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Fengli

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fengli
Description de cette image, également commentée ci-après
Illustration du « fūri » par Toriyama Sekien dans le Konjaku hyakki shūi[1]
Créature
Autres noms (ch)fengmu
(ch)fengxing
(ch)fengshengshou
(ja)fūri
(ja)kazetanuki
Groupe Folklore populaire
Sous-groupe bête, bake-danuki
Caractéristiques mammifère, arboricole, planer, vent, singe
Habitat Forêts, Montagnes
Origines
Origines folklore encyclopédique chinois
Région Drapeau de la République populaire de Chine Chine
Drapeau du Japon Japon
Première mention Chine

Le Fengli (chinois simplifié : 风狸 ; chinois traditionnel : 風狸/風貍 ; pinyin : fēng lí,[note 1] ; « chat-léopard du vent » ; « viverrin du vent »), est un mammifère volant légendaire transmis dans la littérature chinoise, dont les descriptions issues de diverses sources ont été compilées dans l'encyclopédie Taiping Yulan au Xème siècle, ainsi que le Bencao gangmu au XVIème siècle. Il apparaît au Japon au cours de la période d’Édo, dans des ouvrages encyclopédiques comme le wakan sansai zue où elle est désignée sous les noms de fūri et kazetanuki.

Dénominations

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La dénomination traditionnelle utilisée pour désigner la créature (chinois simplifié : 风狸 ; chinois traditionnel : 風狸[2]/風貍[3]), se compose des caractère 風 ; 风 fēng ; « le vent », ainsi que du caractère 貍 ; 狸 ; , un caractère désignant un animal carnivore d’une taille relativement modeste avec un corps allongé et une longue queue. En chine, il désignait notament diverses espèces de féliformes comme des viverridés, mais surtout le chat-léopard. Ce terme pourrait littéralement se traduire par « viverrin du vent » ou plus précisement ; « chat-léopard du vent »,[4]. Cette dénomination a été utilisée pour décrire la créature dans le Bencao Gangmu ainsi que les encyclopédie qui suivent. L'article sur le fengli étant initialement une sous-section de l'article précédent sur le caractère lí ; 貍.[5],[6][note 2].

Le terme fengli, écrit dans ces caractères, trouve son origine dans le Yuheng zhi (chinois traditionnel : 桂海虞衡志 ; "Traités du Surveillant et Gardien de la mer à la cannelle")[note 3][11] . Dans les sources anglophones, la créature est notament traduite par le terme générique de wind cat ("chat du vent")[12].

Autres dénominations

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Le fengli possède de nombreuses dénominations de part et d’autres de son air de répartition originelle, où à certains moments, il étaient considérés comme des espèces animales totalement différentes jusqu’a la publication du bencao gangmu.

Avec le caractère chinois 風 ; 风 fēng , l’animal a été associé à d’autres caractères :

  • Le caractère mǔ ; 母 désignant la figure maternelle, ce qui donne le terme de fengmu (chinois simplifié : 风母 ; chinois traditionnel : 風母 ; pinyin : fēng mǔ ou 猦𤝕[14]). Une combinaison pouvant littéralement et simplement se traduire par : "mère du vent".[15],[3],[9],[4] qui est utilisé comme dénomination alternative dès l'encyclopédieTaiping yulan[16],[17].Cette dénomination peut être attribué au Nanzhou yiwu zhi (chinois simplifié : 南州异物志 ; chinois traditionnel : ~異物志, "Archives des objets extraordinaires de Nanzhou", mal cité comme le Guangzhou yiwu zhi chinois simplifié : 广州~ ; chinois traditionnel : 廣州~),[10] [18] .
  • Une autre dénomination existe, avec deux caractères associés : sheng ; 生 ; « la vie ; la naissance », ainsi que shòu ; 獣 ; 兽 ; « la bête ». Ce sui donne le terme de fengshengshou ((chinois traditionnel : 風生獸 ; pinyin : fēng shēng shòu,[note 4] ce qui pourrait donnée dans ce contexte "bête née du vent" [19]) Cette dénomination est mentionné dans le Shizhou ji (海内十洲記, "Archives des Dix îles dans la mer"[20])[21] et dans le Baopuzi[22].

