Saint-Amarin
Saint-Amarin | |
Hôtel de ville de Saint-Amarin. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Haut-Rhin |
Arrondissement | Thann-Guebwiller |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée de Saint-Amarin (siège) |
Maire Mandat |
Charles Wehrlen 2020-2026 |
Code postal | 68550 |
Code commune | 68292 |
Démographie | |
Population municipale |
2 200 hab. (2021 ) |
Densité | 189 hab./km2 |
Population agglomération |
9 691 hab. (2021) |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 52′ 23″ nord, 7° 01′ 54″ est |
Altitude | Min. 393 m Max. 1 347 m |
Superficie | 11,61 km2 |
Type | Petite ville |
Unité urbaine | Saint-Amarin (ville-centre) |
Aire d'attraction | Mulhouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Cernay |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | ville-saint-amarin.fr |
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Saint-Amarin est une commune française située dans l'aire d'attraction de Mulhouse et faisant partie de la Collectivité européenne d'Alsace (circonscription administrative du Haut-Rhin), en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Ses habitants sont appelés les Saint-Amarinois et les Saint-Amarinoises.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Saint-Amarin (Sankt-Amàri en alsacien) est située à 412,07 mètres au-dessus du niveau moyen de la mer à Marseille, l'altitude minimale étant de 395 mètres à la sortie de la Thur, en amont de l'église Saint-Joseph-Artisan de Malmerspach et l'altitude maximale étant de 1 345 mètres, en léger contrebas du sommet du Storkenkopf[1]. La petite ville se situe à 9 km au nord-ouest de Thann dans le département du Haut-Rhin (68). Elle se situe dans les Hautes Vosges cristallines, près du département des Vosges, dans la vallée de la Thur. Cette vallée est une ancestrale voie de passage entre la plaine d'Alsace (Mulhouse) et la haute vallée de la Moselle (Bussang, Remiremont), déjà utilisée du temps des Romains pour atteindre Trèves, mais aussi les vallées de la Moselotte (La Bresse) et la Vologne (Gérardmer). Néanmoins, de nos jours, la congestion de la route (RN 66) la traversant reste un problème conséquent.
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C'est une des 188 communes[2] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.
Lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]- Le Vogelbach et le Hintervogelbach sur la rive droite amont de la rivière Vogelbach. Le Hintervogelbach est une zone d'ancien peuplement de fermes isolées sur les pentes reculées du vallon.
- Le Fistelhaeuser, en face du Vogelbach, dominant la rive gauche de la rivière Vogelbach d'une trentaine de mètres pour le moins.
- Le Herrenwald dominant le village par l'est.
- Le Stockenmatt, quartier au-delà de la carrière, vers le nord-ouest.
- Le Meerbaechel, ferme-auberge dominant le vallon du Vogelbach et le village par le nord, à près de 700 mètres d'altitude[3].
- La Vue des Alpes est un écart de la commune, regroupant quelques maisons agglomérées à la commune de Geishouse.
- Le Hirschenbach, vallon boisé inhabité au pied du bûcher de la Saint-Jean (Fàckel en alsacien).
- Le Mordfeldloch, arrière vallon inhabité de la rivière Vogelbach.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Thur, le ruisseau Mordfeldfoch[4], le ruisseau de Weiss Rudel[5], le ruisseau Finsterbach[6], l'Altvogelbach Runz[Note 1]et le ruisseau Rothrunz[7],[8],[Carte 1].
Le principal cours d'eau de la commune est la Thur, affluent de l'Ill, qui passe en bordure ouest de l'agglomération, avec un écoulement orienté de nord-ouest vers sud-est. Cette rivière a longtemps fourni l'énergie nécessaire aux usines locales, en particulier aux entreprises textiles, qui ont été aménagées de part et d'autre des berges. D'une longueur de 53 km, ce cours d'eau prend sa source dans la commune de Wildenstein et se jette dans l'Ill à Ensisheim, après avoir traversé 20 communes[9]. Les caractéristiques hydrologiques de la Thur sont données par la station hydrologique située sur la commune de Willer-sur-Thur. Le débit moyen mensuel est de 5,12 m3/s[Note 2]. Le débit moyen journalier maximum est de 112 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 137 m3/s, atteint le même jour[10].
Le Vogelbach est une rivière de quelques kilomètres qui prend sa source au pied du Hundskopf, à plus de mille mètres d'altitude. Il passe au cœur du village et se love autour du château, avant de s'écouler vers la Thur avec laquelle il conflue par la rive gauche. Le Vogelbach, comme la Thur, est soumis à des sautes de débit importantes, lors des fontes nivales de printemps, voire à l'occasion d'orages, aussi son cours est canalisé dans la partie aval et urbaine.
