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Cabaret Voltaire (groupe)

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Pour les articles homonymes, voir Cabaret Voltaire (homonymie).

Cabaret Voltaire
Pays d'origine Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Genre musical Musique industrielle[1] (débuts), cold wave (débuts), avant-funk, electro, acid house, techno
Années actives 1974–1994, 2009–2021
Labels Industrial Records, Rough Trade, Some Bizzare/Virgin, Factory Records, Mute Records
Composition du groupe
Anciens membres Richard H. Kirk (†)
Chris R. Watson
Stephen W. Mallinder

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Cabaret Voltaire est un groupe britannique de musique industrielle, originaire de Sheffield, Yorkshire, en Angleterre. Outre l'industriel, le groupe se démarque également dans d'autres genres musicaux, notamment l'électrofunk, la techno et l'IDM. Il est actif entre 1974 et 1994, puis entre 2009 et 2021.

Empruntant son nom au café dadaïste Cabaret Voltaire, situé à Zurich, le groupe de Sheffield s'inspire à ses débuts, comme de nombreux groupes classés « musique industrielle » (SPK, Throbbing Gristle, Leather Nun, Non, Clock DVA), de thèmes dominés par les violences politiques, économiques et sociales connues par les anciennes villes du primaire et du secondaire dès la fin de la seconde guerre (l'histoire de Sheffield est liée à la production de l'acier).

Le groupe tel qu'il était entre 1973 et 1994 n'a effectué que peu de passages en France[réf. nécessaire] : en résidence au Gibus Club à Paris en , puis en novembre (où il est notamment passé aux 120 Nuits à Paris) et décembre (aux Transmusicales de Rennes) de l'année 1983.

Après Cabaret Voltaire, Richard H. Kirk comptera parmi les figures emblématiques du « son de Sheffield » tel que l'établit le label Warp Records. Kirk a publié un grand nombre d'albums solo, parfois sous son propre nom et parfois sous un nombre important de pseudonymes (parmi les pseudos les plus importants : Sandoz et Electronic Eye). Il réactive Cabaret Voltaire (sous la forme d'un projet solo) en 2014 pour le festival Berlin Atonal.

Histoire

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Ère industrielle (1974–1981)

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Le groupe est formé en 1974[1], ou 1973 selon les sources[2], et emprunte son nom au café dadaïste Cabaret Voltaire, situé à Zurich, en Suisse. Le groupe s'inspire non seulement du mouvement dadaiste[1], et de sa créativité instinctive, mais aussi de Brian Eno, et de son idéologie selon laquelle n'importe qui peut devenir musicien[3], sans forcément maîtriser un instrument, dans la foulée de l'apparition des premières machines, enregistreurs à bandes, et synthétiseurs. Le groupe fait ses premières armes avec une musique plutôt industrielle et distordue, composée dans l'ombre du grenier de Chris Watson, réaménagé en loft, et en antre de création.

De duo, formé par Watson et Richard Kirk, il devient un trio, avec l'arrivée de Stephen Mallinder. Témoignage de cette période embryonnaire, la compilation Attic Tapes, 1974-76 est sortie sur le label Industrial Records en 1978. Tous les titres sont composés par Cabaret Voltaire, avec des modulateurs et des oscillateurs bon marché, de manière à transformer le son. Dans la somme de référence sur le post-punk, Rip it Up[4], écrite par le journaliste musical Simon Reynolds, on apprend, à ce sujet, que le groupe « ne voulait laisser aucun son non traité », et que le trio sillonnait les rues de Sheffield, tard dans la nuit, pour diffuser leurs sons et faire peur au quidam. Toujours en 1978, Cabaret Voltaire sort FAC-2 - A Factory Sample, qui est techniquement un double mini 33 tours. Il s'agit du premier disque sorti par le label Factory Records dont la pochette papier sous plastique transparent est signée Peter Saville. Cabaret Voltaire occupe une face (produite par Cabaret Voltaire), les autres groupes présents étant Joy Division, The Durutti Column et John Dowie.

