Landry de Nevers
Landri de Nevers | |
Titre | Comte de Nevers (989 - 1028) |
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Prédécesseur | (pas de prédécesseur connu ; auparavant: comtes bénéficiaires) |
Successeur | Renaud Ier de Nevers |
Allégeance | Duché de Bourgogne |
Suzerains | Otton-Guillaume de Bourgogne |
Conflits |
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Faits d'armes | Défense d'Auxerre (1003) |
Biographie | |
Dynastie | Maison de Nevers |
Naissance | vers 970 |
Décès | château de Gourdon |
Père | Bodon |
Mère | (nom inconnu) |
Conjoint | Mathilde de Bourgogne († 1005) |
Enfants |
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Landry ou Landri de Nevers ou de Maers (vers 970 - 1028), est le premier comte de Nevers héréditaire connu (989-1028).
Famille
[modifier | modifier le code]Quatrième du nom (actuellement connu) au sein de sa parentèle, Landry est le premier comte de Nevers héréditaire connu[1].
Son père se nommait Bodon et ne doit pas être confondu avec un premier Bodonem cité dans l'Histoire des comtes de Nevers comme le fils de Landry (I), neveu de Hildegaire[n 1]. Bodon, Bodo de Montibus[1] est le seigneur de Monceaux-le-Comte, il fit construire le château de Monceaux[1],[2]. Il a au moins un fils, Landry (IV) de Nevers ; et peut-être un autre fils qui aurait été reçu moine à Cluny[1],[n 2].
Sa mère, l'épouse de Bodon est inconnue[3] mais une hypothèse fondée sur un passage de l'Origo et historia brevis nivernensium comitum[4] lui donne une origine angevine[1].
- Conjoint, enfants
Vers 990, il est titulaire du comté de Nevers, par dévolution de son beau-père Otte-Guillaume qui administrait jusqu'alors le Nivernais. Ce transfert fut effectué avec l’assentiment du duc Henri Ier de Bourgogne et l'accord du roi Robert II le Pieux. C’est vers le milieu de ces années 990 que Landry est uni à Mathilde, la fille du comte de Mâcon-Bourgogne Otte-Guillaume – union prestigieuse avec cette descendante des Anscarides. Landry aurait eu d’un premier lit[5] des fils (portant les noms traditionnels de sa famille : Landry, Bodon ou Robert), mais qui seront écartés du droit au titre comtal de Nevers, réservé aux héritiers à venir d'avec Mathilde (Renaud et Guy) – condition sans doute requise pour achever la dévolution[6] du comitatus nivernais initiée quelques années auparavant.
De sa première union, Landry aurait eu trois enfants connus :
- Bodon de Nevers[n 3] (avant 995 - ~1023). Il devient comte de Vendôme par mariage avec Adèle d'Anjou, fille de Foulques III Nerra[7], recevant le titre au décès de l'oncle maternel de sa femme[3] ;
- Landry de Nevers (né avant )[n 3],[3] ;
- Robert de Nevers († ~1032). Il est fiancé avant 1028 à Mathilde (Mahilde), fille de Gimonis seigneur de Château-Gordon (Sancerre ; Gimon est un fidèle du comte Landry, qu'il accompagne vers 1027 dans une campagne menée contre Gilon Ier de Sully en représailles de ses exactions) et de sa femme[n 4],[n 5]. Le mariage n'est pas consommé et Mathilde se fait nonne : en 1034, elle restaure l'abbaye de Saint-Satur[3].