Un compte rendu compilé du fengli est donné dans le Bencao gangmu (1596), dans la section "Deuxième volume sur les quadrupèdes", mais certains noms d'alias et titres d'ouvrages y sont mal cités, puisant dans des sources telles que l'entrée "fengmu" de l'encyclopédie Taiping yulan (c. 980). Un certain nombre d’autres dénominations pour fengli sont donnés dans le Bencao Gangmu, dont des dénominations utilisant plus explicitement la figure du singe :

  • Parmi les différentes dénominations évoquée par le le Shizhou ji, figure également celle de ces "Archives" utilisant les caractères píng ; 平 « plat ; applati » et hóu ; 猴, donnent également le terme pinghou (chinois traditionnel : 平猴 ; pinyin : píng hóu;[9],[4]) "singe plat"[15] [23].
  • Une autre évoquée dans le recueil encyclopédique Lingnan yiwu zhi (嶺南異物志, "Archives des objets extraordinaires de Lingnan")[16] [note 5], dans lequel la créature est désignée avec le caractère 風 ; 风 fēng précité, mais surtout le caractère 猩 ; xīng qui donne le teme Fengxing (chinois traditionnel : 風猩 ; pinyin : fēng xīng, parfois maladroitement traduit par « orang-outan du vent », en référence à une autre créature généralement associé à cet animal, utilisant ces caractères : le xing-xing.

Parmi les différentes dénomination du fengli présentées dans le bencao gangmu, y figure le nom de jiqu (chinois traditionnel : 狤𤟎/吉屈[25] ; pinyin : jí qū, dont les caractères jí 吉 ; 狤 et qū 屈 ; 𤟎 ont été traduit par "celui qui s'incline devant la bonne fortune"[15]. Dans l’encyclopédie en question, il reste néanmoins traité dans un chapitre séparé du fengli[26] dans les chapitres 16 et 15 respectivement[27]. Ayant une forme et une alimentation un peu différence de celle du fengli, certains experts suggèrent qu’il s’agissait en fait d’une espèce distincte.

Caractéristiques

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Les sources divergent concernant l’apparence réelles de la créature, mais il est globalement admis que cet animal à un style de vie arboricole. Elle est capable de voler ou de planer à travers les arbres ou les rochers escarpés, se nourrissant de fruits ou d’insectes selon les sources.

Ses dimensions sont décrites comme celles d’un petit animal carnivore de la taille d’un petit félidé ou bien d’un petit viverridé. Plus précisément, les sources chinoises parlent de cet animal comme ayant à peu près la taille d’un animal désigné par le caractère chinois 貍 ; , ici interprété dans ce contexte par le chat-léopard[32] ou à la loutre selon le Bencao gangmu.[33][4],[9].

Le fengshengshou (風生獸), est décrit comme étant de couleur bleu/vert et ressemblant à un léopard, mais de la taille du xing-xing.[36]

D’autres sources parlent d’un animal ayant une apparence le rapprochant carrément de figures simiesques : Dans les sources nommant l’animal sous le nom de fengxing (風猩), il est décrit comme étant apparenté aux singes, mais d’une taille plus petite.[37][38]

La bencao gangmu mentionne également la bête comme ayant une courte queue, ressemblant à un petit singe avec des yeux rouges, une description le faisant ressembler à un lièvre[4],[9].

Le jiqu, dont un grand individu aurait été décrit, pesait 10 jin (un équivalant chinois de la livre), et ressemblait à une loutre. Il était presque dépourvu de poils, n'ayant aucun poil sur la tête, le corps, ni sur ses membres antérieurs, mais une bande de poils bleue (ou verte) courait de son nez, le long de la colonne vertébrale, jusqu'à sa queue. Cette bande faisait environ 1 cun (environ un pouce) de large, avec des poils individuels mesurant environ 3 à 4 fen (0,3 à 0,4 cun).[26],[15][39]

Pelage et couleur

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La couleur de son pelage à tendance à changer d’une source à l’autre, toutefois, elles ont la particularité commune de décrire l’animal comme ayant un pelage tacheté comme celui d’un léopard. Quant à la couleur précise, même le Bencao gangmu reste évasif à ce sujet : soit "bleu-vert, jaune et noir"[9], ou "jaune-verdâtre entrecoupé de noir"[4], selon le traducteur.[note 6]

Décomposition par source
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La créature fengshengshou (風生獸) est décrite comme bleue (ou plutôt verte)[40] et semblable à un léopard dans deux sources citées par l'encyclopédie[21],[22].

