Le Lindois
Le Lindois | |||||
Mur de l'ancienne église. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Confolens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Charente Limousine | ||||
Maire Mandat |
Olivier Gaillard 2020-2026 |
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Code postal | 16310 | ||||
Code commune | 16188 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
339 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 19 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 44′ 48″ nord, 0° 35′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 224 m Max. 351 m |
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Superficie | 17,95 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Charente-Bonnieure | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Le Lindois (Lo Lindois en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation et accès
[modifier | modifier le code]Le Lindois est une commune de la Charente limousine située à 6 km au sud-est de Montembœuf, chef-lieu de son canton, et 39 km à l'est d'Angoulême.
Elle est aussi à 13 km au nord-est de Montbron, 17 km à l'est de La Rochefoucauld, 35 km de Confolens et 60 km de Limoges[1].
À l'écart des grands axes routiers, la commune est limitée au nord par la D 13, route de La Rochefoucauld à Rochechouart. La D 27, route de moindre importance de Villefagnan aux Salles-Lavauguyon par Chasseneuil, Montembœuf et Sauvagnac, traverse d'ouest en est la commune et passe à 500 m au nord du bourg.
Le bourg est desservi par la D 50 qui va au sud vers Roussines et la D 164 qui va au nord vers Mouzon[2].
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Le Lindois comporte quelques gros hameaux, comme au nord Chez Tandeau, la Sudrie, la Michelie, le Roule, la Morandie ; à l'ouest, Siardet, les Roudelières ; au sud, Cros, la Gilardie, Logeat et à l'est, la Garde et la Courrière.
La Belle Étoile, en limite avec Montembœuf, marque le carrefour de la D 13 avec la D 16 et la D 27[2].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Comme toute la partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune du Lindois se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.
La moitié sud-est du bourg est occupée par le massif granitique de Saint-Mathieu, une grande partie nord-est par du gneiss, et du micaschiste à l'ouest du bourg[3],[4],[5].
La commune est relativement élevée par rapport au reste de la Charente puisqu'on dépasse couramment les 300 m. Le point le plus bas, 224 m, est situé à l'est de la commune au sud de Logeat. Le point culminant, 351 m à l'ouest de la commune à côté de celle de Mazerolles, est le point le plus élevé de toute cette partie de la Charente, qu'on appelle aussi Massif de l'Arbre.
Le relief est faiblement incliné vers le sud, vers le bassin versant de la Tardoire. Le bourg est à 283 m d'altitude.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Moulde, le ruisseau de Montizon, le ruisseau de Logeat, le ruisseau de la Michelie, le ruisseau de l'étang de la Grange et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Sur la commune du Lindois naît La Moulde, rivière longue de 18,1 km, affluent de la Charente, barrée par le barrage du Mas Chaban ce qui donne une retenue d'eau de 176 ha : le lac du Mas Chaban. Elle coule vers l'est sur sa partie communale[8].
À l'extrême nord de la commune, au nord de la D 13, la Michelie ruisseau temporaire, est un affluent de la Bonnieure et coule vers le nord en direction de Cherves-Châtelars.
La grande partie sud de la commune est sur le bassin versant de la Tardoire, autre affluent de la Charente avec la Bonnieure. On y trouve le ruisseau du Cros ou de la Séguinie au sud-ouest en limite avec Rouzède, qui alimente l'étang de la Groie, et de Logeat au sud-est. La D.27 qui passe au bourg reste sur la crête entre Moulde au nord et Tardoire au sud.
De nombreuses retenues d'eau, mares et étangs parsèment la commune. Les plus importants sont les étangs de la Groie et de Montizon situés au sud en limite avec Rouzède et Roussines.
Gestion des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].
Climat
[modifier | modifier le code]Comme cette partie orientale de la Charente comprise dans le Massif central, le climat est océanique dégradé.
Végétation
[modifier | modifier le code]La commune est assez boisée, plus de la moitié. Les arbres sont des châtaigniers, épicéas, bouleaux, chênes.
Le reste de la commune est surtout consacré à l'élevage de vaches limousines, mais on trouve quelques pépinières de par la proximité de Montembœuf.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Le Lindois est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,2 %), forêts (30,1 %), prairies (26,2 %), terres arables (6,1 %), cultures permanentes (3,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune du Lindois est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[18]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 4,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 252 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 sont en aléa moyen ou fort, soit 1 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune du Lindois est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Les formes anciennes sont Lindoys au XIIIe siècle[22], Lindesio (non daté)[23].
L'origine du nom du Lindois est assez mystérieuse. Selon certains, elle remonterait au latin indictum signifiant « foire », « champ de foire », qui pourrait s'expliquer par un lieu de passage entre vallées différentes[24]. Selon Dauzat, elle pourrait remonter à un surnom en vieux français, l'Indois, qui pourrait signifier l'Indien[25]. Toutefois, la forme ancienne et l'introduction plus récente du français dans cette région de langue d'oc infirment cette dernière explication[Note 1].
Langues
[modifier | modifier le code]La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[26]. Elle se nomme Lo Lindois en occitan[27].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le Chemin des Anglais, voie antique d'Angoulême à Limoges, bordait la commune au nord[2].
On a retrouvé un vestige de camp militaire (talus en terre), qui a sans doute servi pendant la guerre de Cent Ans, au sud-est de la Gilardie en direction de Rouzède[28],[29].
Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1655.
Le Lindois possédait autrefois un château dont il ne reste que quelques vestiges. Ce château avait été construit par Guy de Chasteigner, qui fut chambellan des rois Louis XI et Charles VIII et qui y mourut en 1547. La famille de Chasteigner conserva Le Lindois jusqu'à la Révolution.
Au début du XXe siècle, la principale industrie dans la commune était la fabrication de cercles de barriques en bois de châtaignier. Ce bois était aussi livré en partie aux fabricants d'alcool à brûler.
Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Roumazières par Montbron appelée le Petit Mairat[30].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[32].
Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].
En 2021, la commune comptait 339 habitants[Note 2], en évolution de −0,88 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 39,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 175 hommes pour 168 femmes, soit un taux de 51,02 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Équipements, services et vie locale
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Le Lindois, Mazerolles et Roussines. Roussines accueille l'école maternelle, et Le Lindois et Mazerolles les écoles élémentaires. L'école du Lindois comporte une classe unique. Le secteur du collège est Montembœuf[39].
Le regroupement des communes (RPI) n’existe plus depuis la rentrée 2012-2013. L’école a fermé[réf. nécessaire].
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le porche de l'ancienne église Saint-Pierre date du XIVe siècle. L'église s'est effondrée peu après une messe de minuit[Quand ?]. Les vestiges sont classés monument historique depuis 1928[40].
- L'église paroissiale Saint-Pierre actuelle a été reconstruite en 1924 avec les pierres de l'ancienne église de l'autre côté de la rue.
-
Porche de l'ancienne église.
-
L'église paroissiale.
- Château de Logeas.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Bizarrement, Dauzat n'a pas trouvé les formes anciennes attestées du Lindois.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique du Lindois » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale du Lindois », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- Sandre, « la Moulde »
- « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune du Lindois », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Lindois », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 136
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 39
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 405.
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
- (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 149
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 153
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 218
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4593371h/f1.item.zoom
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Lindois (16188) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
- « Porche de l'ancienne église », notice no PA00104399, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Le Lindois sur le site du Pays Charente Limousine
- Catillus Carol, « Le Lindois », (consulté le )