Châteaufort (Yvelines)
Châteaufort | |||||
Bâtiment de la mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Versailles | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Versailles Grand Parc | ||||
Maire Mandat |
Patrice Berquet 2020-2026 |
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Code postal | 78117 | ||||
Code commune | 78143 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Castelfortain(e)s | ||||
Population municipale |
1 515 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 310 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 44′ 14″ nord, 2° 05′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 86 m Max. 164 m |
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Superficie | 4,88 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Maurepas | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-chateaufort78.fr | ||||
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Châteaufort est une commune du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France, à neuf kilomètres environ au sud de Versailles et à 27 km au sud-ouest de Paris.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Châteaufort est une petite localité située en partie sur le plateau de Saclay et dans la vallée de Chevreuse, en limite de l'Essonne.
Elle fait partie du parc naturel régional Haute Vallée de Chevreuse.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Elle est irriguée par la Mérantaise, petite rivière affluent de l'Yvette.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 700 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Toussus-le-Noble à 2 km à vol d'oiseau[3], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,6 | 1,4 | 3,5 | 5,5 | 8,9 | 12,1 | 13,9 | 13,6 | 10,6 | 8 | 4,5 | 2,1 | 7,1 |
Température moyenne (°C) | 4,2 | 4,7 | 7,8 | 10,6 | 14,1 | 17,4 | 19,6 | 19,4 | 15,8 | 11,9 | 7,4 | 4,6 | 11,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,7 | 8 | 12,1 | 15,8 | 19,3 | 22,8 | 25,2 | 25,2 | 21 | 15,9 | 10,4 | 7,1 | 15,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−17,4 17.01.1985 |
−12,8 07.02.1991 |
−10,2 13.03.13 |
−5,1 12.04.1986 |
−2 03.05.1967 |
1,6 04.06.1991 |
4,9 09.07.1965 |
4,7 21.08.14 |
1,1 30.09.1995 |
−4,2 30.10.1985 |
−11,3 30.11.1969 |
−14 31.12.1970 |
−17,4 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,1 28.01.02 |
21,1 27.02.19 |
25,1 31.03.21 |
28,3 20.04.18 |
31,7 27.05.05 |
37,5 21.06.17 |
40,8 25.07.19 |
39,3 12.08.03 |
35,1 09.09.23 |
29,8 01.10.1985 |
20,7 01.11.14 |
16,7 07.12.00 |
40,8 2019 |
Précipitations (mm) | 55,3 | 46,9 | 49,5 | 49,6 | 68,2 | 55,4 | 53,3 | 58,2 | 52,1 | 61,3 | 60,8 | 66,4 | 677 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Châteaufort est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].
Occupation des sols simplifiée
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune se compose en 2017 de 66,68 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 21,44 % d'espaces ouverts artificialisés et 11,88 % d'espaces construits artificialisés[11].
Transports et voies de communications
[modifier | modifier le code]Réseau routier
[modifier | modifier le code]Elle est desservie par la route départementale 36, reliant Palaiseau et Saclay à l'est à la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines à l'ouest, et traversée par la route départementale 938, la reliant à Buc au nord et à Magny-les-Hameaux au sud.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous la forme de Castelloforte en 1069[12].
Ce mot est issu du latin castellum[13], « Village fortifié »[12].
La commune doit son nom à la présence, au Moyen Âge, de trois châteaux forts sur son territoire.
Histoire
[modifier | modifier le code]Les trois anciens châteaux de la commune avaient pour nom : « le Donjon »[14], le château « de la Motte ou de Marly » et le « château du Gavois » ; ajoutons à ces trois anciennes fortifications le « fief d'Ors ou Orce »[15].
Des remparts dont il ne reste que quelques ruines, s'élevaient à la cime d'un coteau escarpé, au-dessus d'un ruisseau, la Mérantaise, qui se jette dans l'Yvette et qui limite au sud-ouest le plateau de Saclay. La vallée profonde de près de 50 m au niveau de Châteaufort présente une dénivellation assez abrupte pour permettre l’établissement d’un poste de surveillance. Le nom de la commune indique la vocation du lieu où fut édifiée un système de tours de défense du Hurepoix en balcon sur la dépression[16].
Ce lieu jadis considérable fut, au Xe siècle ou XIe siècle, choisi pour être le chef-lieu d'une contrée du diocèse de Paris. Châteaufort avait alors deux églises et un prieuré, l'une pour le bourg, attenante au prieuré, l'autre pour les manants établis hors des murs, au lieu-dit la Trinité. La première existe encore, la seconde est détruite.
Au XIe siècle, Gui II de Montlhéry le Rouge était seigneur de Châteaufort et en 1112, Hugues de Montlhéry, dit de Crécy ou de Pomponne, grand sénéchal de France, son fils, prit le titre.
Au XIIe siècle, Louis le Gros confisqua cette terre à Hugues de Crécy.
Au XIIIe siècle, il y avait une léproserie[17].
Une seigneurie est attestée en 1354.
En 1480, Louis XI donne la terre de Châteaufort à Louis de Brabant.
En 1529, François Ier en fit cadeau à Jean de la Barre.
En 1616, elle passa dans la maison de Guise, et le dans celle de Charles d'Escoubleau, marquis de Sourdis.
Le château d'Ors est bâti en 1637 par Jean de Luynes. Abandonné par son héritier en 1951, il sombra dans l'oubli jusqu'en 1984, date à laquelle furent créés les premiers spectacles historiques. Le domaine est alors racheté par la municipalité. On peut toujours admirer la chapelle, le moulin à eau restauré par le parc naturel régional Haute Vallée de Chevreuse, le bel ensemble des communs, le dôme abritant une rare glacière intacte, l'orangerie, les loges de gardes décorées de bas-reliefs de terre cuite (œuvres d'Augustin Pajou en 1784), le pont-galerie, dont l'arche médiévale fut ornée d'arcades couvertes au début du XIXe siècle. On voit un château et un moulin sur une carte de 1694.
Ruiné par les guerres civiles religieuses, Châteaufort devint un village pauvre.
Avant 1809, construction d'un nouveau château dont on voit l'emplacement sur le cadastre napoléonien. Il est détruit en 1951.
Au cours de son histoire, la commune de Châteaufort a fait partie de trois départements différents :
- 1790 : création du département de Seine-et-Oise (78) auquel est rattachée Châteaufort. Le code Insee attribué en 1943 est 78143.
- Loi du , Journal officiel du avec effet au : Châteaufort est rattachée au nouveau département de l'Essonne (91) lors de la partition de la Seine-et-Oise. Le code Insee devient 91143.
- Décret du , Journal officiel du et effet au : Châteaufort est rattachée au département des Yvelines (78) et retrouve son ancien code Insee 78143.
Le , le village a accueilli la neuvième saison de Star Academy diffusée sur NRJ12 et AB3 (Belgique).
Depuis le , il fait partie de la communauté d'agglomération de Versailles Grand Parc.
L'aérodrome de Châteaufort
[modifier | modifier le code]Le , le Français Adolphe Pégoud (de son véritable prénom Célestin) au départ de l'aérodrome Borel à Châteaufort (Yvelines), expérimenta le premier saut en parachute depuis un avion en abandonnant un vieux Blériot XI sacrifié pour l'occasion. Une fois libéré de son pilote, l'avion livré à lui-même forma dans le ciel de curieuses arabesques avant de s’écraser au sol. Ces manœuvres donnèrent à Pégoud l'idée de réaliser des figures aériennes jusqu’ici impensables pour l'époque. C'est ainsi qu'il effectua, dans les semaines suivantes, le premier vol sur le dos et l'un des tout premiers loopings de l'histoire, devenant ainsi le précurseur de la voltige aérienne.
C'est à Châteaufort que périrent André Salel et son mécanicien Roger Robin dans l’après-midi du en réalisant le deuxième d’essai du prototype d’avion de combat F 420-01 de Farman. Maryse Hilsz, la compagne d'André Salel, fit ériger, à l’endroit même où l’avion s’était écrasé, une stèle en mémoire du pilote et de son mécanicien. La stèle fut inaugurée le , un an après l’accident.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Eau et déchets
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Postes et télécommunications
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].
En 2021, la commune comptait 1 515 habitants[Note 2], en évolution de +10,91 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,6 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 695 hommes pour 713 femmes, soit un taux de 50,64 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]Au carrefour des routes départementales 36 et 938, au sommet de la côte de la Trinité, une statue en bronze de Jacques Anquetil sur son vélo avait été érigée, en , après la mort du champion cycliste survenue en . Cette statue a été rapidement volée pour être sans doute revendue pour la valeur du bronze. Elle est aujourd'hui remplacée par une stèle portant la plaque commémorative qui était restée.