Cependant, l'une des deux sources citées indirectement, le Baopuzi, donne une lecture assez différente lorsque le texte édité en tant qu'œuvre autonome est consulté. Le Baopuzi décrit en fait le fengshengshou comme une bête qui "ressemble à un diao ; un caractère utilisé pour désigner un mustélidé comme une martre ou une zibeline, dont le pelage serait d’une couleur sombre[note 7] et aussi gros qu'un li ; , désignant dans ce contexte le blaireau[22],[31].

Quant aux ressemblances simiesques, selon le Yuheng zhi (chinois traditionnel : [桂海]虞衡志),[note 8][11],[12] , le fengli est dit ressembler à un hwangyuan (黃猨 ; « gibbon jaune ») tandis que selon le Youyang zazu (酉陽雜俎 ; "un Miscellanées de Youyang") le fengli ressemblait à un singe « ju » ;  », il avait de longs sourcils et avait tendance à être craintif[27],[15]. La bête, également désignée sous le nom de fengmu (風母獸), portait également le nom de pinghou (平猴) ou "singe plat", était décrit comme semblable à un singe, sans poils avec les yeux rouges selon le Nanzhou yiwu zhi.[note 9][41] le faisant ressembler au lièvre, du fait que ces derniers pouvaient avoir également des yeux rouges ainsi qu’une petite queue blanche.

Répartition géographique

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Le fengli habitait des endroits tels que le Yong zhou ; 邕州, situé dans l'actuelle Guangxi), une des anciennes provinces (zhou) de Lingnan[45] (régions au sud des "Cinq Chaînes de Montagnes" ; Monts Wuling), et ailleurs plus au sud dans le Lingnan.[note 10][4],[9] Il se trouvait également dans certaines régions occidentales du Shu (, archaïque pour Sichuan), dans des zones appelées "à l'extérieur de Xijao" (蜀西徼外).[46][note 11][note 12]

Traits comportementaux

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Le fengli ressemble à un lapin et est petit selon Chen Cangqi, il aurait également la faculté de « capturer le vent », le faisant voyager d’arbre en arbre, à la recherche de fruits à manger.[48][49],[50]Cependant, une autre source parle du fengli, désigné sous le nom de fengmu[51] comme un animal se nourrissant d'arthropodes comme des araignées.[52],[53][54]

Le jiqu était décrit comme se nourrissant il aime consommer une substance aromatique appelée xunlu xiang (chinois traditionnel : 薰陸香 ; pinyin : xūn lù xiāng)[26],[15], soit le "francincense indien" (encens indien),[55] Il s’agit d’oliban/francincense[9], ou de mastic.[56][4][57] Selon un spécialiste des ingrédients de parfumerie, il ne s'agissait probablement que d'une rumeur locale disant que la créature consommait cette résine parfumée[25].

Il est dit qu'il se recroqueville comme un hérisson () pendant la journée[51],[52], et qu'il devient actif et agile la nuit[51], ou qu'il vole dans les airs lorsque le vent se lève[52], ou qu'il "saute très haut avec le vent, franchissant les falaises et passant au-dessus des arbres, comme des oiseaux volant dans les airs", selon le résumé du bencao gangmu.[50][58]

Système de défense

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Le bencao gangmu écrit que lorsque la créature rencontre un humain, elle adopte une attitude de soumission et de crainte, "inclinent la tête et semble implorer la pitié",[59][50]{{Refn|Le terme 叩頭 peut être interprété comme kowtow. Juste pour illustrer, dans un ouvrage complètement différent, ce terme est rendu par "frapper sa tête contre le sol" bien qu'une source originale exprime cela d’une manière légèrement différente.[60]

Le fengli (ou fengxing[note 13] ou fengshengshou[note 14]) était décrit comme un animal peu résistant, sui semblait mourir facilement dès lors qu’il était frappé, mais ressuscitant immédiatement en orientant sa bouche vers le vent.[61][50][62] Le fengshengshou est réputé être insensible aux lames, imperméable au feu, ne pouvant être tué qu'en réduisant ses os en poudre et en brisant son cerveau.[63][50][64]

Une autre légende raconte qu'il peut également être tué instantanément en bouchant son nez avec le rhizome[49] (racine[66]) de l'acore odorant (Acorus sp.[50]) en particulier l'espèce Acorus gramineus (石菖蒲, "acore à feuilles de graminée").[49][67][68]

Outillage magique

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Selon le folklore des habitants du sud, le fengli serait capable d’utiliser divers outils pour se chasser ou se dissimuler des prédateurs : par exemple, il porte toujours un () que l’on peut interprêter comme une baguette ou un petit baton, qu'il pointe pour rendre les oiseaux ou animaux immobiles[69],[50] ou incapables de voler ou de courir[51] . Lorsqu’un humain obtient ce fameux outil, il peut également l’utiliser pour immobiliser ses propres prises. Mais, le fengli ne laisse pas facilement son précieux bâton, et si par malheur il viendrai à être capturé, il jette son outil[69]pour ne pas qu’il soit trouvé par ses ravisseurs. Çe n’est que sous la contrainte, après l’avoir frappé une centaine de fois[51] ou bien après l’avoir frappé suffisement sévèrement[69]que l'animal finit par indiquer où se trouve sa baguette[50].

