Lallaing
Lallaing | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Douaisis | ||||
Maire Mandat |
Jean-Paul Fontaine 2020-2026 |
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Code postal | 59167 | ||||
Code commune | 59327 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lallinois | ||||
Population municipale |
6 250 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 1 043 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 23′ 27″ nord, 3° 10′ 09″ est | ||||
Altitude | Min. 16 m Max. 30 m |
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Superficie | 5,99 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Sin-le-Noble | ||||
Législatives | Seizième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Nord
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Lallaing est une commune française, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France. La Compagnie des mines d'Aniche y a ouvert la fosse Bonnel.
Géographie
[modifier | modifier le code]La géographie explique les origines du village.
L'emplacement de Lallaing en bordure de la Scarpe a déterminé ses origines, son développement et marque encore sa vie. Les circonstances physiques ont imposé un remodelage par l'homme pour drainer, assainir et permettre sa mise en culture. Originellement, dans cette plaine très humide, seule une petite partie des terrains en bordure de Scarpe était à peu près sèche et dégagée (elle correspond actuellement à la place et ses environs immédiats).
Localisation
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Scarpe canalisée, le Bouchard, le fossé le Bouchard, le Godion, la dérivation du Bouchard Dans le Godion[1], le Bay Inverse[2], le Godion Inverse[3], le bay[4] et divers autres petits cours d'eau[5],[Carte 1].
La Scarpe canalisée et une section canalisée de la Scarpe, d'une longueur de 67 km, prend sa source dans la commune de Arras et se jette dans l'Escaut canalisée à Mortagne-du-Nord, après avoir traversé 34 communes[6].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang les Arbandries (1 ha)[Carte 1],[7].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[8].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 687 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 7 km à vol d'oiseau[11], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Lallaing est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[17]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (61,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (54,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (43,8 %), terres arables (31,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (15,7 %), prairies (6,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), forêts (0,3 %), zones humides intérieures (0,1 %)[20]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les lignes 3, 17 et 118 du réseau de transport Évéole.
Toponymie
[modifier | modifier le code]La ville de Lallaing doit son nom à Lug Lúaith, qui chez les celtes signifiait Lugus rapide. Au niveau de Lallaing se trouvait un gué sur la Scarpe, il était en permanence défendu par un ou plusieurs hommes en armes qui protégeaient ainsi la région lilloise, les plus grands champions de leur époque, les plus rapides à manier le glaive ou le javelot.
Histoire
[modifier | modifier le code]C'est sur cette partie de terre ferme que s'est installé, à une date très reculée, une communauté qui, en 1365, date du premier dénombrement connu, rassemblait déjà 60 « feux » soit 250 personnes environ. Mais cette situation au bord d'une rivière, lorsque l'absence de route imposait le recours à la voie d'eau, a très vite été considérée comme stratégique car la rivière servait de frontière entre les possessions de la Flandre et celles du Hainaut.
Dès 1184, il existait un château féodal sur une motte naturelle partiellement aménagée de 50 ares, puisque le comte de Hainaut y avait placé une forte garnison. C'est sans doute peu avant cette date que s'était installée à Lallaing une famille de seigneurs venus de Forest-sur-Marque, dans la région Lilloise, les Forest, qui prirent ensuite le nom de Lalaing quand ils se détachèrent de leur lieu d'origine.
En 1285, Jacques Bretel cite Simon et Simars de Lalaing parmi les invités du comte de Chiny, venus au tournoi de Chauvency-le-Château, en compagnie des Hondschoote, Ligne, Haussy, Montigny et des fils des comtes de Hainaut et Flandres…
Le , la France lance l'ordre de mobilisation générale. A Lallaing, comme à Aniche, dans le cadre de la fièvre patriotique, des mineurs refusent de descendre avec les mineurs allemands et polonais originaires des territoires allemands. Certains de ces Polonais demandent à s'engager dans l'armée française[21]
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Douai du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la seizième circonscription du Nord.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Douai-Nord[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Douai.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération du Douaisis, créée en 2002, et qui succédait au SMAEZI (syndicat mixte d'aménagement et d'équipement des zones industrielles). Depuis 2019, la communauté d'agglomération du Douaisis est devenue Douaisis Agglo.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Lors des élections municipales de 2014, la liste du maire sortant Thierry Dancoine (PCF) est battue par celle de Francis Dureux (DVD), distancée de onze voix.
Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 4 676 inscrits, dont 2 263 votants (48,40 %), 32 votes blancs (1,41 %) et 2 189 suffrages exprimés (96,73 %). Quatre listes sont présentes :
- la liste Lallaing 2020 : pour vous, avec vous ! menée par le maire sortant Jean-Paul Fontaine recueille 1 135 voix (51,85 %) et remporte vingt-trois sièges ;
- la liste divers droite Un nouveau cap pour Lallaing menée par l'ancienne première adjointe Nacéra Soltani[23] recueille 694 voix (31,70 %) et remporte quatre sièges ;
- la liste divers gauche L'avenir de Lallaing menée par le conseiller municipal d'opposition Bruno Robin[24] recueille 202 voix (9,23 %) et remporte un siège ;
- la liste divers gauche Objectif Lallaing menée par Joël Lenglin recueille 158 voix (7,22 %) et remporte un siège[25],[26].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Maire en 1828 (de 1828 à 1859?): Charles-Édouard de Montozon.
-
La tombe de Joseph Morel dans le cimetière de Lallaing.
-
Félix Lambrecht en 1874.
-
Tombe d'Émile Roger.
-
Jean-Paul Fontaine en .
Jumelages
[modifier | modifier le code]Ville | Pays | Période | ||
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Écaussinnes-Lalaing | Belgique | depuis le |
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].
En 2021, la commune comptait 6 250 habitants[Note 5], en évolution de +1 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 894 hommes pour 3 403 femmes, soit un taux de 54,04 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Sainte-Aldegonde
- Brasserie, malterie Charles Dufour, renommée Dufour-Dumont en 1927, puis Dufour Delhaye en 1946, construite en 1905 par Charles Dufour[42].
- Elle a cessé de fonctionner à la fin des années 1970 et est actuellement désaffectée. En 1927 la production s'élevait à 8000 hectolitres de bière conditionnée en bouteilles ; en 1946 la production de bière de fermentation haute et conditionnée en bouteilles atteignait les 5000 hectolitres.
- On y trouve : un atelier de fabrication à deux étages carrés sous un même toit (à longs pans brisés, couvert d'ardoises) que le logement patronal qui comprend sous-sol, un étage carré et étage de comble ; une pièce de séchage à trois étages carrés est couverte d'une terrasse ; un germoir à un étage carré avec toit à croupe ; passage couvert avec charpente métallique apparente ; et bureau au rez-de-chaussée.
- La ferme de Germignies (50° 23′ 26,82″ N, 3° 11′ 06,99″ E)
- Construite au XVIIe siècle il s'agit d'une des plus vielles fermes du Nord, et située près du pont de Germignies sur la Scarpe
-
Plaque du pont de Germignies.
-
Pont de Germignies.
- Le terril de Lallaing, sur lequel a été construit le premier grand lagunage naturel de la région[43],[44].
- La borne de Quéviron, située à 500 m de la ferme de Germignies au lieu-dit « Marais des Six Villes, a été placée là en 1288 pour marquer les territoires des échevins de Douai et de l'abbaye de Marchiennes afin de délimiter leurs territoires et éviter des différents de chasses et de pêche[45].
- Bloc de grès brut de 2,30 mètres de hauteur dont chacune de ces 4 faces représentent une paroisse Flines-lez-Raches, Lallaing, Marchiennes et Pecquencourt).
- Le château de Lallaing
- Au XIIe siècle le site est occupé évoluant vers une motte castrale puis une forteresse.
- Au XIIIe siècle les seigneurs de Lallaing possède le château dont le mur d'enceinte intègre l'église.
- Dans les Albums de Croÿ, trois gouaches donnent une vue précise du lieu à cette époque.
- Au XVIIe siècle le fief passe à la maison d'Arenberg. Après les guerres de Louis XIV le château se détériore rapidement. En 1904 la princesse d'Arenberg le vend à M. Morel, ses successeurs en 1943 le cède à la compagnie des mines d'Aniche.
- En 1959 la ville achète le bien et l'architecte douaisien M. Coisne conçoit le nouvel Hôtel-de-Ville sur l'emplacement du château. Les derniers éléments sont ainsi déconstruits. Il subsiste le pont et la porte d'entrée ainsi que dans le parc un pilori[46].
-
Albums de Croÿ, cartulaire de Lallaing, XVIe siècle.
-
Vestiges de l'entrée du château de Lallaing.
- Musée d'histoire et du patrimoine lallinois[Note 6], inauguré en et situé dans l'ancien presbytère, qui présente les travaux de la société historique locale[47].
- Le cimetière de Lallaing dans lequel on trouve notamment deux tombes du Commonwealth.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Simon de Lalaing, Chevalier de l'Ordre de la Toison d'or en 1431.
- Le Baron Nicolas-Joseph Scalfort y est décédé; et notamment la Baronne Scalfort dont la fondation en faveur des pauvres a donné lieu a un procès de février à [48].
- Jean-Paul Huftier (1944- ), artiste-peintre né à Lallaing.
