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Max Barrau

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Max Barrau

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Fiche d'identité
Naissance (73 ans)
Beaumont-de-Lomagne (France)
Taille 1,70 m (5 7)
Poste Demi de mêlée
Carrière en senior
PériodeÉquipeM (Pts)a
1969-1972
1972-1973
1973-1974
1974-1982
Stade beaumontois
Stade toulousain
SU Agen
Stade beaumontois
Carrière en équipe nationale
PériodeÉquipeM (Pts)b
1971-1974 France 15 (4)[1]

a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.
Dernière mise à jour le 24 novembre 2021.

Max Barrau, né le est un joueur international français de rugby à XV, ayant évolué au poste de demi de mêlée.

Son neveu Mathieu Barrau a également joué à Agen et en équipe de France, tandis que son petit-fils Maxence Biasotto remporte le Championnat du monde junior en 2023 avec l'équipe de France des moins de 20 ans.

Max Barrau est sélectionné à quinze reprises en équipe de France, de 1971 à 1974. Formé à Beaumont de Lomagne, et international avec son club d'origine, il émigra d'abord un an au Stade toulousain (saison 1972-1973), puis au SU Agen (saison 1973-1974) avant de revenir dans son club de Beaumont. Cette volte-face lui fit perdre sa place en équipe de France à cause de 18 mois de licence rouge[2].[pourquoi ?]

Cette affaire comme l’interdiction du Rugby à XIII[3] ou encore le Bouclier de Brennus non attribuée à Grenoble en 1993[4],[5] est aujourd’hui considérée comme une des plus grandes injustices de l’histoire du rugby[6] et un véritable gâchis pour l´équipe de France car beaucoup le considèreraient comme le meilleur demi de mêlée français de l'époque (voire de la fin du vingtième siècle). Il est classé trois fois de suite meilleur demi de mêlée français entre 1971 et 1973 par l'hebdomadaire Midi olympique. Après, il n'est plus sélectionné que dans des équipes de France B avant de renoncer à toute sélection.

Il est sélectionné pour la tournée en Afrique du Sud de 1971 mais se brise la jambe au cours du premier match contre la province de l'Eastern Transvaal et doit rentrer immédiatement en France. Il est en revanche de la tournée en Australie de 1972 où il dispute les deux tests. Son match « référence » est un test-match remporté (13-9) en 1973 face aux All Blacks, où il est époustouflant. Il est par la suite supplanté par Richard Astre et Jacques Fouroux à cause de ses deux changements de clubs successifs, et notamment pour avoir quitté le SU Agen afin de revenir dans son club formateur pour raison familiale.

Statistiques en équipe nationale

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Notes et références

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  1. (en) « Max Barrau », sur en.espn.co.uk (consulté le ).
  2. « Barrau ou l’histoire d’un capitaine sacrifié », sur midi-olympique.fr, Midi olympique, (consulté le ).
  3. Jean-François Fournel, « Avant la Coupe du monde, l’histoire brisée du rugby à XIII », sur la-croix.com, (consulté le ).
  4. Richard ESCOT, « Le Top 5 des finales les plus marquantes », sur lequipe.fr, (consulté le ).
  5. Clément Garioud, « Ces sombres affaires qui ont entaché la réputation du rugby français », sur actu.fr, (consulté le ).
  6. « Max Barrau : un prince en terre d'Ovalie », sur ladepeche.fr, (consulté le ).

Liens externes

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