Selon les experts dans l'art de traiter les « maladies du vent ». Cette baguette serait en fait, un brin d'herbe comme les autres, d’une taille d’unpeu plus de 1 chi (pied chinois), que le fengli trouve au hasard avant de le casser pour son usage.

D'autres sources rapportent que le fengli, possèderai un autre outil : le yixingcao (翳形草, traduit par herbe qui rend invisible (un type d'herbe d'invisibilité, qui serait bien plus difficle à obtenir que la baguette[70].

Utilisation

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L'urine de l'animal est également réputée traiter le « grand vent » (大風, une manière ancestrale de désigner la lèpre[71]).[72] Certaines maladies étaient attribuées au vent, d’où l'efficacité supposée de l'urine de cette créature[73].

Cette dernière était décrite comme ressemblant à du lait et difficile à obtenir, mais elle peut être récoltée si la créature est élevée en captivité[50].

Les organes du fenglì et plus particulièrement son cerveau étaient également utilisés dans la médecine traditionnelle chinoise : Le mélange de ce remède concocté à partir de cet organe, macéré dans de l’alcool, censé traiter les « maladies du vent »", selon le Lingnan yiwuzhi.[49], en y ajoutant des fleurs de chrysanthème, ce « médicament » prolongerait la vie (de 500 ans[74]) après l'administration de 10 jin (livres chinoises).[75][50],[74] Cette supposé augmentation de la longévité conféré par le cerveau de l’animal était probablement due à la croyance selon lesquelles, les immortels (xianren) étaient également capables de voler de la même manière  que le fengli, selon le commentaire de Minakata Kumagusu[73].

Illustration du fūri dans le Honzō kōmoku, 1653.

Au Japon à l’époque d’Édo, ce caractère  ; 貍 était déjà utilisé pour désigner le chien viverrin sous son nom de tanuki dans le centre du Japon. Dans le Wakan sansai zue[28],[29], paru en 1712, la créature est mentionne juste après le tanuki où il conserve les mêmes caractères que dans le Bencao Gangmu, où il est désigné sous le nom de fūri, mais dont la prononciation japonaise est celle de kazetanuki (風貍/かぜたぬき?) ou « tanuki du vent » [77].

Les différentes dénominations utilisées pour désigner la créature en Chine ont également été traduites en japonais : Les noms fengmu, fengshengshou, pinghou et jiqu sont respectivement traduits en japonais sous les noms de fūbo,[79] fūseijū, heikō et kikkutsu[80] ou kekkutsu[81]

Le fengli (fūri) n'était pas une créature connue au Japon selon Terajima Ryōan ; 寺島良安 dans son Wakan sansai zue.[82] , cependant Negishi Yasumori ; 根岸鎮衛, l'auteur du Mimibukuro ; 耳嚢 , pensait que c'était simplement une « espèce de tanuki » parmi d’autres de ceux également cités dans les encyclopédies de la période Édo, et estimait que des rencontres avec cet animal, le fūri, au Japon avaient été documentées[83]. Toutefois, dans certain dialectes locaux, le nom fūri et les caractères 風狸 associés, pouvaient également être associé à d’autres créatures du folklore japonais, comme le kamaitachi.

Identification avec la faune réelle

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Civettes palmistes

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La traduction japonaise du Bencao gangmu (Honzō kōmoku) de Suzuki en 1931 indique que le nom scientifique de cette créature est incertain, mais dans les notes marginales, l'ichtyologiste Shigeru Kimura ; 木村重 suggère qu'il pourrait s'agir du musang ou de la Civette palmiste asiatique commune.[note 15][84]

Un érudit chinois a également exploré la possibilité que la Civette masquée (Paguma larvata, nom chinois : 果子狸 guozili) soit attestée sous le nom de fuli dans les écrits chinois classiques[85].

Loris lents

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Illustration du fengxing marchant à quatre pattes, par Ignace Sickelpart.