En 1978, le groupe signe sur le label Rough Trade et commence à enregistrer des morceaux expérimentaux[1]. Le groupe publie son premier album studio, Mix-Up, en 1979, sur le label Rough Trade/Mute Records[5]. L'album est produit et enregistré aux studios Western Works entre juillet et août par Cabaret Voltaire[5]. Tous les titres sont composés par Cabaret Voltaire sauf No Escape et Photophobia. Il fait participer Haydn Boyes-Weston à la batterie. L'EP Nag Nag Nag sort la même année chez Rough Trade/Celluloïd ; tous les titres sont composés par Cabaret Voltaire et produits par Jeoff Travis et Mayo Thompson. Les photos de couverture du disque sont prises lors du concert du groupe au Gibus Club à Paris, en , par Richard Waters.

En 1980, le groupe sort son premier album live, Live at the YMCA[6]. Sorti sur le label Rough Trade Records, cet album est produit et enregistré aux studios Western Works entre juillet et par Cabaret Voltaire. Tous les titres sont composés par Cabaret Voltaire sauf Here She Comes Now de Lou Reed et No Escape de Sky Saxon, Reeder et Laurence. Ce live est enregistré par Scott Pearing sur un enregistreur cassette. La même année sort The Voice of America, leur deuxième album studio, chez Rough Trade, qui est produit et enregistré à Western Works, à Sheffield, entre mars et par Cabaret Voltaire. Il fait participer Haydn Boyes-Weston à la batterie. The Voice of America atteint la troisième place des charts britanniques indépendants[7]. Toujours en 1980, le groupe publie l'EP Three Mantras, produit et enregistré à Western Works, à Sheffield, en [8]. Tous les titres sont composés par Cabaret Voltaire, et font participer John Clayton à la batterie et de Jane pour un enregistrement du marché de Jérusalem.

Leur troisième album studio, Red Mecca, est publié en 1981, toujours chez Rough Trade/Mute[9]. Il est enregistré à Western Works, à Sheffield, en [9], et reprend les codes des précédents, avec l'apport notable de cuivres et d'instruments à vent. Chris Watson quitte le groupe[1] à la fin de l'année 1981, et devient ingénieur-son pour la télévision et la radio. Il continue d'exercer ce métier depuis mais n'a pas abandonné sa carrière de musicien. Il publie encore des albums (le plus souvent sous son propre nom).

Ère electrofunk (1982–1987)

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L'ère electrofunk marque la période durant laquelle le groupe mélange musique industrielle, synthpop et electrofunk. C'est la période la mieux renseignée et la plus connue du groupe. Sous forme de duo et accompagné en live par un batteur, Cabaret Voltaire connaît pendant cette période un certain succès d'estime avec des albums comme Micro-Phonies ou The Covenant, The Sword and The Arm of the Lord.

Leur quatrième album studio, 2x45, est produit et enregistré à Western Works, à Sheffield, par Cabaret Voltaire et Phil Bush, et publié en mai 1982[10]. Cet album tient son nom de son format d'origine, c'est-à-dire deux EP 45 tours vinyles. C'est la dernière participation de Chris Watson à Cabaret Voltaire. C'est également un album de transition, le groove se fait plus présent et le côté funky du groupe commence peu-à-peu à apparaître. 2x45 atteint la 98e place des charts britanniques[7].

Sorti sur le label Some Bizzare Records, leur cinquième album, The Crackdown, est publié en 1983, et produit et enregistré à Western Works entre juillet et par Cabaret Voltaire et Flood. Il est le premier album du groupe à distiller la dimension brute et industrielle dans des morceaux de nature plutôt électrofunk. The Crackdown atteint la 31e place des charts britanniques[7]. Cet album est accompagné dans sa version vinyle 33 tours originale d'un EP maxi 45 tours nommé Doublevision.

L'album qui suit, intitulé Micro-Phonies, est publié en 1984 sur Virgin Records et Some Bizzare ; l'album est produit et enregistré à Western Works, à Sheffield, entre février et mars 1984 par Cabaret Voltaire et Flood. Tous les titres sont composés par Cabaret Voltaire (Kirk et Mallinder). Dans cet album, Richard H. Kirk est à la guitare et aux claviers, Stephen W. Mallinder à la basse et au chant. Micro-Phonies atteint la 69e des charts britanniques[7].

