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La Celle-Dunoise

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La Celle-Dunoise
La Celle-Dunoise
Vue d'ensemble du pont et de la partie ancienne de La Celle-Dunoise
Blason de La Celle-Dunoise
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Dunois
Maire
Mandat
Jacques-André Boquet
2021-2026
Code postal 23800
Code commune 23039
Démographie
Population
municipale
532 hab. (2021 en évolution de −1,85 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 18′ 38″ nord, 1° 46′ 15″ est
Altitude Min. 216 m
Max. 392 m
Superficie 29,11 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Guéret
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dun-le-Palestel
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Liens
Site web lacelledunoise.fr

La Celle-Dunoise (La Cele de Dun en occitan marchois) est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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La commune est située à environ 20 kilomètres au nord-ouest de Guéret.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

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Hydrographie et hameaux, écarts et lieux-dits

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La commune s'étend de part et d'autre de la Grande Creuse et comporte 38 hameaux, écarts ou lieux-dits : Le Bachelier, Beausoleil, La Betoulle, Bouéry, La Brande, La Brousse, La Bussière, Caux, Cessac, La Chaize, Le Chaugat, Les Chiers, Le Chiron, Le Cluzeau, Les Combres, Le Couraud, Le Couret, La Font-Pouzet, La Gilardière, Grand-Marseuil, Les Granges, Le Jouillat, Lage, Lavaud, Longsagne, Petit-Marseuil, Le Poirier, Puy- Chevalier, Puyduris, Puylareau, Puymanteau, Puymartin, Puyredeuil, La Tronchette, La Vallade, La Villatte, Villejeux et Villemore.

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique limousin et le climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 928 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dun-le-Palestel à 8,06 km à vol d'oiseau[4], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , La Celle-Dunoise est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,4 %), prairies (36,1 %), forêts (18,3 %), terres arables (3,1 %), zones urbanisées (1,4 %), eaux continentales[Note 2] (0,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de La Celle-Dunoise est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Creuse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Celle-Dunoise.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 25 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 568 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 198 sont en aléa moyen ou fort, soit 35 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval du barrage de Confolent, un ouvrage sur la Creuse de classe A[Note 3] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 4,7 millions de mètres cubes[19]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[20].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de La Celle-Dunoise est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].

Transports en commun

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La Celle en 1793, La Celle-Dunois en 1801[22].

Son nom fait référence au pays "Dunois" (ainsi nommé en référence à Dun-le-Palestel, l'antique Dunum), comme celui d'autres communes (Bussière-Dunoise, Saint-Sulpice-le-Dunois).

Le nom de la localité est mentionné sous les formes latinisées Ecclesia de Cella en 1154, Prior de Cella en 1216, Ecclesia de Cella dunensi en 1339 qui montre que l'adjectif dunoise (latinisé en dunensi) est déjà attesté au Moyen Âge[23],[24].

Les mot Celle et Cela en toponymie signifient « cellule, ermitage, dépendance d'un monastère » tant en langue d'oïl qu'en occitan qui est parlé localement. Ici il s'agit du terme occitan générique Cela qui a été francisé, généralement en Celle dans les noms de lieux[25]. En marchois, dialecte qui est parlé sur place le « a » final occitan n'existant pas il est remplacé par un « e » muet comme en français[26]. La Cela en ancien occitan devient donc La Cele en marchois moderne, facilitant la francisation en La Celle.

La Celle-Dunoise a des origines gallo-romaines, comme en témoignent différents vestiges découverts sur le territoire de la commune. Elle se situe sur le tracé d'une ancienne voie gallo-romaine venant d'Aigurande (Equoranda), qui bifurquait à Chambon-Sainte-Croix (Cambo), passait par le hameau de Puy-Manteau, traversait la Creuse à Cella, pour rejoindre ensuite Salagnac (Salaniacum), Saint-Goussaud et enfin Limoges (Augustoritum).

Un château fort y avait été édifié au XIIe siècle. Il fut détruit vers 1500. Il appartenait à la famille de La Celle, citée pour la première fois au milieu du XIe siècle, l’une des plus puissantes de la Marche au Moyen Âge. Il n'en subsiste rien aujourd'hui.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 mars 2014 Jean-Marie Sachet    
mars 2014 novembre 2021 Claude Landos SE Docteur en médecin générale
décembre 2021 En cours Jacques-André Boquet SE  

Politique environnementale

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Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[27].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 532 habitants[Note 4], en évolution de −1,85 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8211 7271 5081 8481 8581 9141 9531 9761 995
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9351 8421 8581 7761 9021 8201 8801 8001 740
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6661 6071 5491 3501 2821 2301 1921 0951 005
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
898880732668589598610606607
2014 2019 2021 - - - - - -
547541532------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

On y trouve un cabinet médical, neuf artisans œuvrant essentiellement dans le secteur du bâtiment (couverture, plomberie-chauffage, électricité, menuiserie, etc.), un salon de coiffure, deux restaurants-bars et un petit magasin de produits alimentaires locaux. La commune est le siège social d'une cartonnerie dont les ateliers se situent à Bonnat[31]. Quatre artistes peintres ou créateurs d'objets d'art ou de bijoux sont également installés à La Celle-Dunoise. L'école primaire fonctionne dans le cadre d'un accord avec la commune limitrophe de Saint-Sulpice-le-Dunois.