Le prêtre jésuite allemand Ignatius Sichelbart (chinois : 艾啓蒙), qui a servi comme peintre à la cour des empereurs Qing, a peint le Fengxing tu[note 16] avec un réalisme détaillé, dont l’aspect de l’animal dessiné correspond au Loris lent[86]. L'identification du fenglì avec le loris lent apparaît dans le Materia Medica de Bernard Emms Read, bien qu'il ait utilisé le nom chinois de l'animal, lan hou (chinois simplifié : 树懒 ; chinois traditionnel : 懒猴), qu'il a traduit littéralement par "singe paresseux".[87][88][89]L'opinion selon laquelle le fengli appartient au genre des loris lents (懶猴属) Nycticebus est également énoncée dans un article de Tochio (2004), un spécialiste de l'histoire naturelle.[note 17][90]

Écureuil volant géant

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Une identification hypothétique avec le Grand écureuil volant rouge (Petaurista petaurista : chinois : 棕鼯鼠) a été suggérée par Yang Wuquan.[92]

Illustration d’un colugo.

Le fengli dans les écrits a été hypothétiquement identifié comme un colugo, un mammifère semblable à une chauve-souris,[note 18] selon Minakata Kumagusu (1920)[73],[30]. La membrane permettant au colugo de planner, est couverte de fourrure sur sa partie supérieure, contrairement à celle lisse présente chez les chauves-souris[73]. Alors que le fengli (fūri) peut être identifié au colugo, une créature volante appelé nobusuma ; 野衾 pourrait être identifié au musasabi ou au Grand écureuil volant du Japon (Petaurista leucogenys)[30], selon certaines auteurs japonais.

Notes et références

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Notes explicatives

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  1. La romanisation combinée (fengli, utilisée par Luo), sera utilisée au lieu de la romanisation séparée (feng li) employée par Unschuld, mais la phonétisation pinyin avec diacritiques (fēng lí) sera également incluse.
  2. Suzuki identifie li comme Lynx microtid[7] (recté microtis), mais cela reste un synonyme pour le chat-léopard ou une sous-espèce de celui-ci. Le chat-léopard Prionailurus bengalensis a également été publié sous le synonyme P. euptilura, et microtis était considéré comme une sous-espèce de ce dernier[8].
  3. Cité par Li Shizen dans le bencao gangmu[9],[4] sous la forme abrégée Yuheng zhi "Traités du Surveillant et Gardien"[10].
  4. Japonais: fūseijū.
  5. Cela est correct par rapport à fengmu cité dans la même source dans le bencao gangmu[3], et cela est corrigé dans l'édition du BCGM éditée par Ju Chenglong 胡承龍 (2016)[24].
  6. Le bencao gangmu note que la créature a une bande bleue de poils qui court du nez à la queue, mais il s'agit en fait de la description d'une autre bête (cf. §Jiqu) qui est confondue dans le livre.
  7. Ici qing () qui signifie "bleu/vert" est rendu par "sombre".
  8. chinois traditionnel : [桂海]虞衡志
  9. 《南州異物志》.
  10. Lingnan s'étendait du Guangxi au Guangdong et à Hong Kong, etc.
  11. "Shu xi jiao wai" (蜀西徼外) est glossé comme une région du Sichuan, comprenant les districts de Kangding et d'Aba dans le Sichuan[47].
  12. "Shu xi" (蜀西) seul fait référence à l'ouest du Sichuan, et Suzuki tr. 1931, p. 352 l'a interprété différemment comme "hors des frontières (徼外 jiao wai, japonais : kōgai) de Shuxi (Sichuan occidental)".
  13. 風猩
  14. 風生獣
  15. Paradoxurus hermaphroditus. Kimura a utilisé P. musanga, mais c'est un synonyme obsolète. Le nom commun japonais est ici donné comme kinobori zaru (キノボリザル?).
  16. chinois simplifié : 《风猩图》 ; chinois traditionnel : 《風猩圖》.
  17. Cependant, le sujet principal de Tochio est un autre mammifère, et dans sa digression ici, il a par erreur interverti les noms chinois "蜂猴" (loris) et "懒猴" (loris lent). Bien que sa dénomination de Lorisidae en "懒猴科" soit correcte, Nycticebus doit être "懒猴属" et Nycticebus coucang (Loris lent de la Sonde) est en fait "懒猴", qu'il a inversé.
  18. Certains biologistes considéraient alors le colugo comme étroitement lié à la chauve-souris, tandis que d'autres avaient des opinions divergentes, comme l'explique Minakata. Même la mythographe Miyoko Nakano a déclaré que le colugo était proche de la chauve-souris dans un livre de 2002[93].