Le Hirschenbach est un ruisseau de quelques centaines de mètres qui prend sa source à 500 mètres d'altitude et se jette dans la Thur par la rive droite. Il tire sa notoriété locale par le bûcher de la Saint-Jean qui domine son vallon. La crémation des bûchers est une coutume ancestrale dans les villages de la vallée. Avec les festivités qui entourent l'embrasement du bûcher, on célèbre ainsi le solstice d'été.
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Thur ». Ce document de planification concerne le bassin versant de la Thur. Ce territoire s'étend sur 544 km2. Le périmètre a été arrêté le 4 mars 1996 et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la Direction départementale de l'agriculture et de la forêt du Haut-Rhin[11].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[13].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 447 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 10,8 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bits.-lès-Thann », sur la commune de Bitschwiller-lès-Thann à 6 km à vol d'oiseau[14], est de 10,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 309,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 4],[15],[16].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[17]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Amarin est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Amarin[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant neuf communes, dont elle est ville-centre[Note 6],[20],[21]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[21]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (71,7 %), zones urbanisées (12,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,9 %), prairies (6,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]- Doroangus en 668 (Cloroangus, du celtique tuar = maison), Sanctus Amarinus (vers 1135), Sand Heimmerin (1316), Saint Amarin (1793).
Histoire
[modifier | modifier le code]Cette vallée fut déjà visitée et occupée par les Romains. Au début du VIIe siècle, un pieux ermite nommé Marin avait bâti une cellule près de Doroangus. Étant tombé malade, il eut la visite de saint Prix, également appelé Project, évêque de Clermont qui, de la cour de Childéric II roi d'Austrasie, s'en retournait en Auvergne. Le saint prélat le guérit de la fièvre. Pour lui témoigner sa reconnaissance, Marin le reconduisit dans son diocèse. Mais arrivé à Volvic en Auvergne, les deux voyageurs furent assaillis par des brigands qui s'en prirent d'abord à l'ermite. Project, voyant l'erreur de ces gens, s'écria : je suis celui que vous cherchez. À ces mots, il tomba sous les coups du brigand nommé Radbert. Son ami et l'acolyte Elidus le suivirent de près. Rapportées à Doroangus, les reliques de Marin furent honorées en cet endroit, qui lui dut son nom. Ceci se passait en 676[25]. Le monastère de Saint-Amarin fut plus tard régularisé par les abbés de Murbach, transformé au XIIe siècle en un chapitre de chanoines dépendant de cette abbaye, qui possédait le village fondé autour du couvent et toute la vallée. Au XIIIe siècle, grâce à l'ouverture du col du Saint-Gothard, la route de la vallée de Saint-Amarin s'ouvrit au commerce international entre l'Italie et la Flandre. Pour en profiter, l'abbé de Murbach établit un péage, gardé par le château de Friedburg (avant 1255), et le défendit avec succès contre les convoitises des comtes de Ferrette et des seigneurs de Saint-Amarin. Saint-Amarin fut fortifié entre 1240 et 1260 mais déclina après que le chapitre eut été transféré à Thann en 1441.
Totalement dépeuplé par les guerres du XVIIe siècle, Saint-Amarin s'industrialisa au XIXe siècle grâce à d'anciennes mines d'argent, cuivre, plomb, cobalt, zinc.
Intégrée à l'Empire allemand après la guerre de 1870, Saint-Amarin fera partie des rares communes alsaciennes libérées par l'armée française dès .
La commune a été décorée le de la croix de guerre 1914-1918[26].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2014
[modifier | modifier le code]En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[27] :
- total des produits de fonctionnement : 1 908 000 €, soit 792 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 1 571 000 €, soit 652 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 308 000 €, soit 128 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 296 000 €, soit 123 € par habitant.
- endettement : 981 000 €, soit 407 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 9,05 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,66 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 75,86 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2021, la commune comptait 2 200 habitants[Note 8], en évolution de −4,1 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Collège public d'enseignement secondaire Robert Schuman.
Il compte plus de 600 élèves en 2013.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]- Usine DMC Concord (groupe Bernard Krief), anciennement SAIC Velcorex (textile)[36],[37].
- Usine Garnier Ponsonnet Vuillard, anciennement les « Enveloppes Vuillard » (EVA) (papier à lettres)[38].
- Restaurants et Fermes Auberges de la vallée de Saint Amarin :
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'hôtel de ville XVIIIe siècle[41].
- L'église Saint-Projet-Saint-Amarin[42],
- Cimetière[46] et monuments commémoratifs[47],[48].