The Covenant, the Sword and the Arm of the Lord (1985 ; 57e des charts britanniques[7]) sort aussi sur Virgin Records et Some Bizzare, et renoue avec le côté plus abrasif des toutes premières productions, tout en gardant le style des deux productions electro prédédentes[11]. Pour l'album qui suit, intitulé Code, le groupe signe un contrat de distribution avec EMI/Parlophone en 1986[1], et le publie en 1987[12]. Il est produit et enregistré à Western Works, à Sheffield en 1987 par Cabaret Voltaire et Adrian Sherwood. Tous les titres sont composés par Cabaret Voltaire (Kirk et Mallinder). Cet album marque une prise de position vers une electro plus dansante et beaucoup moins industrielle qu'auparavant.

C'est pendant cette période que Mallinder et Kirk sortent également des albums en solo. Citons l'album Pow Wow pour Mallinder (sorti en 1984) et un certain nombre d'albums pour Kirk (Disposable Half Truths en 1981, High Time Friction en 1983, Black Jesus Voice et Ugly Spirit en 1986).

Ère techno (1988–1994)

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L'ère techno marque la période durant laquelle le groupe s'adapte au style dominant de la musique électronique de ce début de décennie 1990. Toujours sous la forme d'un duo, cinq albums et plusieurs EP sont publiés pendant cette période. Les sons de ces albums varient entre techno, house, tech house, bleep et Intelligent dance music (IDM).

Sorti chez EMI/Parlophone en 1990, l'album Groovy, Laidback and Nasty[13] est produit et enregistré à Western Works/Sheffield ainsi qu'à Chicago en 1989, par Cabaret Voltaire, Marshall Jefferson, James Reynolds, Robert Gordon et Mark Brydon. Tous les titres sont composés par Cabaret Voltaire (Kirk et Mallinder). Cet album marque l'entrée de Cabaret Voltaire dans la house music, le groupe s'incluant totalement et pour la première fois dans un mouvement musical qui lui est contemporain. La version CD comprend en piste bonus le morceau Rescue Me (City Lights).

Après la sortie de Groovy, Laidback and Nasty, le groupe parvient à attirer l'intérêt du label belge Les Disques du Crépuscule, sur lequel ils sortent l'album Body and Soul en 1991. Tous les titres sont composés par Cabaret Voltaire (Kirk et Mallinder). Cet album est largement influencé par la scène tech house et bleep très populaire dans les milieux de la musique électronique d'alors. C'est également le dernier album sur lequel figure au chant Stephen Mallinder. La version CD comprend en pistes bonus les morceaux Don't Walk Away, Alien Nation Funk et What Is Real (Dreamtime Mix).

Paraissent ensuite Plasticity, en 1992, et International Language, l'année suivante, dans une veine plus Intelligent dance music (IDM) et ambient techno, puis le album double The Conversation, en 1994, dans la lignée de ces derniers, mais dans une veine plus expérimentale.

Post-séparation, projets solos (1994–2013)

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Richard Kirk n'attend pas la fin de Cabaret Voltaire pour développer une impressionnante carrière solo et de projets parallèles sous des pseudonymes très variés, les plus connus étant certainement Sweet Exorcist, Sandoz ; s'y ajoutent les albums qu'il publie sous son propre nom. Il publie des albums de manière régulière jusqu'à la fin des années 2000.

Après la dissolution de Cabaret Voltaire en 1994, Stephen Mallinder met en pause sa carrière dans la musique. Il apparaît cependant sur quelques albums, jouant par exemple de la basse en 2003 pour le premier album de Shaun Ryder (chanteur des Happy Mondays), Amateur Night In The Big Top. En 2009, il rejoint Wrangler, groupe composé de Benge (ex-John Foxx and The Maths) et de Phil Winter.

Certains des albums abstract du groupe datant des années 1970 sont réédités en coffret trois disques sous le titre de Methodology ’74/’78, publié par Mute Records en 2002[2].

