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Choisy-le-Roi

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Choisy-le-Roi
Choisy-le-Roi
L'ancienne mairie.
Blason de Choisy-le-Roi
Blason
Choisy-le-Roi
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement L'Haÿ-les-Roses
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Grand-Orly Seine Bièvre
Maire
Mandat
Tonino Panetta
2020-2026
Code postal 94600
Code commune 94022
Démographie
Gentilé Choisyens
Population
municipale
46 129 hab. (2021 en évolution de +5,21 % par rapport à 2015)
Densité 8 495 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 45′ 59″ nord, 2° 24′ 28″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 49 m
Superficie 5,43 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Choisy-le-Roi
(bureau centralisateur)
Législatives 2e circonscription du Val-de-Marne
Localisation
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Choisy-le-Roi
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Choisy-le-Roi
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Choisy-le-Roi
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Choisy-le-Roi
Liens
Site web www.choisyleroi.fr

Choisy-le-Roi est une commune française située dans le département du Val-de-Marne, en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Choisyens.

Géographie

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Les communes limitrophes sont Alfortville, Créteil, Orly, Thiais, Valenton, Villeneuve-Saint-Georges et Vitry-sur-Seine.

Localisation

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Localisation de Choisy-le-Roi en région parisienne.

À 12 km de Notre-Dame de Paris et à 7 km de la porte de Choisy, Choisy-le-Roi est, avec la capitale, la seule commune de la petite couronne à s'étendre de part et d'autre de la Seine[1].

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes : Alfortville au nord-est, Créteil à l'est, Valenton et Villeneuve-Saint-Georges au sud-est, Orly au sud-ouest, Thiais à l'ouest, Vitry-sur-Seine au nord-ouest.


Voici ci-dessous une carte représentant le découpage territorial des communes limitrophes :

Carte des communes limitrophes
Cliquez sur la carte pour l'agrandir.

Relief, géologie et hydrographie

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La Seine y passe.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 634 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 607,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records CHOISY-LE-ROI (94) - alt : 34m, lat : 48°45'35"N, lon : 2°25'04"E
Records établis sur la période du 01-01-1988 au 31-12-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,8 2,7 4,8 7,3 10,7 13,9 15,8 15,6 12,5 9,2 5,6 3,3 8,7
Température moyenne (°C) 5,3 5,8 8,8 12,1 15,6 18,9 21 20,9 17,2 12,9 8,4 5,7 12,7
Température maximale moyenne (°C) 7,7 8,9 12,8 16,9 20,5 23,8 26,2 26,2 21,9 16,6 11,1 8,1 16,7
Record de froid (°C)
date du record
−11,5
01.01.1997
−9,5
07.02.1991
−7
02.03.05
−1
14.04.19
1
07.05.1997
6
07.06.05
8
11.07.1993
7,5
28.08.1998
4
30.09.1995
−1
24.10.03
−7
24.11.1998
−8
31.12.1996
−11,5
1997
Record de chaleur (°C)
date du record
16
12.01.04
21,2
27.02.19
26,2
31.03.21
29,6
18.04.18
33,3
27.05.05
37,5
27.06.11
41,7
25.07.19
40,5
12.08.03
35,3
14.09.20
28,9
03.10.11
21
08.11.15
17
16.12.1989
41,7
2019
Précipitations (mm) 49,5 43,3 43,3 44,7 58,6 54,5 53 52,5 43,2 51,6 52,7 60,3 607,2
Source : « Fiche 94022001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports

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La ville fut desservie par les tramways du département de la Seine au début du XXe siècle. On voit ici une motrice du 83, exploité par la STCRP, ancêtre de la RATP.
Gare RER de Choisy-le-Roi.

La commune de Choisy-le-Roi est un nœud de communication majeur.

Elle est desservie par une gare :

Une rame de la ligne 9 du tramway au niveau de la station Carle - Darthé.

Depuis le 10 avril 2021, la ville est desservie par la ligne 9 du tramway d'Île-de-France (Ligne 9 du tramway d'Île-de-France) sur son l'axe nord-sud de la commune. Quatre stations sont situées sur le territoire de la commune : Verdun - Hoche, Rouget de Lisle, Carle - Darthé et Four - Peary. En plus de ces stations, deux autres sont situées tout près des limites communales : Trois Communes à Thiais et Christophe Colomb à Orly.

Elle est également un carrefour routier important ; trois grands axes routiers desservent la commune :

Les transports en commun routiers y sont aussi bien représentés :

Enfin, une piste cyclable longeant la Seine relie Choisy-le-Roi à Paris.