Références

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  1. Toriyama, Sekien (1805). "Fūri" 風狸(ふうり). Hyakki yakō shūi (Konjaku hyakki shūi) 3 kan 百鬼夜行拾遺(今昔百鬼拾遺) 3巻. Vol. 2. Nagano Kankichi. “風によりて巌をかけり木にのぼり、そのはやき事飛鳥の如し”
  2. a b c d e f g h i j k et l (en)Li Shizhen (1596). "Wikisource link to our-legged Animals II. Fengli" (in Modèle:ISO 639 name). Wikisource link to Bencao Gangmu. Wikisource. 
  3. a b c d e f g h i j k l m et n (en)Li Shizhen (1782) [1596]. "Wikisource link to Book 51. Fengli" (in Modèle:ISO 639 name). Wikisource link to Bencao Gangmu (Siku Quanshu). Wikisource. 
  4. a b c d e f g h i j k l m et n Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées unschuld-tr
  5. Suzuki tr. 1931, p. 352: "もとは貍の條下に附記してあったが.. Bien qu'il ait été initialement joint à l'article sur le li."
  6. Suzuki tr. 1931. "貍" pp. 346ff; Unschuld tr. 2021 Chapitre/section 51-24. Chat-léopard, pp. 807ff.
  7. Suzuki tr. (1931), p. 346.
  8. North Manchuria Economic Research Office, South Manchuria Railway/Mantetsu Hokuman Keizai Chōsajo, Hokuman yasei honyūruishi, 興亜書院,‎ , « Prionaelurus euptilura microtis (A. Milne-Edwards), 1871 »
  9. a b c d e f g h i et j Li Shizhen, Compendium of Materia Medica: Bencao Gangmu, vol. 6, Foreign Languages Press, , 4079–4080 p. [[[Modèle:SfnRef|détail de l’édition]]] (ISBN 9787119032603), « Drug 51-24 Fengli »
  10. a b c et d Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées zheng&kirk&buell&unschuld
  11. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées yuhengzhi
  12. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées yuhengzhi-tr-hargett
  13. a b c d et e (zh) Baopuzi neipian jin zhu jin yi (Notes and translation by Chen Feilong), Taiwan Commercial Press, (ISBN 9789570516807), « 仙藥篇第11 », p. 433
  14. Présenté ainsi avec le radical supplémentaire "犭" (犭+風; 犭+母) dans le Yupian 玉篇 "Chapitres de Jade", sous la section du radical chien 犬部. Le Yupian explique que le fengmu est une bête à queue qui, même après avoir été frappée à mort, se régénère sous l'effet du vent[13].
  15. a b c d e et f Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées youyang_zazu-tr-bocci
  16. a b c et d Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées taiping_yulan
  17. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées taiping_yulan2
  18. Le Taiping yulan cite Nanzhou yiwu ji (chinois simplifié : ~记 ; chinois traditionnel : ~記[16], mais cela peut être corrigé en ~yiwu zhi[10]. La modification triviale du dernier caractère signifiant "histoire/archives" est courante. Les notes de Zheng et al. sur BCGM, concernant la source "Guangzhou yiwu zhi", indiquent que cela est cité de manière secondaire à partir du Taiping yulan et ce dernier donne Nanzhou (idem)[10].
  19. Le sens exact reste ambigu. Les traducteurs de BCGM (Unshuld, Luo) n'ont pas jugé nécessaire de fournir la signification des alias, à l'exception de fengli. Bocci traduit jiqu et pinghou, mais pas fengshengshou.
  20. Zheng et al. 2018 "Shi zhou ji", pp. 920–922
  21. a b c d e et f Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées shizhouji
  22. a b c et d Baopuzi Baopuzi neipian 抱朴子·內篇 sur "fengshengshou 風生獸", apud Taiping Yulan
  23. Nanzhou yiwu ji cité dans Taiping yulan[16].
  24. (zh) Li Shizhen, The Ben Cao Gang Mu: Chinese Edition, Univ of California Press, , 1469–1470 p. [[[Modèle:SfnRef|détail de l’édition]]] (ISBN 978-0-520-95974-3), « Feng li <shiyi> »
  25. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées yamada_kentaro
  26. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées youyang_zazu(4ku)-jiqu