Renouveau et fin (2009–2021)

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Kirk fait revivre le nom du groupe en 2009 avec la sortie en Nouvelle-Zélande de l'album Kora! Kora! Kora! du groupe Kora. Cabaret Voltaire revient en 2014 lors du festival Berlin Atonal[14]. Le « groupe » ne se constitue désormais que du seul Richard H. Kirk, contrôlant les séquenceurs et jouant uniquement de nouveaux morceaux. Il a notamment joué le à la Grande Halle de la Villette dans le cadre du festival Villette sonique mais également au festival Positive Education de Saint-Étienne le 11 novembre 2016. Kirk continue de nourrir ses projets solos (il sort l'album Dasein sous son nom propre en 2017) tout en se servant de Cabaret Voltaire comme d'un alias live. Il a, entre 2014 et 2020, effectué une vingtaine de concerts dans différents pays d'Europe.

De son côté, Mallinder au sein de Wrangler sort en 2014 un album de musique électronique expérimentale (proche de l'ère industrielle de Cabaret Voltaire) nommé L.A Spark. Afin d'assurer la promotion de cet album, le groupe assure quelques rares concerts pendant lesquels est interprété au moins un morceau de Cabaret Voltaire (souvent Crackdown, Nag Nag Nag ou encore Sensoria).

En , Wrangler sort un deuxième album aux sonorités plus pop, White Glue. En 2018, le groupe Wrangler se lie avec le chanteur John Grant pour créer un nouveau groupe, Creep Show, dont Mallinder assume la position de chanteur aux côtés de Grant. Leur album Mr.Dynamite sort le 16 mars 2018 chez Bella Union (le label de l'ex Cocteau Twins Simon Raymonde). L'année suivante, alors que Wrangler annonce la sortie d'un troisième album censé sortir en 2020 (titré A Situation), Stephen Mallinder sort à l'automne son premier album solo depuis Pow-Wow (1984), titré Um Dada, il sort chez Dais Records le .

Richard Kirk décède en septembre 2021 à l'âge de 65 ans[15], marquant ainsi la fin du groupe.

Membres

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Dernier membre

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Anciens membres

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  • Stephen W. Mallinder - chant (ou voix), basse (1974–1994)
  • Christopher Richard Watson (Christopher Richard Watson) - claviers, chant (ou voix) (1974–1981)