De son union avec Mathilde de Bourgogne (vers 983 - 1005), fille d'Otte-Guillaume[8], comte de Bourgogne, et d'Ermentrude de Roucy, il a eu pour enfants :
- Renaud Ier de Nevers[n 6], (Rainaldi, † 1040). Il épouse Alix de France (Advise, Hedwige, Avoie), fille du roi Robert II le Pieux et de sa troisième femme Constance d'Arles. Renaud devient comte de Nevers à la mort de son père en 1028[n 4]. Le frère de sa femme, Robert Ier de Bourgogne, décide, en tant que successeur du duc Henri Ier, de récupérer le comté d'Auxerre et attaque Renaud, qui est tué par un soldat le [n 7] à Saligniacum, vraisemblablement Seignelay[n 8],[9]. Il est enterré à l'abbaye Saint-Germain d'Auxerre[3],[10] ;
- Guy le Petit Bourguignon de Nevers († après 1035). Il est cité dans deux[3] chartes[n 4] de donation pour l’abbaye de Cluny (une datée de et l'autre d'avant 1032), mais il n'est pas sûr que ce soit le même « Widonis ». Une des chartes indique ce Widoni marié à une Acherada[n 9].
Mathilde décède le ou le au plus tôt en 1005[3].
Biographie
[modifier | modifier le code]Comte de Nevers (989)
[modifier | modifier le code]Vers 990, son beau-père Otte-Guillaume (fils adoptif du duc duc Eudes-Henri de Bourgogne, premier comte de Bourgogne (982-1026) et comte de Mâcon par mariage avant 981 ou 982[8]), le fait comte de Nevers pour sa fidélité[3],[n 10].
Lebeuf cite Hugues le Poitevin, rédacteur de la Chronique de Vézelay, qui donne de Landry un portrait flatteur : « Son château était ouvert aux riches et aux pauvres généralement qui allaient à Rome. Il les recevait tous indifféremment, & leur faisait bon accueil. […] Il donna de vive voix à l'abbaye de Saint-Germain d'Auxerre, le prieuré de S.Sauveur en Puisaie et celui de S.Pierre de Dezize en Nivernois [��] il accorda à la même abbaye le privilège d'exemption des droits de garde pour le prieuré de Mazilles […] en Nivernois »[11]. Concernant ces biens en particulier, Landri se contente en réalité de consentir à respecter ces remises de droits de garde et de maréchaussée accordées en premier lieu par le duc Eudes-Henri pour « Iranci, Aucep, Blegny et autres » terres possédées par Saint-Germain[2]. Il fait cependant une donation de plusieurs biens à l'abbaye de Flavigny le [n 11], et à l'abbaye de Cluny en 1010[3],[n 12].
Une satire de l'époque, Rythmus Satiricus[12], fait de lui un tout autre tableau d'un être machiavélique et plein de mauvaises intentions, l'accusant entre autres d'avoir « aidé à maintenir le deuxième mariage de Robert II avec Berthe de Bourgogne »[13].
Attaque par Archambaud de Bourbon
[modifier | modifier le code]Selon la chronique de Vézelay, Archambaud de Bourbon (fils d'Archambaud Ier, petit-fils d'Aymon Ier lui-même cousin de Hugues le Grand et de Hugues Capet) attaque Landry la même année 990 pour une question de frontière : « Bellum inter ligerim et elaverim fluvios inter Landrium comitem Nivernensen et Archambaldum principem »[14]. Les annales du Nivernais citent une bataille entre Landricum comitem et Archimbaldum aux Ides d'[3].
L'affaire Ascelin de Laon
[modifier | modifier le code]En 993, Landry de Nevers a réuni des preuves pour mettre en accusation l'évêque Ascelin de Laon devant les rois capétiens. Ce dernier aurait comploté avec l'empereur Otton III et le comte Eudes Ier de Blois pour placer le royaume des Francs de l'Ouest sous domination impériale. S’ensuit le procès dont nous avons deux précieux témoignages écrits : le récit de Richer et un poème de l’accusé lui-même, Ascelin. Ces deux sources s’éclairent mutuellement sans se contredire sur le fond. Ascelin reproche à Landry[15] d'avoir fait échouer le rapprochement tenté entre capétiens et ottoniens, l'évêque voulant faire passer le royaume franc sous la préséance de l'empereur des romains et des germains afin de faire revivre l'unité de l'empire chrétien d'Occident. Mais les deux rois eux refusent catégoriquement toute idée de subordination politique de la Francie occidentale. Et Ascelin doit répondre devant un tribunal de cette trahison. Landry est le témoin principal de l’accusation. Ascelin de Laon semble n’être pas allé jusqu’au bout de sa plaidoirie, il la terminera a posteriori, après avoir recouvré sa liberté et sa fonction, au travers de son poème "Rithmus satiricus". Pour le remercier de son action, Hugues Capet et son fils Robert II aurait fait de Landry le dapifer, le sénéchal de la cour royale[15].
