure ; grotte de Nermont à Saint-Moré ; grottes et dépôt de fondeur (de métal) à Arcy ; et grotte de la Roche au Loup à Merry-sur-Yonne. Voir Poitout & Mordant 1979, p. 56.
- La statuette de Mercure en bronze était en 1868 au cabinet de Mr. Montaut, ingénieur des Ponts et Chaussées. Voir Quantin 1868, p. 37.
- Pour tous les cercueils en pierre connus dans l'Yonne en 1868, voir Quantin 1868, p. 285.
- Notes sur la population
- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- « Merry-sur-Yonne », sur google.fr/maps.
- Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) - cliquer sur "itinéraires".
- « Merry-sur-Yonne, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
- Spéléo Club de Chablis, Crots de l´Yonne, , 105 p. (lire en ligne), p. 48-51.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Merry-sur-Yonne » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Merry-sur-Yonne » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Merry-sur-Yonne ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Quantin 1868, p. 37.
- Bernard Poitout et Claude Mordant, « Les incinérations du Bronze final des Milosiottes à Noyers (Yonne) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 76, no 2, , p. 55-62 (lire en ligne, consulté le ), p. 56.
- « Aux origines néandertaliennes de l'art. Matière, forme, symétries. Contribution d'une galène et d'un oursin fossile taillé de Merry-sur-Yonne », L'Homme de Néandertal, vol. 5 « La Pensée », , p. 109-116. Cité dans Demnard et Neraudeau 2001, p. 709.
- François Demnard et Didier Neraudeau, « L'utilisation des oursins fossiles de la Préhistoire à l'époque gallo-romaine », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 98, no 4, , p. 693-715 (lire en ligne, consulté le ).
- Quantin 1868, p. 38.
- « 89253 Merry-sur-Yonne (Yonne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- « Merry-sur-Yonne (89660 - Bourgogne) - Tout savoir sur la commune », sur eterritoire.fr (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Résultats des élections régionales 2015 », sur LExpress.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Centre France, « Grimo, un pionnier de l'image » (consulté le ).
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Maximilien Quantin, Répertoire archéologique du département de l'Yonne, vol. 1, Paris, Imprimerie impériale (publié par ordre du ministre de l'Intérieur), coll. « Répertoire archéologique de la France », (réimpr. Res Universis, 1991), 291 p. (lire en ligne), p. 125 de la section « Yonne ».
Note sur la section « Yonne » : L'Yonne est le dernier des cinq départements présentés dans le document lié - après l'Oise (Emmanuel Woillez, 1862), l'Aube (Darbois de Jubainville, 1861), le Morbihan (M. Rosenzweig, 1863) et le Tarn (Hippolyte Crozes, 1865).
Accès direct à la section "Yonne" : dans le menu des pages de google livres (au-dessus et à droite de la fenêtre de lecture du livre), cliquer sur "c" (entre "Magnicourt" et "Saint-Léger-sous-Brienne").