Héraldique
[modifier | modifier le code]De gueules à dix losanges d'argent accolés et aboutés, trois, trois, trois et un. |
Description des armoiries dans l'armorial du Tournoi de Chauvency. |
Folklore
[modifier | modifier le code]Lallaing a pour géants Scalfort et Gordaine[51]
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Nord
- Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais
- Fosse Bonnel de la Compagnie des mines d'Aniche
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Lallaing sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Douai-Lens comprend quatre villes-centres (Douai, Hénin-Beaumont, Lens, Liévin) et 63 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Le musée est ouvert, gratuitement, en 2018 les jeudi de 14h à 17h et samedi de 9h à 12h.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Lallaing » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Sandre, « la dérivation du Bouchard Dans le Godion »
- Sandre, « le Bay Inverse »
- Sandre, « le Godion Inverse »
- Sandre, « le bay »
- « Fiche communale de Lallaing », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « la Scarpe canalisée »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lallaing et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Lallaing ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, page 61
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jean-Luc Rochat, « Nacéra Soltani veut que les habitants soient entendus », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162, , p. 21.
- Nello Benedetti, « Bruno Robin veut rendre Lallaing à ses habitants », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162, , A.
- « Élections municipales, Lallaing », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 33.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Lallaing », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 9.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
- « Annuaire statistique Département du Nord Année 1807 », p. 136/ Image 166..
- « Félix, Edmond, Hyacinthe Lambrecht (1819-1871) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- Reçu major de l'École Polytechnique (promotion X-1838).
- Notice CAUDRON Alphonse, Henri par Yves Le Maner, version mise en ligne le 4 novembre 2010, dernière modification le 4 novembre 2010
- Rémi Siniarski, « 80 personnes pour assister au premier conseil municipal », L'Observateur du Douaisis, no 59, , p. 17.
- « Résultats Municipales 2014 - Lallaing », Données du Monde, sur lemonde.fr (consulté le ).
- « Francis Dureux, le maire de Lallaing, est décédé ce matin », La Voix du Nord, (lire en ligne ).
- « Sans surprise, Jean-Paul Fontaine élu maire de Lallaing : Il n'y avait aucun suspense à attendre de cette élection qui s'est déroulée en fin d'après-midi, jeudi. Jean-Paul Fontaine a succédé à Francis Dureux comme attendu, facilement. Mais la lutte qui l'a opposé à Jocelyne Dubois pour cette succession et les changements opérés dans la liste d'adjoints ont laissé quelques traces », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « Les résultats ont été clairs et M. Fontaine bien applaudi. Mais ils ont montré qu'il restait des traces de la lutte qui a opposé, au sein de la majorité, M. Fontaine à Jocelyne Dubois, la 1re adjointe de M. Dureux. M. Fontaine a obtenu 17 voix mais Mme Dubois, qui n'était pas candidate, en a obtenu 3. M. Dancoine a obtenu les 5 voix de son groupe, M. Robin les 2 du sien. Avec un bulletin nul, on est arrivé au bon compte de 28 votants. M. Fontaine a donc été élu avec 17 voix quand il aurait pu en espérer 21 ».
- « Lallaing : Jean-Paul Fontaine conforté dans sa fonction de maire : Élu maire en septembre 2015 à la suite du décès de Francis Dureux qu'il avait rejoint en 2008, Jean-Paul Fontaine (50 ans) a conservé le fauteuil majoral à l'issue du conseil municipal qui s'est tenu mardi dans la salle des fêtes de l'hôtel de ville en mode distanciation sanitaire. », La Voix du Nord, (lire en ligne ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lallaing (59327) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « Brasserie Dufour Dumont, puis Dufour Delhaye », notice no IA59000142, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Aménagement expérimental du terril de Germinies », Présentation de la ville, sur lallaing.com, (consulté le ).
- « Lallaing : une visite du terril de Germignies-sud instructive », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Borne au Queviron, sise au Marais-des-Six-Villes », notice no PA00107559, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ancien château des comtes de Lallaing », notice no PA59000093, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inauguration du musée d'histoire locale - Pour mettre en valeur l'histoire locale : Les travaux de la société historique locale n'avaient pas de lieu pour être montrés au public. Le musée va permettre à tous d'en profiter... gratuitement », L'Observateur du Douaisis, no 807, , p. 16.
- Page ii - Notice historique et généalogique ancienne et illustre famille et comtes du nom de Lalaing par Félix Brassrt -Publié par Adam d'Aubers en 1847 archivé à l'Université de Gand numérisé par Google Books
- « http://douaisis.ifrance.com/page_523/lallaing.jpg »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Armorial de Lallaing, conservé la Bibliothèque Nationale de France, ms. fr. 24049 (ancienne collection Gaignières); in 4°, 81 ff. papier, [lire en ligne] sur Gallica.
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596, , p. 14-15