Succession de Eudes-Henri de Bourgogne (1002-1005)
[modifier | modifier le code]Le duc Eudes-Henri Ier de Bourgogne, meurt en 1002 sans postérité, laissant un fils adoptif Otte-Guillaume et son neveu, le roi Robert II le Pieux comme héritiers possibles du duché de Bourgogne. Une guerre de succession de plus de trois ans s'ouvre. Landry de Nevers soutient son beau-père Otte-Guillaume et occupe Auxerre.
L'évêque d'Auxerre depuis 999 est Hugues de Chalon, également comte de Chalon et entièrement dévoué au roi[16] — contre son propre neveu[16] (Otte-Guillaume est le fils de Gerberge (en), demi-sœur de Hugues). Face à la très grande opposition qu'il rencontre à Auxerre, ville particulièrement dévouée à la cause bourguignonne[17], le comte-évêque passe une grande partie de cette période agitée retiré sur ses terres[18] pendant la durée du conflit, tenant ferme son comté contre le parti d'Otte-Guillaume[19].
Robert II fait appel au duc de Normandie Richard II, qui réunit 30 000 hommes. Après deux sièges infructueux, l'un devant Auxerre et l'autre devant l'abbaye Saint-Germain (toujours hors des murs de la ville à cette époque), en 1003 puis un dernier siège en 1005, le roi accepte d'envisager la paix avec Landry. La paix est revenu dans les comtés d'Auxerre, de Nevers et d'Avallon.
Plus tard, nous retrouvons Landry de Nevers, en 1023, lors d'un concile de paix : le concile d’Héry, présidé par l'archevêque de Sens Léotheric en présence du roi, de Gosselin archevêque de Bourges. Il vise à pacifier les relations entre le roi et le comte Eudes II en Bourgogne et en Champagne. Héry est tout proche des domaines du comte de Blois et de Troyes.
Puis Renaud le fils de Landry se fiance à la fille du roi Robert II, qui apporte en dot le comté d'Auxerre.
Décès
[modifier | modifier le code]Landry meurt au château de Gourdon le [3],[n 13].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Lien externe
[modifier | modifier le code]- (en) Charles Cawley, « Landry [IV] (-11 May 1028) », « Burgundy duchy - Nevers », ch. 1 : « Comtes de Nevers », section A : « Comtes de Nevers 990-1181 », sur Medlands - Foundation for Medieval Genealogy (consulté le ).
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean Lebeuf (abbé), Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre..., vol. 2, Auxerre, Perriquet, , 923 p. (lire en ligne).
- Jean Lebeuf (abbé), Ambroise Challe et Maximilien Quantin, Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre : continués jusqu'à nos jours avec addition de nouvelles preuves et annotations, vol. 1, Perriquet, , 544 p. (lire en ligne).
- Ignace-Joseph-Casimir Goube, Histoire du duché de Normandie, vol. 1, Rouen, Mégard, (lire en ligne), p. 141.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- L'Historia Nivernensium Comitum indique que « Hildegarii nepoti Landrico » épouse « uxore stirpis Andegavorum »", sans que l'on sache s'il s’agit de sa première ou deuxième femme. Voir Cawley, « Comtes de Nevers 990-1181 », note 17.
- En novembre 950 « Bodo » donne à l’abbaye de Cluny un bien situé « in pago Matisconense in villa Lanco », acquise d'un « Rainaldo cognate meo […] pro receptione filii mei » (« pour la réception de mon fils »), charte à laquelle souscrivent « Gisoni, Attoni, Landrici » (cartulaire de Cluny, t. I, 783, p. 737) ; mais il n'est pas certain que ce soit le même Bodo. Nous ne savons pas qui est Rainaldo mais le nom suggère une connexion familiale avec le comte de Nevers ; Settipani suggère qu'il est lié aux comtes d'Anjou par la mère de Bodo. Voir Cawley, « Comtes de Nevers 990-1181 », note 17.