Au , Choisy-le-Roi est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[10]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Morphologie urbaine

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Trois immeubles de grande hauteur se trouvent sur la « dalle » de Choisy-le-Roi : la tour de l'Église, la tour de la Seine et la tour du Parc (respectivement 88, 81 et 68 mètres). La ville compte huit autres immeubles de plus de 50 mètres de hauteur, tous consacrés au logement à l'exception de la tour Orix, bâtiment d'inspiration brutaliste construit au cours des années 1960 qui accueille des bureaux.

Projets d'aménagement

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  • 2018 - 2020 : la ville s'engage vers le street art avec la création dans les quartiers de 15 œuvres, les plus symboliques étant les fresques représentant Nelson Mandela ou Louise Michel, ou encore les pylônes RTE du quartier des Hautes-Bornes. Choisy-le-Roi s'inscrit dans la démarche du sentier du street art reliant ainsi la ville à Paris en passant par Vitry-sur-Seine, Ivry-sur-Seine ou Gentilly.
Panneau d'entrée dans la commune.

Le nom Choisy provient vraisemblablement du latin Sosiacum (« terre ou villa de Sosius »)[13].

Aux VIIIe siècle et IXe siècle, Choisy est appelée Cauciacum ou Causiacum[14].

En 1739, Louis XV choisit ce domaine afin d'y pratiquer la chasse. C'est pour cela que l'on renomme la ville « Choisy-le-Roi », ou en ancien français « Choisy-le-Roy ».

Choisy apparaîtrait pour la première fois dans l'histoire lorsque l'armée de César en 52 av. J.-C., conduite par le commandant Labienus, aurait livré bataille sur le territoire actuel de la commune[15]. Son nom viendrait de Sociacum, « villa de Soisus » ou de « Socius »[16].

Choisy n'est connu que depuis 1176, comme faisant partie de la seigneurie de Thiais, laquelle appartient à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés.

En 1207, Jean, abbé de Saint-Germain-des-Prés, donna aux habitants de Choisy avec l'accord de l’évêque de Paris un fonds de terre pour y bâtir une chapelle, dédiée à saint Nicolas, non sans contrepartie puisque les habitants durent tous les ans un minot (34,3 dm3 à Paris) de froment jusqu'à ce qu'il y ait assez pour monter un fond d'entretien[14]. En 1224, l'édifice fut érigé en paroisse.

L'existence d'un bac sur la Seine est attestée dès la fin du XIIIe siècle.


Sous Louis XI en 1482, les seigneurs de Choisy, avaient droit de haute et basse justice.

En 1678, Anne-Marie-Louise d'Orléans, duchesse de Montpensier, achète une maison et fait construire, en 1682, un château à Choisy dont l'architecture est de Jacques Gabriel et les sculptures d'extérieur d'Étienne Le Hongre. Choisy devient alors Choisy-Mademoiselle. Elle fait reconstruire le chœur de l'église et réparer la nef. Le bourg se situe alors uniquement en bord de Seine. À sa mort, en 1693, le Grand Dauphin, fils de Louis XIV, hérita de cette terre, qu’il échangea avec Madame de Louvois contre la seigneurie et le château de Meudon.

La population se développe tout au long du XVIIIe siècle. En 1738, une liaison fluviale Paris-Moret, autorisée par Michel-Étienne Turgot, prévôt des marchands de Paris, dessert Choisy deux fois par semaine.

Le château appartient alors à la princesse douairière de Conti, fille légitimée de Louis XIV et de la duchesse de La Vallière. Peut-être en hommage à la princesse son élève, François Couperin cite Choisy dans une page pour deux clavecins de son Troisième Livre (1722), une musette tendre et champêtre.

En 1739, à la mort de la princesse, Louis XV fait l'acquisition du château pour disposer d'une résidence à proximité de la forêt de Sénart où il va chasser et décide que le village sera nommé désormais Choisy-le-Roi. La paroisse tire un gros avantage de la présence du roi, qui fait agrandir l'ancien château et le prolonge par des constructions neuves. Madame de Pompadour y est installée en 1746 : les fêtes s'y multiplient. Ainsi, le roi Louis XV, avec la participation de la marquise de Pompadour, y organise à partir de 1750 des soupers fins où seuls les intimes du roi, et quelques courtisans, sont invités à partager un repas respectant un service à la française : poissons de mer et de rivière, gibiers à plume et à poil, blanquette de veau, bœuf, légumes verts, fruits, glaces y sont servis avec profusion et délicatesse dans la porcelaine de Sèvres créée sous l'impulsion de la marquise de Pompadour. Une partie des menus de ces repas gastronomiques a été conservée par la Bibliothèque nationale de France, et étudiée par des historiens de l'alimentation. De 1775 à 1780, Marie-Antoinette y organise des amusements de toutes sortes[17].