Discographie

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Albums studio

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1979 : Mix-Up
Face A
  1. Kirlian Photograph
  2. No Escape (composé par Sky Saxon, (P) Neil Music)
  3. Fourth Shot
  4. Heaven and Hell
  5. Eyeless Sight (enregistré live 1979)
Face B
  1. Photophobia (paroles Victor, arrangement Cabaret Voltaire)
  2. On Every Other Street
  3. Expect Nothing
  4. Capsules
1980 : The Voice of America
Face A
  1. The Voice of America / Damage Is Done
  2. Partially Submerged
  3. Kneel to the Boss
  4. Premonition
Face B
  1. This Is Entertainment
  2. If the Shadows Could March (1974)
  3. Stay Out of It
  4. Obsession
  5. News from Nowhere
  6. Messages Received
1981 : Red Mecca
Face A
  1. A touch of Evil
  2. Sly Doubt
  3. Landslide
  4. A Thousand Ways
Face B
  1. Red Mask
  2. Split Second Feeling
  3. Black Mask
  4. Spread the Virus
  5. A touch of Evil (Reprise)
1982 : 2x45
Premier disque (Watson-Kirk-Mallinder)
  1. Breathe Deep
  2. Yashar
  3. Protection
Second disque (Kirk-Mallinder)
  1. War Of Nerves (T.E.S)
  2. Wait & Shuffle
  3. Get Out Of My Face
1983 : The Crackdown
Face A
  1. 24-24
  2. In the Shadows
  3. Talking Time
  4. Animation
Face B
  1. Over and Over
  2. Just Fascination
  3. Why Kill Time (When You Can Kill Yourself)
  4. Haiti
  5. Crackdown
EP Doublevision (Maxi 45t supplémentaire ou pistes bonus au format CD)
  1. Diskono
  2. Double Vision
  3. Moscow
  4. Badge of Evil
1984 : Micro-Phonies
Face A
  1. Do Right
  2. The Operative
  3. Digital Rasta
  4. Spies in the Wires
  5. Theme from Earthshaker
Face B
  1. James Brown
  2. Slammer
  3. Blue Heat
  4. Sensoria
1985 : The Covenant, the Sword and the Arm of the Lord
Face A
  1. L21ST
  2. I Want You
  3. Hells Home
  4. Kickback
  5. The Arm of the Lord
Face B
  1. Warm
  2. Golden Halos
  3. Motion Rotation
  4. Whip Blow
  5. The Web
1987 : Code (EMI Group)
Face A
  1. Don't Argue
  2. Sex, Money, Freaks
  3. Thank You America
  4. Here to Go
Face B
  1. Trouble (Won't Stop)
  2. White Car
  3. No One Here
  4. Life Slips By
  5. C.O.D.E
1990 : Groovy, Laidback and Nasty (EMI/Parlophone)
Face A
  1. Searchin'
  2. Hypnotised
  3. Minute by Minute
  4. Runaway
Face B
  1. Keep On (I Got This Feeling)
  2. Magic
  3. Time Beats
  4. Easy Life
1991 : Body and Soul (Les Disques du Crépuscule)
Face A
  1. No Resistance
  2. Shout
  3. Happy
  4. Decay
Face B
  1. Bad Chemistry
  2. Vibration
  3. What Is Real
  4. Western Land
1992 : Plasticity (Instinct Records)
Face A
  1. Low Cool
  2. Soul Vine (70 Billion People)
  3. Resonator
  4. Inside the Electronic Revolution
  5. From Another Source
  6. Deep Time
Face B
  1. Back to Brazilia
  2. Neuron Factory
  3. Delmas 19
  4. Cooled Out
  5. Invisible Generation
  6. Soulenoid (Scream at the Right Time)
1993 : International Language (Instinct Records)
Face A
  1. Everything Is True
  2. Radical Chic
  3. Taxi Mutant
  4. Let It Come Down
Face B
  1. Afterglow
  2. The Root
  3. Millenium
  4. Belly of the Beast (Back in Babylon)
  5. Other World
1994 : The Conversation (Instinct Records)
Disque 1
  1. Exterminating Angel (Intro)
  2. Brutal But Clean
  3. The Message (An Original Hollywood Theme)
  4. Let's Start
  5. Night Rider
  6. I Think
  7. The Heat
  8. Harmonic Parallel
Disque 2
  1. Project80
  2. Exterminating Angel (Outro)
2019 : Chance Versus Causality (Mute Records)
Bande originale officielle du film de Babeth Mondini sorti en 1979.
Face A
  1. Part 1
  2. Part 2
Face B
  1. Part 3
Face C
  1. Part 4
Face D
  1. Part 5
  2. Part 6
  3. Part 7
2020 : Shadow Of Fear (Mute Records)
Face A
  1. Be Free
  2. The Power (Of Their Knowledge)
Face B
  1. Night Of The Jackal
  2. Microscopic Flesh Fragment
Face C
  1. Papa Nine Zero Delta United
  2. Universal Energy
Face D
  1. Vasto
  2. What's Goin' On
2021 : Dekadrone (Mute Records)
Prévision de sortie le 26 mars 2021
2021 : BN9Drone (Mute Records)
Prévision de sortie le 23 avril 2021

Compilations

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1978 : 1974-76
Face A
  1. The Dada Man
  2. Ooraseal
  3. A Sunday Night In Biot
  4. In Quest Of The Unusual 2:43
  5. Do The Snake 6:53
  6. Fade Crisis 3:15
Face B
  1. Doubled Delivery 5:42
  2. Venusian Animals 5:27
  3. The Outer Limits 8:48
  4. She Loved You
1988 : Eight Crepuscule Tracks, par Cabaret Voltaire (Interior Music)
Attention
Le contenu de cet album n'est pas renseigné.
1990 : The Living Legends..., par Cabaret Voltaire (Mute)
Attention
Le contenu de cet album n'est pas renseigné.
1990 : Listen Up With Cabaret Voltaire Mute, par Cabaret Voltaire (Mute)
Attention
Le contenu de cet album n'est pas renseigné.

EP et 45 tours

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1978 : Extended Play
Paru sur Rough Trade Records, ce 45T a été produit et enregistré à Western Works en 1978 par Cabaret Voltaire.

Face A

  1. Talkover
  2. Here She Comes Now

Face B

  1. Do the Mussolini (Headkick!)
  2. The Set up
1978 : FAC-2 - A Factory Sample
Techniquement un double mini 33 T, il s'agit du premier disque sorti par le label Factory Records dont la pochette papier sous plastique transparent est signée Peter Saville. Cabaret Voltaire occupe une face (produite par Cabaret Voltaire), les autres groupes présents étant Joy Division, The Durutti Column et John Dowie.
FAC-2

Face 1-A : Joy Division

  1. Digital
  2. Glass

Face 1-B : Durutti Column

  1. No Communication
  2. Thin Ice (Detail)

Face 2-A : John Dowie

  1. Acne
  2. Idiot
  3. Hitler's Liver

Face 2-B : Cabaret Voltaire

  1. Baader Meinhof
  2. Sex in Secret
1979 : Nag Nag Nag
Face A
Nag Nag Nag - avril 1979

Face B

Is That Me (Finding Someone at the Door Again?) - enregistré live juin 1975
1979 : Silent Command
Paru sur Rough Trade Records, ce 45 T a été produit et enregistré à Western Works en octobre 1979 par Cabaret Voltaire.

Face A

Silent Command

Face B

Chance versus Causality (Extract from soundtrack for Chance versus Causality)
1980 : Seconds too Late
Paru sur Rough Trade Music, ce 45 T a été enregistré à Western Works en septembre 1980 par Cabaret Voltaire et produit par Cabaret Voltaire et Geoff Travis.

Face A

Seconds Too Late

Face B

Control Addict
1980 : Three Mantras
Face A
Western Mantra

Face B

Eastern Mantra
1985 : Drinking Gasoline
Sorti chez Virgin, cet EP a été produit et enregistré à Western Works, à Sheffield, entre décembre 1984 et janvier 1985 par Cabaret Voltaire. Tous les titres sont composés par Cabaret Voltaire (Kirk et Mallinder). Ce double maxi 45t contient en fait quatre morceaux extraits de la cassette VHS Gasoline In Your Eye (compilation de vidéoclips du groupe) inédits sur disque.

Disque 1

Face A

Kino

Face B

Sleepwalking

Disque 2

Face A

Big Funk

Face B

Ghost Talk

Notes et références

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  1. ↑ a b c d e et f (en) John Bush, « Cabaret Voltaire - Biography », sur AllMusic (consulté le ).
  2. ↑ a et b (en) « Cabaret Voltaire - Electropunk to... Review », sur Pitchfork (consulté le ).
  3. ↑ (en) Reynolds, Simon., Rip It Up, and start Again
  4. ↑ Rip it Up and Start Again, (ISBN 9780571252275, lire en ligne).
  5. ↑ a et b (en) « Cabaret Voltaire - Mix-Up Review », sur AllMusic (consulté le ).
  6. ↑ (en) Wilson Neate, « Cabaret Voltaire - Live at the YMCA Review », sur AllMusic (consulté le ).
  7. ↑ a b c d et e David Roberts, British Hit Singles and Albums, Londres, Guinness World Records Limited, , 19e éd., 717 p. (ISBN 1-904994-10-5), p. 89.
  8. ↑ (en) Wilson Neate, « Cabaret Voltaire - Three Mantras Review », sur AllMusic (consulté le ).
  9. ↑ a et b (en) Wilson Neate, « Cabaret Voltaire - Red Mecca review », sur AllMusic (consulté le ).
  10. ↑ (en) « Cabaret Voltaire - 2x45 Review », sur AllMusic (consulté le ).
  11. ↑ (en) Ned Raggett, « Cabaret Voltaire - The Covenant, the Sword and the Arm of the Lord review », sur AllMusic (consulté le ).
  12. ↑ (en) Bill Cassel, « Code review », sur AllMusic (consulté le ).
  13. ↑ (en) John Bush, « Cabaret Voltaire - Groovy, Laidback and Nasty review », sur AllMusic (consulté le ).
  14. ↑ (en) « Cabaret Voltaire to play first gig in 20 years at Berlin festival », NME.com (consulté le ).
  15. ↑ (en) « Cabaret Voltaire musician dies aged 65 », sur independent.co.uk, (consulté le ).

Liens externes

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