Vie associative
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Le siège social français de la société Nortel était installé sur le territoire communal, avant d'être racheté par la société Kapsch[24].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le château du Gavois sur une ancienne motte castrale appartenant aux Montlhéry - (location de salles pour évènements).
- Le château de la Geneste, construit au XIXe siècle. Il compte un domaine abritant un terrain hippique, des écuries et des dépendances. En 2012-2013, il accueille les élèves de la saison 9 de Star Academy[25].
- Le Donjon : la moitié du niveau inférieur de ce donjon circulaire, qui faisait 18,6 mètres de diamètre à la base et devait s'élever à une hauteur d'environ 36 mètres, constitue le seul vestige du château fort édifié aux XIe et XIIe siècles. Ses murs ont une épaisseur de 3 mètres et ont 4 larges contreforts quadrangulaires. La tour est conservée uniquement sur sa moitié inférieure correspondant à une salle basse. On remarque un corbeau de pierre orné d'une figure grimaçante, un couloir de latrines et les vestiges de deux archères[26].
- Le château de la Motte ou de Marly : bâti sur le sommet de la motte de Marly se trouve le plus ancien des châteaux forts du village. Il est au centre de l'éperon qui surplombe la vallée. Il fut possession du chevalier Amaury, de la famille des Gometz[27] et fondateur du prieuré Saint-Christophe avec l'autorisation des seigneurs dominant du site, les Montlhéry. On y trouve aujourd'hui une maison bourgeoise qui s'élève sur deux niveaux avec un étage de comble.
- L'église Saint-Christophe se trouve sur le lieu d'un ancien prieuré cité en 1068. L’église actuelle, de style Napoléon III, date de 1848. On peut contempler la petite crypte du prieuré contiguë, restaurée en 1982.
- Une grotte ornée (voir : Monuments mégalithiques des Yvelines)[réf. nécessaire].
- La réserve naturelle du Domaine d'Ors, espace naturel protégé située dans la vallée de la Mérantaise[28].
- La Maison des Sœurs sélectionnée par la Fondation du patrimoine de Stéphane Bern pour le Loto du Patrimoine 2022[29].
Galerie
[modifier | modifier le code]-
Le château de la Geneste.
-
L'église Saint-Christophe.
-
Clocher de l'église.
-
Le monument aux morts (au cimetière).
-
Réserve naturelle du Domaine d'Ors.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Adolphe Pégoud (1889-1915), aviateur. Il a effectué ici son premier saut en parachute, en 1913, depuis un avion Blériot,
- André Salel (1904-1934), aviateur, mort à Châteaufort alors qu'il effectue un vol d'essai d'un avion de combat.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Châteaufort », p. 951–955
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Châteaufort et Toussus-le-Noble », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Toussus Le Noble » (commune de Toussus-le-Noble) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Toussus Le Noble » (commune de Toussus-le-Noble) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Châteaufort ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, tome 3, p. 1461 (ISBN 2600028846).
- Marianne Mulon, Noms de lieux d’Ile de France, 1997.
- André Châtelain, Châteaux forts et féodalité en Ile de France : du XIe au XIIIe siècle, coll. « Patrimoine », , p. 51.
- Cercle Généalogique de Versailles et des Yvelines, Paysages d'Yvelines à la fin du XVIIIe siècle : Le cadastre de Bertier de Sauvigny, Archives départementales des Yvelines, .
- André Châtelain, Châteaux forts et féodalité en Ile-de-France du XIe au XIIIe siècle, Éd. Créer, .
- Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Châteaufort (78143) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
- Marc Cherki, « Usine Nortel à Châteaufort : 160 postes maintenus », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
- Damien Mercereau, « Star Academy : Le nouveau château dans les Yvelines », sur Le Figaro, (consulté le ).
- « Châteaufort et les Montlhéry, donjon circulaire tome III »,
- Raphaël Bijard, « Le premier conflit de l’ère capétienne (991 - 996) et sa phase de résolution (début du XIe s.) – leur influence sur la genèse du domaine royal et l’évolution de la cour palatiale »,
- Domaine d'Ors sur www.parc-naturel-chevreuse.fr
- « La Maison des Sœurs à Châteaufort retenue pour le loto du patrimoine 2022 », sur tv78.com, (consulté le ).