Un camping et des chalets en location permettent d'accueillir l'été des touristes à l'intention desquels ont été aménagés deux courts de tennis ainsi qu'une baignade sur la rive gauche de la Creuse.

Culture locale et patrimoine

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La Creuse et l'ancien moulin.
L'église Saint Pierre-ès-Liens.

Lieux et monuments

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  • L'ensemble de la vallée de la Creuse, à laquelle appartient La Celle-Dunoise, est classée comme site Natura 2000.
La Creuse décrit une ample courbe, au milieu de laquelle la diagonale de la chaussée d’un ancien moulin forme une cascade dont les bouillonnements vont se perdre sous les arches d’un pont dont les origines se situent au XIVe siècle (il fut entièrement refait en 1891 à partir du plan originel).
Située dans la partie la plus ancienne du village, surplombe la rivière. Elle est placée sous le vocable de saint Pierre-ès-Liens.
À l'origine, elle était sans doute « un édifice à vaisseau unique avec chœur à trois ou cinq pans[32] ». Le portail ouest (XIIIe) est de facture typiquement limousine. Sur le mur extérieur Nord, l’ancien portail polylobé a été muré ; remarquer une porte en accolade de style flamboyant (début du XVIe).
Contre le mur extérieur Sud, une « pierre des morts[33] » n’est autre qu’un cippe gallo-romain réutilisé. La façade occidentale et la première travée de la nef ont été reconstruites en 1864 sur les plans de l'architecte départemental Masbrenier[34]. La petite tourelle située au nord ne serait pas un vestige de fortification ; on suppose qu’il pouvait s’agir d’un pigeonnier.
À l’intérieur, on verra notamment des chapiteaux sculptés figurant des animaux. La chapelle sud, flamboyante, est consacrée à la Vierge. Elle fut consacrée en 1455 par Michel de Montbrun, évêque de Nicosie, coadjuteur de l'évêque de Limoges[35].
Le portail et l’abside de l'église sont classés au titre des Monuments historiques le , les parties non protégées étant inscrites au titre des Monuments historiques par arrêté du [36].
  • Sur la route de Saint-Sulpice-le-Dunois, à la sortie de la Celle-Dunoise, sur la gauche, on aperçoit, creusée dans le rocher, l'entrée de la galerie d'une ancienne mine d'or (accès interdit). Elle abrite des chauve-souris, espèce protégée.
  • Le barrage de l'Âge, sur la Grande Creuse, a été mis en service en 1982. Haut de près de 20 mètres, il appartient à EDF.

Cartes postales anciennes

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Personnalité liée à la commune

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  • Louis Lacrocq (1868-1940), avocat, érudit, ancien président de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, auteur de nombreux articles sur l'archéologie gallo-romaine et l'architecture religieuse du département.

Héraldique

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Blason de La Celle-Dunoise Blason
D'argent à une aigle de sable, becquée et membrée d'or[37].
Détails
Armes de la famille de La Celle.

Utilisé par la commune.

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Bibliographie

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Louis Lacrocq, Monographie de La Celle-Dunoise, Guéret, Lecante, 1929 (réédition en 1982)[38].

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[18].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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Références

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  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre La Celle-Dunoise et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Dun-le-Palestel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Dun-le-Palestel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Guéret », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de La Celle-Dunoise », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Celle-Dunoise », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. Article R214-112 du code de l’environnement
  19. « barrage de Confolent », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  21. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. André Lecler, Dictionnaire topographique, archéologique et historique de la Creuse, Limoges, Ducourtieux, 1902 (Laffitte reprints, 2000), p. 104.
  24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, librairie Droz (Lire en ligne)
  25. Ernest Nègre, Op. cit.
  26. Jean-Pierre Baldit, « Quelle graphie utilisée pour le marchois ? », Patois et chansons de nos grands-pères marchois. Haute-Vienne, Creuse, Pays de Montluçon (dir. Jeanine Berducat, Christophe Matho, Guylaine Brun-Trigaud, Jean-Pierre Baldit, Gérard Guillaume), Paris, Éditions CPE,‎ , p. 84-87 (ISBN 9782845038271).
  27. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Site de l'entreprise
  32. Monuments historiques du Limousin, 1985-1995. 10 ans de protection, Limoges, Association Culture et patrimoine en Limousin, 1995, p. 36.
  33. Dans le Limousin, une ancienne tradition voulait que l'on dépose les cercueils devant les églises sur des « pierres des morts ». Le curé bénissait alors le cercueil, comme pour donner au défunt « l'entrant » dans l'église, autrement dit dans la demeure du Père.
  34. Monuments historiques du Limousin, 1985-1995, Ibid.
  35. André Lecler, Ibid.
  36. « Église Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA00100026, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « 23039 La Celle-Dunoise (Creuse) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  38. Cet ouvrage fit l'objet d'un compte rendu élogieux de la part de Marc Bloch dans la revue Les Annales : [1]