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- Le Paysan parvenu est un roman-mémoires français en cinq parties de Marivaux, paru chez Pierre Prault de 1734 au début de 1735. Les parties du Paysan parvenu, parues à intervalles rapprochés de 1734 au début de 1735, sont au nombre de cinq. Toutes les éditions publiées dans la seconde moitié du XVIIIe siècle et dans le XIXe en eurent huit : en 1756, Henri Scheurleer avait donné, à La Haye, une édition des livres VI, VII et VIII à la tête de laquelle figurait une Préface qui, reprise dans l’édition Varrentrapp, Francfort, 1758, disparut ensuite, notamment dans l’édition des Œuvres complètes de 1781 chez la Veuve Duchesne, de sorte que rien ne distingua plus, dès lors, les cinq parties originales de Marivaux des trois apocryphes de son continuateur anonyme. Comme la Vie de Marianne, le Paysan parvenu est un récit à la première personne. Jacob de La Vallée raconte sa jeunesse comme Marianne a raconté la sienne, et la vie des deux personnages n’est pas sans analogie, si l’on s’en tient aux lignes générales. Marianne est une enfant recueillie sur une grande route, mais jolie, spirituelle, honnête, qui se fraye par elle-même un chemin dans le monde à travers toutes sortes de difficultés. Jacob est un fils de paysan sans fortune, mais joli garçon et de beaucoup d’esprit, qui se fraye de même son chemin dans le monde. Mais le milieu dans lequel ils sont jetés est différent : Marianne se trouve lancée dans l’aristocratie, Jacob accède à la bourgeoisie. (fr)
- Le Paysan parvenu est un roman-mémoires français en cinq parties de Marivaux, paru chez Pierre Prault de 1734 au début de 1735. Les parties du Paysan parvenu, parues à intervalles rapprochés de 1734 au début de 1735, sont au nombre de cinq. Toutes les éditions publiées dans la seconde moitié du XVIIIe siècle et dans le XIXe en eurent huit : en 1756, Henri Scheurleer avait donné, à La Haye, une édition des livres VI, VII et VIII à la tête de laquelle figurait une Préface qui, reprise dans l’édition Varrentrapp, Francfort, 1758, disparut ensuite, notamment dans l’édition des Œuvres complètes de 1781 chez la Veuve Duchesne, de sorte que rien ne distingua plus, dès lors, les cinq parties originales de Marivaux des trois apocryphes de son continuateur anonyme. Comme la Vie de Marianne, le Paysan parvenu est un récit à la première personne. Jacob de La Vallée raconte sa jeunesse comme Marianne a raconté la sienne, et la vie des deux personnages n’est pas sans analogie, si l’on s’en tient aux lignes générales. Marianne est une enfant recueillie sur une grande route, mais jolie, spirituelle, honnête, qui se fraye par elle-même un chemin dans le monde à travers toutes sortes de difficultés. Jacob est un fils de paysan sans fortune, mais joli garçon et de beaucoup d’esprit, qui se fraye de même son chemin dans le monde. Mais le milieu dans lequel ils sont jetés est différent : Marianne se trouve lancée dans l’aristocratie, Jacob accède à la bourgeoisie. (fr)
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- Le Paysan parvenu est un roman-mémoires français en cinq parties de Marivaux, paru chez Pierre Prault de 1734 au début de 1735. Les parties du Paysan parvenu, parues à intervalles rapprochés de 1734 au début de 1735, sont au nombre de cinq. Toutes les éditions publiées dans la seconde moitié du XVIIIe siècle et dans le XIXe en eurent huit : en 1756, Henri Scheurleer avait donné, à La Haye, une édition des livres VI, VII et VIII à la tête de laquelle figurait une Préface qui, reprise dans l’édition Varrentrapp, Francfort, 1758, disparut ensuite, notamment dans l’édition des Œuvres complètes de 1781 chez la Veuve Duchesne, de sorte que rien ne distingua plus, dès lors, les cinq parties originales de Marivaux des trois apocryphes de son continuateur anonyme. (fr)
- Le Paysan parvenu est un roman-mémoires français en cinq parties de Marivaux, paru chez Pierre Prault de 1734 au début de 1735. Les parties du Paysan parvenu, parues à intervalles rapprochés de 1734 au début de 1735, sont au nombre de cinq. Toutes les éditions publiées dans la seconde moitié du XVIIIe siècle et dans le XIXe en eurent huit : en 1756, Henri Scheurleer avait donné, à La Haye, une édition des livres VI, VII et VIII à la tête de laquelle figurait une Préface qui, reprise dans l’édition Varrentrapp, Francfort, 1758, disparut ensuite, notamment dans l’édition des Œuvres complètes de 1781 chez la Veuve Duchesne, de sorte que rien ne distingua plus, dès lors, les cinq parties originales de Marivaux des trois apocryphes de son continuateur anonyme. (fr)
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