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- --11-03
- « Les hommes sont des enfants terribles, et la science est, entre leurs mains, un jouet extrêmement dangereux. » (fr)
- « Aux regards de tous, en 1920, M. Collier, représente le Directeur complet , comme en 1900, il passait pour le parfait professeur. Il a étendu son action personnelle aux limites extrêmes que lui assignent son caractère et sa fonction, et que lui permet une situation anormale. Il a suscité autour de lui, il a favorisé toutes les initiatives compatibles avec les ressources matérielles et humaines dont il dispose ; il a, en l'espèce, uni la hardiesse et la prudence, concilié le progrès et la tradition. » (fr)
- « Voyons le but à atteindre : préparer la France de demain par la constitution d'une élite chrétienne. » (fr)
- « Le danger, pour l'enseignement libre, réside dans sa pénurie de maîtres ; et le principe du mal dont souffrent les écoles catholiques se trouve dans la loi de juillet 1904. » (fr)
- Créée en 1849, l’« Académie » de l'école commerciale des Francs-Bourgeois rassemble une douzaine des élèves les plus âgés et les plus méritants en trois sections : littérature, mathématiques et beaux-arts. D'abord candidats pendant plusieurs mois, ils sont élus titulaires par leurs pairs. Leur uniforme se distingue par des palmes d'argent au col de leur tunique. (fr)
- Ce dernier « déplorait que le frère eût succédé au frère ». (fr)
- Qui deviendra supérieur général en 1884. (fr)
- Le parti radical d'Édouard Herriot est, selon Charles Collier, « sous l'inspiration de la franc-maçonnerie ». (fr)
- « Une des causes des travers intellectuels constatés chez beaucoup d'enfants, et en particulier, de la légèreté, se trouve, je crois, dans certaines habitudes du milieu familial. On distrait trop l'élève de ses études... Tout le dissipe, tout provoque la dispersion de ses facultés. » (fr)
- « Ils doivent user de toute leur influence pour éclairer l'opinion publique, agir sur le Parlement et obtenir l'abrogation. » (fr)
- « Il n'est point d'usage, « chez nous », de dresser des statues aux vivants, ni même de leur adresser des louanges hyperboliques... Il est pourtant des cas où la justice, la reconnaissance, les simples convenances exigent certaines manifestations en l'honneur d personnes dont la carrière est loin d'être terminée. Ces témoignages d'estime, d'affection, de gratitude, hommage spontané au mérite, au dévouement poussé parfois à l'héroïsme, n'ont pour but que de marquer une étape solennelle dans une vie dont la plénitude, l'unité, provoquent, imposent l'admiration ». (fr)
- « Elle [la Providence] voulait bien donner une nouvelle preuve de sa bienveillance, en me ramenant, pour deux semaines, sur la terre de France, à Rouen même. » (fr)
- « Au grand jour, bruyamment, voici qu'éclatent revendications nationales et revendications sociales ; les unes et les autres sont grosses de menaces et laissent présager heurts et conflits ». (fr)
- « Ce n'est pas pour deux semaines, mais à titre définitif, que le cher Monsieur Collier a été ramené en terre normande. » (fr)
- « Le Cher Frère Assistant, n'en ayant pas d'autre pour prendre votre succession, ..., malgré son désir de vous être agréable hésite à vous exaucer » lui écrit le frère Adrien, supérieur général en 1934. Le frère Adrien qui a succédé à son frère, Jean Petiot à la tête de l'Institut, n'a pas les mêmes relations amicales que son aîné avec Charles Collier. (fr)
- Louis Leter , élève de Saint-Pierre à Dreux dans la classe de Charles Collier en 1889. Il obtient son baccalauréat en 1896 sous la férule de son ancien professeur devenu entre-temps frère Adolphe-Joseph. Poursuivant ses études de pharmacie au Mans, il décide de les abandonner en 1898 pour entrer au noviciat des Frères des écoles chrétiennes au Rancher. Il prend l'habit en sous le nom de frère Albert-Valentin. Il fut professeur à Saint Pierre de Dreux de 1899 à 1904 et au pensionnat Jean-Baptiste-de-La-Salle de Rouen de 1904 à 1945 ; il en assuma les fonctions de directeur, par intérim, entre avril et . (fr)
- « La doctrine d’Action française est appréciée par une partie influente des catholiques... la Villerabel lui-même y est favorable ». (fr)
- « Citoyens, usez des prérogatives que la loi vous reconnaît; électeurs, employez l'arme qui est entre vos mains : le bulletin de vote. » (fr)
- « Chez certains la démobilisation morale n'avait pas attendu que fussent échangées les signatures des plénipotentiaires. Et depuis un an, nous assistons, écœurés, au déchaînement des pires convoitises et des plus bas instincts. » (fr)
- Georges Blanpain intègre la classe de Charles Collier à Saint-Pierre de Dreux en 1895 pour y obtenir son baccalauréat. Après deux années à la banque Le Hideux, il entre à l'observatoire de Paris en 1897. En 1899, lors d'une visite au Rancher à son ami Louis Leter, il décide d'abandonner son travail pour entrer dans l'ordre des Frères des écoles chrétiennes. En 1899, il devient le frère Alfred-Valentin, enseigne à l'école Saint-Nicolas, rue de Vaugirard à Paris en 1900 et 1901, à l'école Saint-Ferdinand de Chartres alors qu'il effectue son service militaire dans la ville au d'infanterie. Devient professeur à Saint-Pierre de Dreux de 1902 à 1904 puis au pensionnat Jean-Baptiste-de-La-Salle de Rouen de 1904 à 1926. Il succède à Charles Collier à la direction de cet établissement jusqu'en 1937. (fr)
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