  27. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées youyang_zazu(4ku)
  28. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées wakan
  29. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées wakan-tr-shimada&takeshima&higuchi
  30. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées miyamoto_yukie
  31. a b c et d « Pao-P'u Tzu 抱朴子 Nei-P'ien 內篇 Chapter XI », Monumenta Serica 華裔學志, vol. 11,‎ , p. 13–14 (DOI 10.1080/02549948.1946.11744875, JSTOR 40725995, lire en ligne)
  32. Souvent mal interprété comme un tanuki, c'est-à-dire un chien viverrin, par le Wakan sansai zue[28],[29]. Certains textes japonais contemporains le confondent aussi[30]. Dans certaines éditions du BCGM, le caractère simplifié de li ( est utilisé, ce qui conduit à une lecture facile comme "tanuki" par les Japonais. Le caractère simplifié li () est également utilisé dans le Baopuzi[13], et traduit par "aussi gros qu'un blaireau" par Feifel[31].
  33. "其大如狸如獺"[2],[3]
  34. Unschuld tr., BCGM IX: "Oiseaux, Animaux domestiques et sauvages", Animaux quadrupède III. 51-52. Sheng sheng 猩猩. pp. 920–922
  35. Luo tr. (2003), p. 4128–.
  36. Identifié provisoirement comme un orang-outan,[34][35] ce qui suggère peut-être une grande bête. Cependant, des erreurs de copie semblent être en jeu, car bien que xingxing (de la taille d'un orang-outan) soit traçable dans le Baopuzi cité dans les encyclopédies[22], le texte original parle de li (, de la taille d'un blaireau) dans le Baopuzi lui-même[13],[31].
  37. a et b Lingnan yiwu zhi 嶺南異物志 sur "fengxing 風猩", apud Taiping Yulan
  38. Cf. BCGM, "l'apparence physique est celle des singes, mais ils sont plus petits"[4].
  39. Le BCGM reprend cette description et l'attribue à son fengli : "或云一身無毛 惟自鼻至尾一道有青毛 廣寸許 長三四分 其尿如乳汁"[2],[3]. Cf. la traduction de Unschuld : "pas de poils, sauf sur une bande... du nez à la queue... couverte de poils verdâtres...", etc.[4] L'ajout concernant l'urine étant semblable au lait n'est pas trouvé dans le Youyang zazu.
  40. Le terme qing () signifie de manière ambiguë "bleu, vert, ou bleu-vert", comme cela est bien connu. Notez que dans la description du BCGM donnée ci-dessus, Luo traduit par "bleu-vert" et Unschuld par "verdâtre".
  41. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées nanzhou_yiwu
  42. Luo tr. 2003, p. 3839
  43. Unschuld (2021), Volume IX: Fowls, etc.: [1]
  44. Luo tr. 2003, Volume IX: Fowls, Fowls: 49-17-A01 Qinjialo 秦吉了, p. 3839
  45. Yong zhou est mentionné comme l'une des quatre provinces ou zhou (des peuples minoritaires[42]) dans le Lingnan, où l'oiseau qinjialo 秦吉了 (également connu sous le nom de jieliao niao 結遼鳥) pouvait être trouvé (BCGM, "Oiseaux")[43],[44].
  46. "À l'extérieur de Xi jiao dans le Shu",[4] ; "à l'extérieur de Xijiao dans le Sichuan"[9]
  47. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées zheng&kirk&buell&unschuld-shuxi
  48. Chen Cangqi. Bencao shiyi (en), cité par BCGM : "藏器曰風貍生邕州以南似兎而短棲息高樹上候風而吹至他樹食果子其尿如乳甚難得人取養之乃可得"[2],[3]
  49. a b c et d Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées luo-tr2
  50. a b c d e f g h i et j Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées unschuld-tr2
  51. a b c d et e Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées lingnan_yiwu2
  52. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées yuhengzhi2
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  54. Utilisé également dans le bencao gangmu : "其性食蜘蛛"[2],[3].
  55. Robert Borgen, The Transnational Cult of Mount Wutai: Historical and Comparative Perspectives, BRILL, (ISBN 9789004419872), « Chapter 5. A Japanese Pilgrim's visit to Wutai in the winter of 1072 », p. 152
