dbo:abstract
|
- La religion en Suisse est autorisée par l'article 49 de la Constitution de 1874 qui garantit la liberté de culte. L’ n'a plus de religion d'État, mais « Au nom de Dieu Tout-Puissant ! » sont les premiers mots inscrits dans la Constitution suisse et les cantons peuvent choisir de reconnaître ou non une ou plusieurs religions d'État « officielles ». La Constitution de 1999 prévoit à son article 15 la liberté de conscience et de croyance. L’État suisse n'est pas pour autant un État laïc, car il n'impose pas une neutralité dans l'espace public : il n'interdit pas le port de signes distinctifs religieux (comme le voile islamique) à l'école ou dans l'administration, ni le catéchisme chrétien ou le cours d'histoire biblique à l'école, appelé cours d’éthique et de cultures religieuses, cours qui n'est pas obligatoire à l'école publique. Selon le relevé structurel de la population 2010, la religion la plus répandue de la population âgée de 15 ans ou plus du pays est la religion catholique, avec 38,82 % de la population. La deuxième religion est l'Église évangélique réformée, avec 30,9 % de la population. Généralement, les cantons se réclament de l'une des deux confessions. L'islam est la quatrième religion avec 4,5 % de la population. 40 000 à 50 000 alévis bektachis vivent en Suisse, la plupart d'origine turque. Le parlement bâlois a accordé le 17 octobre 2012 la reconnaissance cantonale à la communauté alévie. Les orthodoxes toutes tendances confondues représenteraient environ 1,81 % de la population. La présence de communautés juives en Suisse est attestée avant la création de la première Confédération. Elle est de nos jours organisée en institutions dans la plupart des grandes villes et représente 0,25 % de la population. La proportion des habitants se déclarant sans religion est de 20 % actuellement. 4,33 % n'a pas révélé ses croyances. D'après l'Eurobaromètre 2005,
* 48 % des citoyens suisses ont répondu qu'« ils croyaient qu'il existe un Dieu ».
* 39 % ont répondu « qu'ils croyaient qu'il y a une sorte d'esprit ou une force vivante ».
* 9 % ont répondu qu'ils « ne croyaient pas qu'il existe une sorte d'esprit, de Dieu, ou de force vivante ». (fr)
- La religion en Suisse est autorisée par l'article 49 de la Constitution de 1874 qui garantit la liberté de culte. L’ n'a plus de religion d'État, mais « Au nom de Dieu Tout-Puissant ! » sont les premiers mots inscrits dans la Constitution suisse et les cantons peuvent choisir de reconnaître ou non une ou plusieurs religions d'État « officielles ». La Constitution de 1999 prévoit à son article 15 la liberté de conscience et de croyance. L’État suisse n'est pas pour autant un État laïc, car il n'impose pas une neutralité dans l'espace public : il n'interdit pas le port de signes distinctifs religieux (comme le voile islamique) à l'école ou dans l'administration, ni le catéchisme chrétien ou le cours d'histoire biblique à l'école, appelé cours d’éthique et de cultures religieuses, cours qui n'est pas obligatoire à l'école publique. Selon le relevé structurel de la population 2010, la religion la plus répandue de la population âgée de 15 ans ou plus du pays est la religion catholique, avec 38,82 % de la population. La deuxième religion est l'Église évangélique réformée, avec 30,9 % de la population. Généralement, les cantons se réclament de l'une des deux confessions. L'islam est la quatrième religion avec 4,5 % de la population. 40 000 à 50 000 alévis bektachis vivent en Suisse, la plupart d'origine turque. Le parlement bâlois a accordé le 17 octobre 2012 la reconnaissance cantonale à la communauté alévie. Les orthodoxes toutes tendances confondues représenteraient environ 1,81 % de la population. La présence de communautés juives en Suisse est attestée avant la création de la première Confédération. Elle est de nos jours organisée en institutions dans la plupart des grandes villes et représente 0,25 % de la population. La proportion des habitants se déclarant sans religion est de 20 % actuellement. 4,33 % n'a pas révélé ses croyances. D'après l'Eurobaromètre 2005,
* 48 % des citoyens suisses ont répondu qu'« ils croyaient qu'il existe un Dieu ».
* 39 % ont répondu « qu'ils croyaient qu'il y a une sorte d'esprit ou une force vivante ».
* 9 % ont répondu qu'ils « ne croyaient pas qu'il existe une sorte d'esprit, de Dieu, ou de force vivante ». (fr)
|
rdfs:comment
|
- La religion en Suisse est autorisée par l'article 49 de la Constitution de 1874 qui garantit la liberté de culte. L’ n'a plus de religion d'État, mais « Au nom de Dieu Tout-Puissant ! » sont les premiers mots inscrits dans la Constitution suisse et les cantons peuvent choisir de reconnaître ou non une ou plusieurs religions d'État « officielles ». La Constitution de 1999 prévoit à son article 15 la liberté de conscience et de croyance. Les orthodoxes toutes tendances confondues représenteraient environ 1,81 % de la population. D'après l'Eurobaromètre 2005, (fr)
- La religion en Suisse est autorisée par l'article 49 de la Constitution de 1874 qui garantit la liberté de culte. L’ n'a plus de religion d'État, mais « Au nom de Dieu Tout-Puissant ! » sont les premiers mots inscrits dans la Constitution suisse et les cantons peuvent choisir de reconnaître ou non une ou plusieurs religions d'État « officielles ». La Constitution de 1999 prévoit à son article 15 la liberté de conscience et de croyance. Les orthodoxes toutes tendances confondues représenteraient environ 1,81 % de la population. D'après l'Eurobaromètre 2005, (fr)
|