Pour remplacer le vieux village partiellement englobé dans ces transformations, et pour faire de Choisy une véritable résidence royale, un nouveau village est projeté dès 1746. Dessiné sur une trame orthogonale, il est situé entre le chemin de Paris (devenu depuis rue de Vitry) et l'avenue de Paris. Les terrains, de grandeur raisonnable, et les moellons de meulière sont donnés aux habitants par Louis XV, en priorité aux habitants du vieux bourg ainsi qu'à ceux liés au domaine royal par leur fonction. Les actuelles rues Louise-Michel, Georges-Clemenceau, Auguste-Franchot et Auguste-Blanqui datent de cette époque.

Une nouvelle église paroissiale et royale, dédiée à saint Louis et saint Nicolas, est élevée de 1748 à 1760. Son clocher est moins élevé que le comble, à cause de l'aversion que Louis XV avait pour le son des cloches[18]. La vieille église est démolie en 1759.

De 1748 à 1757 est percée la route royale de Versailles qui permet en faisant des fouilles d'y trouver des tombeaux antiques.

En 1750, la route de Choisy à Paris est pavée et le pont sur la Seine est construit. Le presbytère est construit de 1763 à 1766.

Louis XV confirme sa présence à Choisy par l'acquisition en 1764 de la seigneurie de Thiais, Choisy et Grignon en partie, qu'il sépare en deux pour revendre celle de Thiais et Grignon. Peu à peu le champ des Étendoirs, situé au nord de l'avenue de Versailles, est également construit. Le port joue un rôle de relais entre le Sud du Bassin parisien et Versailles. Un marché hebdomadaire est instauré. Hormis les activités liées à la présence royale, l'agriculture est l'activité principale. La population s'accroît régulièrement depuis le début du XVIIIe siècle.

La Révolution a la même intensité à Choisy qu'à Paris, le maire de la ville entretenant des liens étroits avec Robespierre. Danton séjourne à Choisy tout comme Rouget de Lisle, l'auteur de La Marseillaise. Choisy-le-Roi porte le nom révolutionnaire de Choisy-sur-Seine et le domaine royal, dont il ne reste aujourd'hui que l'entrée, est vendu comme bien national et tombe doucement en ruine.

De 1790 à 1795 Choisy était un canton du district de Bourg-de-l'Égalité (Bourg-la-Reine).

À partir de 1809, le pont de Navier remplace enfin le bac. Au XIXe siècle, Choisy-le-Roi connaît un essor industriel avec l'implantation de la faïencerie Boulenger, de la tuilerie et de la cristallerie.

La CGPT met en service en 1876 sa ligne 4 Villejuif - Paris, qui deviendra la ligne 3 (Châtelet – Pont au Double – R. Monge – Av. des Gobelins – Pl. d’Italie – Av. de Choisy – Porte de Choisy – Choisy-le-Roi), puis sera intégrée en 1921 dans le réseau de la STCRP sous le no 83 (Thiais - Choisy-le-Roi - Châtelet) jusqu'en 1933[19].

Un service d'omnibus en 1829 et une ligne de tramways en 1892 relient Choisy à Paris. 1840 voit l'arrivée du train à Choisy-le-Roi avec l'inauguration de la ligne Paris-Corbeil qui sera l'amorce de la ligne Paris-Orléans.

La ville subit de gros dégâts lors des combats franco-prussiens dans une tentative de libération de Paris le 30 septembre 1870.

La municipalité, en expansion, achète en 1903 la maison de M. Lagoutte construite sous Napoléon III dans l'ancienne grande avant-cour du château. Le reste du parc est loti avec construction des écoles en 1910. Le lotissement du Nid Rouge s'étend à l'ouest de l'avenue de la République.

En 1912, Choisy-le-Roi revient sous les feux de l'actualité avec la fin tragique du chef de bande anarchiste Jules Bonnot[20].

