La Terrisse
La Terrisse | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Aveyron |
Arrondissement | Rodez |
Maire délégué | Géraud Valadier |
Code postal | 12210 |
Code commune | 12279 |
Démographie | |
Gentilé | Terrissien(ne) |
Population | 152 hab. (2013) |
Densité | 5,5 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 45′ 22″ nord, 2° 49′ 10″ est |
Altitude | Min. 820 m Max. 1 222 m |
Superficie | 27,6 km2 |
Élections | |
Départementales | Aubrac et Carladez |
Historique | |
Commune(s) d'intégration | Argences en Aubrac |
Localisation | |
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La Terrisse (La Tarriça en occitan) est une ancienne commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie, dans le Pays Haut Rouergue, (approuvé par arrêté le ) et devenue, le , une commune déléguée de la commune nouvelle d'Argences en Aubrac.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Graissac | Vitrac-en-Viadène | |||
Saint-Symphorien-de-Thénières | N | Alpuech | ||
O La Terrisse E | ||||
S | ||||
Huparlac | Cassuéjouls | Laguiole |
Site
[modifier | modifier le code]Le territoire de cette commune matérialise une fraction centre-sud du Massif central sur le plateau de la Viadène au nord-ouest du plateau de l'Aubrac. La Terrisse est située à 8 km de Laguiole, capitale du couteau du même nom et à 7 km de Sainte-Geneviève-sur-Argence.
Histoire
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de l'ancienne province du Rouergue où l'on communique grâce à une forme d'occitan languedocien : le dialecte rouergat.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Jusqu'en 2015 la localité était rattachée au canton N°33 de Sainte-Geneviève-sur-Argence dans la 1re circonscription de l'Aveyron dont le député est Yves Censi (UMP) élu au 2e tour avec un score de 50,67 %. Ce canton est intégré depuis au nouveau canton d'Aubrac et Carladez qui regroupe les régions naturelles de l'Aubrac et du Carladès.
La Terisse appartenait à la communauté de communes de l'Argence.
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[1]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[2],[Note 1].
En 2013, la commune comptait 152 habitants, en évolution de −8,43 % par rapport à 2008 (Aveyron : +0,58 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église fortifiée Saint-Etienne de style gothique, érigée de 1371 à 1374. Statuaire du XVIIIe siècle.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- André Valadier né en 1933 a été maire de la commune durant trente-six ans de 1965 à 2001, il a été un des promoteurs du patrimoine de l'Aubrac; président du Parc naturel régional de l'Aubrac.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Bernard Maynier), Sant-Jurvèva : Alpuèg, La Calm, Cantoènh, Graissac, La Tarrissa, Vitrac / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Sant-Jurvèva, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 255 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-41-6, ISSN 1151-8375, BNF 37078684)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
[modifier | modifier le code]- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .