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Samuel Eilenberg

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Samuel Eilenberg
Samuel Eilenberg
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 84 ans)
New YorkVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Formation
Université de Varsovie (jusqu'en )Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Directeurs de thèse
Distinctions
Archives conservées par
University Archives, Columbia University (d) (0028)Voir et modifier les données sur Wikidata
Prononciation
Œuvres principales
Chevalley–Eilenberg algebra (d), Espace d'Eilenberg-MacLane, axiomes d'Eilenberg-Steenrod, suite spectrale d'Eilenberg-Moore (d), Eilenberg-Maclane spectrum (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Samuel Eilenberg (, Varsovie, New York) est un mathématicien américain d'origine juive-polonaise.

Samuel Eilenberg obtient son doctorat de mathématiques à l'université de Varsovie en 1936, sous la direction de Kazimierz Kuratowski et Karol Borsuk, et fait partie de l'École mathématique de Varsovie. Il fuit la Pologne pour les États-Unis en 1939. Il est professeur et chercheur en mathématiques à l'université Columbia à New York de 1947 à 1982.

Eilenberg privilégie la topologie algébrique, la théorie de l'homologie et la théorie des catégories dont lui et Saunders Mac Lane sont les pères fondateurs.

Eilenberg est aussi membre-collaborateur du groupe Bourbaki. En 1956, Henri Cartan et Samuel Eilenberg sont les auteurs du livre Homological Algebra qui est un classique en algèbre homologique. À partir de 1966, il s'intéresse à la théorie des automates et y contribue en écrivant le livre Automata, Langages and Machines et en créant le modèle X-machine (en).

Samuel Eilenberg est aussi un collectionneur d'art asiatique et fait don en 1987 de 400 pièces de sa collection au Metropolitan Museum de New York, bien que la provenance de certaines de ces pièces reste énigmatique[1].

Distinctions et récompenses

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. S Vijay Kumar, « Blood antiquities from Kashmir in a New York Museum », sur The New Indian Express, (consulté le )