- Château fort dit Château de Friedberg[49],[50].
- Voie romaine (vestiges)[51].
- Étang du Firmenweiher creusé au début des années 1970[52].
- Musée Serret[53].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Mgr Pierre Bockel, ancien archiprêtre de la cathédrale de Strasbourg, résistant durant la guerre 1939-1945, écrivain et journaliste, né le à Saint-Amarin où sa famille était réfugiée durant la guerre 1914-18, mourut le à Strasbourg ; il a été honoré par l’État d’Israël du titre de « Juste parmi les Nations » en 1988.
- Marcel Kibler (1904-1992), résistant français pendant la Seconde guerre mondiale, chef des Forces françaises de l'intérieur d' Alsace (FFIA) et un des fondateurs de la Septième colonne d'Alsace (Réseau Martial) ainsi que des Groupes mobiles d'Alsace (GMA).
Héraldique, logotype et devise
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Les armes de Saint-Amarin se blasonnent ainsi : |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Gilles Sifferlen et docteur Garcin (en collaboration avec), « Livre I La ville », dans La Vallée de Saint-Amarin, notes historiques et descriptives, t. I, Strasbourg, F. X. Leroux & Cie libraires-éditeurs, , 2e éd. (lire en ligne), p. 1-98
- Gilles Sifferlen et docteur Garcin (en collaboration avec), « Livre II Le baillage et de canton », dans La Vallée de Saint-Amarin, notes historiques et descriptives, t. I, Strasbourg, F. X. Leroux & Cie libraires-éditeurs, , 2e éd. (lire en ligne), p. 99-209
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Site de l'office du tourisme de Saint-Amarin Alsace
- Saint-Amarin sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
- Histoire de la vallée
- Photographies de Saint-Amarin et alentours en 1898-1901 et pendant la 1re Guerre Mondiale.
- La vallée de St Amarin au cours des siècles, Texte d'après celui de Paul Stinzi
- Château de Friedberg
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- l'Altvogelbach Runz ne figure pas dans la BD Carthage 2017, mais dans BD Topage 2022.
- Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 690 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/06/1966 au 01/04/2024.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Amarin comprend quatre villes-centres (Fellering, Moosch, Oderen, Saint-Amarin) et cinq communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Saint-Amarin » sur Géoportail (consulté le 15 juin 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Altitudes minimale et maximale estimées d'après « Carte IGN autour de Saint-Amarin », sur geoportail.fr (consulté le ).
- Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
- Auberge du mehrbächel
- Sandre, « le ruisseau Mordfeldfoch »
- Sandre, « le ruisseau de Weiss Rudel »
- Sandre, « le ruisseau Finsterbach »
- Sandre, « le ruisseau Rothrunz »
- « Fiche communale de Saint-Amarin », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la Thur »
- « Station hydrométrique La Thur à Willer-sur-Thur », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
- « SAGE Thur », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Amarin et Bitschwiller-lès-Thann », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bits.-lès-Thann », sur la commune de Bitschwiller-lès-Thann - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bits.-lès-Thann », sur la commune de Bitschwiller-lès-Thann - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Amarin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Amarin ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « fortification d'agglomération », notice no IA68003183, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
- Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
- « KERN Adolphe Armand » , sur deces.matchid.io (consulté le ).
- « L'ancien maire de Saint-Amarin, Germain Klingelschmidt, est décédé », Dernières Nouvelles d'Alsace, (lire en ligne)
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- « Saint-Amarin : Charles Wehrlen élu maire », L'Alsace, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- DMC Tissus repris par Bernard Krief Consulting et un groupe pakistanais
- Le spécialiste du velours alsacien SAIC Velcorex repart de l'avant
- L'histoire de GPV France
- Hôtel Au Cheval Blanc
- Auberge du Meerbäechel
- « hôtel de ville », notice no IA68003181, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « église paroissiale Saint-Projet, Saint-Amarin », notice no IA68003179, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IM68006399, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue (grand orgue)
- Inventaire de l'orgue
- « presbytère », notice no IA68003185, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « cimetière », notice no IA68003180, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Monument aux Morts, Stèle commémorative du 152e R.I., Carré militaire 1914-1918 cimetière communal, Stèle commémorative entrée du musée Serret
- À la découverte des lieux de mémoire
- « Château fort dit Château de Friedberg », notice no IA68003184, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le château de Saint-Amarin : Une citadelle nommée "Friedburg" »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- La Voie Romaine de Malmerspach
- Sentier découverte du Hirschenbach
- Musée Serret & de la Vallée de Saint-Amarin
- Archives Départementales du Haut-Rhin