De 1968 à 1973, Choisy-le-Roi accueille la délégation vietnamienne pour les négociations de Paris, originellement prévues pour quatre mois, dans le bâtiment, avenue de Versailles, qui était à cette époque le siège de l'école centrale du Parti communiste français et l'ancienne résidence de Maurice Thorez et de Jeannette Vermeersch[21].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[22], la commune faisait partie du département de la Seine. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-de-Marne et à son arrondissement de Créteil après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie de 1801 à 1893 du canton de Villejuif, année où elle intègre le canton d'Ivry-sur-Seine du département de la Seine. Lors de la mise en place du Val-de-Marne, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton de Choisy-le-Roi[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est modifié en intégrant une fraction de Villeneuve-Saint-Georges.

Intercommunalité

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La ville faisait partie de l'association Seine-Amont développement depuis sa création en 2001 jusqu'à sa dissolution en 2014, aux côtés des communes d'Alfortville, Ivry-sur-Seine, Vitry-sur-Seine et Orly[24].

La ville intègre en 2013 la communauté d'agglomération Seine Amont (CASA) aux côtés des communes de Vitry-sur-Seine et d'Ivry-sur-Seine, cette intercommunalité regroupant ainsi plus de 170 000 habitants[25].

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[26].

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015 prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre, qui succède notamment à la communauté d'agglomération Seine Amont[27].

Tendances politiques et résultats

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Lors du second tour des élections municipales de 2014, la liste PCF-PS-EELV menée par Didier Guillaume — qui bénéficiait de la fusion avec la liste EELV de Ali Id Elouali et du soutien du maire sortant, qui ne se représentait pas  — obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 5 149 voix, 47,79 %, 32 conseillers municipaux élus dont 9 conseillers communautaires)[28] ;
- Tonino Panetta (UMP-UDI, 4 910 voix, 10 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires) ;
- Monique Baron (DVD, 714 voix, 6,62 %, 1 conseiller municipal élu)
lors d'un scrutin où 44,37 % des électeurs se sont abstenus.

Lors du second tour des élections municipales de 2020, la liste DVD-SL menée par Tonino Panetta (LR) remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 4 531 voix (55,31 %, 34 conseillers municipaux élus, dont 1 métropolitain), devançant largement les listes menées respectivement par[29],[30] :
- Didier Guillaume, maire sortant (PCF-PS, 3 074 voix, 8 conseillers municipaux élus) ;
- Nathalie Lemoine (LREM-MR, 587 voix, 1 conseiller municipal élu) ;
lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 60 % des électeurs se sont abstenus, marquant la fin de la direction du PCF sur la ville depuis 75 ans.

Liste des maires

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Depuis la Libération, dix maires se sont succédé à la tête de la commune.

Liste des maires depuis 1944[31]
Période Identité Étiquette Qualité
septembre 1944 mai 1945 Georges Léger MRP Médecin, résistant OCM
Président du Comité local de libération
mai 1945 octobre 1947 Alfred Lebidon[32] PCF Ouvrier du livre, syndicaliste
Conseiller général de la Seine (1945 → 1953)
octobre 1947 juin 1948 Louis Lantheaume[33] SFIO Chef de service au ministère de la Guerre
Démissionnaire
juin 1948 novembre 1955 Marcel David[34] SFIO[35] Ancien agent technique des PTT
Décédé en fonction
décembre 1955 mars 1959 Henri Sergent[36] SFIO Ancien militaire
mars 1959 octobre 1979 Fernand Dupuy[37] PCF Instituteur, résistant FTPF
Député de la Seine (1962 → 1967)
Député du Val-de-Marne (1967 → 1978)
Conseiller général de la Seine (1953 → 1967)
Démissionnaire
octobre 1979 juillet 1996 Louis Luc[38] PCF Journaliste parlementaire, résistant
Premier adjoint (1971 → 1979)
Décédé en fonction
août 1996 avril 2014 Daniel Davisse[39],[40] PCF Chef de cabinet du ministre des Transports (1981 → 1984)
Conseiller général de Choisy-le-Roi (2004 → 2011)
Vice-président du conseil général (2004 → 2011)
avril 2014[41] juillet 2020 Didier Guillaume PCF Responsable formation
Conseiller général puis départemental de Choisy-le-Roi (2011 → 2021)
juillet 2020[42] En cours
(au 28 juin 2020)
Tonino Panetta LR Chef d'entreprise
Conseiller départemental de Choisy-le-Roi (2021[43] → )
Vice-président du conseil départemental (2021 → )

Politique de développement durable

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La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2010[44].