  56. Le mastic est connu en chinois sous le nom de yang rushang (洋乳香), le caractérisant comme une sorte de francincense (rushang).
  57. BCGM : "亦啖薰陸香"[2],[3].
  58. "晝則踡伏 不動如蝟 夜則因風騰躍甚捷 越巖過樹 如鳥飛空中[3]。または「蜷伏」とつくる[2]
  59. "人網得之 見人則如羞而叩頭乞憐之態"[2],[3].
  60. "若行逢人,便叩頭,狀如懼罪自乞" dans le Nanzhou yiwuji [sic.] cité dans l'encyclopédie Taiping yulan[41]. Une traduction anglaise publiée est manquante, mais la dernière phrase est littéralement "comme pour implorer la culpabilité (ou la peur de la punition)", ce qui n'a pas vraiment de sens.
  61. BCGM : "人撾擊之 倏然死矣 以口向風[2],[3].
  62. Cf. fengshengshou dans Shizhouji[21] et Lingnan yiwuzhi[37].
  63. "須臾複活 惟碎其骨 破其腦乃死 一云刀斫不入 火焚不焦 打之如皮囊 雖鐵擊其頭破 得風複起"[2],[3]
  64. Cf. fengshengshou dans Shizhouji[21] et BPZ[13].
  65. Fang Yizhi, {{Ouvrage}} : paramètre titre manquant, 寧靜堂,‎ , « 風生獸 », 巻十 十二裏
  66. Bien que cela ne soit pas explicite dans le texte chinois, "racine" est inséré entre parenthèses dans la traduction d'Unschuld[4]. Le mot "racine" est également interpolé dans la citation du commentaire du 17e siècle de Fang Yizhi (zh) : "十洲云以石菖蒲根塞鼻乃死"[65]
  67. "惟石菖蒲塞其鼻 即死也"[2],[3].
  68. Une variante mentionne qu'un acore odorant (Acorus calamus) poussant sur une pierre devrait être utilisé (fengshengshou 「風生獣」 dans BPZ 《抱朴子・内篇》[13]fengshengshou 「風生獣」 dans Shizhouji 《[海内]十洲記》[21]).
  69. a b et c Liangnan yiwuzhi 嶺南異物志 apud BCGM.
  70. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées youyang_zazu-tr-bocci2
  71. Unschuld tr. 2021, p. 355: Da feng 大風 "grand vent"... les plaies causées par une intrusion excessive de vent « maléfique » sont aussi associées à des conditions de la maladie.
  72. Guihai yuhengzhi 《桂海虞衡志》[11],[12], Yuhengzhi cité dans le BCGM[4],[9].
  73. a b c et d Minakata 1920 Jūnishi-kō: Saru 十二支考・猴.}}
  74. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées baopuzi-tr-feifel2
  75. Shizhouji[21], cité comme "腦主治酒浸服愈風疾〈時珍 出嶺南志〉和菊花服至十觔可長生〈十洲記〉"[2],[3].
  76. Terajima Ryōan (1712) Wakan sansai zue, "Kan-no-38. Animaux : 貍 Tanuki"
  77. Ainsi, li () dans la section précédente du BCGM a été mal interprété comme "tanuki" ou tanuki (également dans la section précédente) dans le WSZ (Wakan sansai zue)[76].
  78. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées shida&saeki
  79. La lecture n'est pas donnée dans Suzuki tr. 1931 mais a été vérifiée dans un dictionnaire[78].
  80. Suzuki tr. (1931), p. 352.
  81. Genshū Naomi, Kōyamatohonzō 10kan betsuroku 2 kan, vol. Betsuroku-ge, Nagata Chōbei, , 22–23 p., « Kikkutsu »
  82. "未聞在于本朝"[28]。"風狸は嶺南(広東・広西地方)の山林中に多くいて、まだわが国にいるとは聞かない"[29].
  83. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées negishi-mimibukuro
  84. Suzuki tr. (1931), p. 351.
  85. Ceng Xiongsheng, « Zhōngguó lìshǐ shàng de guǒzi lí », 九州學林, vol. 2, no 3,‎ , p. 230 (lire en ligne)
  86. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées tencent2020-03-09
  87. Read l'identifie également comme un Loris sp., mais cette taxonomie est obsolète et le loris lent est maintenant classé dans le genre Nycticebus.
  88. Feifel tr., note 70[31].
  89. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées read1931
  90. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées tochio_takeshi
  91. Zhou Qufei, Lingwai daida jiaozhu, Beijing, Zhonghua shuju,‎ , 9.360–361, n1
  92. Yang Wuquan 楊武泉[91] cité dans Hargett tr. 2011, p. 77–78, n52.
  93. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées nakano2002

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Articles annexes

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