- Une charte de donation du 28 juillet 1002 par « Landricus comes » à l'abbaye de Flavigny est souscrite par « Bodo filius eius, Landricus filius eius… » (cartulaire de Flavigny 29, p. 86). Cité dans « Landry [IV] de Monceau » (MedLands), note 32.
- Par charte faite entre 1028 et 1040, « Rainaldus comes Nivernensis » donne « Belmontis » à Cluny, pour les âmes de « Landrici patris mei…[et] Matildis matris mee et uxoris mee Advise et filiorum meorum qui presentes sunt… fratris mei Widonis et Rotberti et Walterii, Gilberti, Abonis, Hiterii, Hugonis, Richardi, Girosi », cette charte étant souscrite par « filii eorum Willelm » (cartulaire de Cluny, tome IV, 2811, p. 13). Cité dans « Landry [IV] de Monceau » (MedLands), note 46.
- Le Miracula Sancti Bernardi indique que « Landrico… Nivernensium comite » fiance « Rotberto uni suorum filio » (« Robert un de ses fils cadets ») à « Mahildem, Gimonis filiam » (Miracula Sancti Benedicti, auctore Andreæ monachi Floriacensis secundus, Liber V, XV et XVI, pp. 212-213). Cité dans « Landry [IV] de Monceau » (MedLands), note 50.
- Renaud Ier de Nevers est cité comme « Renaldum » fils de « Landricus primus hujus generis Comes Nivernis » (dans Origine et Historia Brevi Nivernensium Comitum, RHGF, tome X, p.258). Cité dans « Landri [IV] de Monceau » (MedLands), note 45.
- Le nécrologe de la cathédrale de Mâcon indique que « Raynaldus Nivernensis comes » est tué le « IV Kal Jun » (obituaires de Lyon II, Église cathédrale de Mâcon, p. 362 ; cité dans « Renaud [I] de Nevers » (MedLands), note 59. Le nécrologe de la cathédrale d'Auxerre indique que « comes Rainaldus » est tué le 29 mai, sans date ; voir Lebeuf 1743, vol. 2, p. 61 et « Renaud [I] de Nevers » (MedLands), note 60.
- À l'époque, "Seignelay" se prononce "Seilegney" et "Seillenay". Voir Lebeuf 1743, vol. 2, p. 61.
- « Gibaldus » fait une donation à Cluny en juin 1023, charte souscrite par « Landrici comitis, Rainaldi filii eius et uxoris eius, Widoni et uxoris eius Acherada… Rodberti filii Gibaldi » (cartulaire de Cluny, tome III, 2781, p. 805). Cité dans « Landri [IV] de Monceau » (MedLands), note 47.
- Lebeuf, souvent enthousiaste quant aux titres, donne à Landri celui de comte d'Auxerre (par ex. Lebeuf 1848, vol. 1, p. 252, Lebeuf 1743, vol. 2, p. 53...). Cependant - sauf erreur - aucune source n’est indiquée donnant ce titre à Landri, ce qui est surprenant pour une charge qu'il aurait gardée, selon Lebeuf (1743, p. 53), au moins 30 ans « dès la fin du siècle précédent » (années 990), à priori jusqu'à sa mort en 1028 : aucune donation, aucun acte, et surtout aucun des obituaires qui signalent sa mort ne le dit comte d'Auxerre, un comté pourtant aussi important que celui de Nevers.
Il est clair que Landri a rempli le rôle de comte d'Auxerre face à l’attaque de Robert II en 1003. Mais son suzerain Otte-Guillaume a pu lui donner la charge de défendre la ville sans pour autant l'instituer comte d'Auxerre. ? - La charte de donation du 28 juillet 1002 par « Landricus comes » à l'abbaye de Flavigny est souscrite par ses deux premiers fils : « Bodo filius eius, Landricus filius eius ». Cité dans « Landri [IV] de Monceau » (MedLands).
