2015 en climatologie
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Cet article présente les faits marquants de l'année 2015 en climatologie.
Évènements
[modifier | modifier le code]2015 est la 3e année la plus chaude depuis le début des relevés (1850), a été confirmée comme marquée par une température moyenne de 1,1 °C de plus que la période préindustrielle 1850-1900 à exæquo avec 2017[1].
L'année 2015 fut la plus chaude depuis 1880 selon la NOAA et la NASA, dépassant le record précédent de 2014 [2]. Le phénomène El Niño y fut si intense que les météorologues américains l’ont baptisé avec humour « Bruce Lee »[3].
« Le trou de la couche d'ozone de 2015 a été l'un des plus graves jamais enregistrés en ce qui concerne la superficie maximale, et le déficit intégré et a été particulièrement durable, avec de nombreuses valeurs supérieures aux extrêmes précédents en octobre, novembre et décembre »[4]. Ceci a été ensuite (en 2019) attribué à des conditions très froides en altitude, et aux effets d'aérosols issus de l'éruption du volcan Calbuco (Chili) en avril 2015[4].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « 2015 » (voir la liste des auteurs).
- « 2015-2018: les 4 années les plus chaudes jamais enregistrées », sur L'Express, (consulté le )
- « 2015, la plus chaude des années, et de loin », Le Monde, 20 janvier 2016.
- « El niño, le retour du phénomène », sur ledauphine.com,
- Tully M.B, Klekociuk A.R, Krummel P.B, Gies H.P, Alexander S.P, Fraser, P.J, ... & Stone K.A (2019) The Antarctic ozone hole during 2015 and 2016. Journal of Southern Hemisphere Earth System Science, 1-32 (résumé).