- La charte de donation en 1010 par « Landricus comes » à l'abbaye de Cluny est souscrite par son troisième fils Renaud ou Raynald : « […] Rainaldi eius filii […] ». Cité dans « Landri [IV] de Monceau » (MedLands).
En 1010, Landry. - Le Miracula Sancti Bernardi donne la mort de « Landrico…Nivernensium comite » au Gordone castro (E. de Certain (ed.) (1858), Miracula Sancti Benedicti (Paris), auctore Andreæ monachi Floriacensis secundus, Liber V, XV et XVI, pp. 212-213). Les Annales du Nivernais notent la mort de « Landricus comes » le « 1028 V Id Maii » (Annales Nivernenses, 1028, MGH SS XIII, p. 90). Le nécrologe de la cathédrale d'Auxerre note la mort de « Landricus comes » le , sans année indiquée (Lebeuf 1743, vol. 2, p. 61).
Cités dans « Landri [IV] de Monceau » (MedLands), notes 35, 36 et 37.
Références
[modifier | modifier le code]- (en) Charles Cawley, « section A : « Comtes de Nevers 990-1181 » », « Burgundy duchy - Nevers », ch. 1 : « Comtes de Nevers », sur Medlands - Foundation for Medieval Genealogy (consulté le ).
- Lebeuf 1743, vol. 2, p. 53, note (b).
- « Landri [IV] de Monceau » (MedLands).
- Ferdinand Lot, La Chanson de Landri, Romania, t. 32 no 125, , p. 15.
- Constance Brittain Bouchard, Sword, Miter and Cloister. Nobility and the Church in Burgundy (980-1198), Cornell University Press, .
- Raphaël Bijard, « Le premier conflit de l’ère capétienne (991 - 996) et sa phase de résolution (début du XIe siècle) – leur influence sur la genèse du domaine royal et l’évolution de la cour palatiale », sur Academia, .
- (en) Charles Cawley, « Renaud [I] de Nevers », « Anjou – Comtes d’Anjou, ducs d’Anjou », ch. 1 : « Comtes d'Anjou », section B : « Comtes d’Anjou 878-1060 », sur Medlands - Foundation for Medieval Genealogy (consulté le ).
- (en) Charles Cawley, « Otto-Guillaume († 1026) », « Burgundy duchy - Mâcon & Beaujeu », ch. 1 : « Comtes et vicomtes de Mâcon », section B : « Comtes de Mâcon (Ivrea) », sur Medlands - Foundation for Medieval Genealogy (consulté le ).
- Lebeuf 1743, vol. 2, p. 61.
- (en) Charles Cawley, « Renaud [I] de Nevers », « Burgundy duchy - Nevers », ch. 1 : « Comtes de Nevers », section A : « Comtes de Nevers 990-1181 », sur Medlands - Foundation for Medieval Genealogy (consulté le ).
- Lebeuf 1743, vol. 2, p. 57.
- Adalbero Laudunensis, « Rythmus Satiricus », trad. Sébastien Bricout, 2005, sur forumromanum.org (consulté le ).
- Bouchard (1987), p. 343, citing Adalbero of Laon, Rythmus satyricus 24. Cité dans « Landry [IV] de Monceau » (MedLands), note 31.
- Simon Coiffer de Moret, Histoire du Bourbonnais et des Bourbons qui l'ont possédé, 1, (lire en ligne), p. 99. Pour Archambaud de Bourbon petit-fils d'un cousin de Hugues le Grand et de Hugues Capet : p. 96.
- Sébastien Bricout, « Adalbero Laudunensis - Rythmus Satiricus », .
- Lebeuf 1743, vol. 2, p. 54.
- Lebeuf 1743, vol. 1, p. 233.
- Lebeuf 1848, vol. 1, p. 252.
- Lebeuf 1743, vol. 1, p. 234.