Distinctions et labels

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En 2020, la commune de Choisy-le-Roi a été récompensée par le label « Ville Internet @@@@ »[45].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[46],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 46 129 habitants[Note 5], en évolution de +5,21 % par rapport à 2015 (Val-de-Marne : +3,13 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1509901 3831 3203 0553 1103 1193 6123 271
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 9074 6485 1725 0995 8216 9787 8538 4499 909
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
11 60713 06715 90820 30923 63427 58428 47627 33331 789
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
41 52241 44038 70535 47634 06834 33636 19841 35544 450
2021 - - - - - - - -
46 129--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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École du Parc.
  • École Paul-Langevin
  • Collège Henri-Matisse
  • École-collège-lycée Saint-André
  • École Marcel-Cachin
  • École Saint-Louis-Blaise-Pascal
  • École Nelson-Mandela
  • École Victor-Hugo
  • Collège Jules-Vallès
  • Collège Émile-Zola
  • Lycée professionnel Jean-Macé
  • Lycée professionnel Jacques-Brel
  • École Jean-Macé
  • École Auguste-Blanqui
  • École du Parc
  • Théâtre-cinéma Paul-Éluard ;
  • Conservatoire des Arts regroupant les écoles de musique, de danse et d'arts plastiques ;
  • Ensemble polyphonique de Choisy-le-Roi ;
  • Compagnie La Rumeur, Usine Hollander ;
  • Médiathèques : Aragon, Gondoles, Maison pour tous.

Manifestations et festivités

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La ville de Choisy-le-Roi est une ville historiquement tournée vers le sport, possédant de nombreuses infrastructures et disposant du parc interdépartemental des sports sur son territoire. Elle ne compte pas moins de 39 clubs et 28 disciplines sportives y sont pratiquées (football, tir, aviron…).[réf. nécessaire] Ces disciplines rassemblent près de 6 000 licenciés soit un habitant sur six. Parmi ces clubs ou associations sportives se trouvent :

  • Sporting club des nageurs de Choisy-le-Roi (water-polo et natation) ;
  • AS Choisy-le-Roi ;
  • Quartier libre ;
  • Sporting club de Choisy-le-Roi (SCCR). Ce club dispose de plusieurs sections : handball, basket-ball, football (FSGT), badminton, tennis de table ;
  • Déclic (association du quartier des navigateurs) ;
  • Groupement amical des tireurs de Choisy-le-Roi, Thiais et environs (GAT) - Tir sportif 10, 25 et 50 mètres ;
  • Football Américain.

De plus, le siège de la Fédération française de volley-ball se trouve à Choisy-le-Roi.

L'ancienne cathédrale Saint-Louis-Saint-Nicolas, au cœur de la vieille ville.

Revenus de la population et fiscalité

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Entreprises et commerces

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Cathédrale Saint-Louis-et-Saint-Nicolas : construite par Gabriel sur ordre de Louis XV pour remplacer l'ancienne église, trop petite et trop proche de la Seine. La nouvelle église devait être le centre du nouveau village projeté dès 1746. En 1748, Gabriel donne deux projets : le premier avec un ordre toscan à l'intérieur et à l'extérieur, le second, qui fut réalisé, sans cet ordre. L'absence d'ordre fait l'originalité de cette église, où la monumentalité sobre est atteinte par le travail des surfaces. La tour clocher est détachée à droite de la nef et ne comporte que deux niveaux (alors que le premier projet en avait prévu trois). De ce fait, les cloches, très basses, ne portent pas très loin, ce dont les villageois se plaignirent au XVIIIe siècle. L'anecdote selon laquelle Louis XV aurait interdit l'usage des cloches est sans fondement (seul le glas était prohibé lors des séjours royaux). L'intérieur de l'église abrite deux statues de Jacques Rousseau représentant saint Louis et saint Maurice (1729). Le cul-de-four et les chapelles latérales sont décorées de peintures de Jacques Pauthe (1878). Elle fut l'église cathédrale du diocèse de Créteil de 1966 à 1987, date à laquelle Notre-Dame de Créteil devint la nouvelle cathédrale ;
  • Du château de Choisy ne subsiste que l'entrée (saut-de-loup, fossé sec et deux pavillons de gardiens), qui a servi à la mise en scène[Quoi ?] de la mairie, dans un parc paysager de style Napoléon III, ainsi qu'une aile de communs (cité Anatole-France) ;
  • Maison des Pages (13, boulevard des Alliés) : construite en 1792 pour François Courrejoles, remarquable par sa façade ornée d'un ordre colossal ;
  • Pavillon des Gardes ;
  • Maison et statue de Rouget de Lisle. Son monument a été inauguré le dimanche 6 juillet 1902 par Justin Germain Casimir de Selves ;
  • Ancienne gare : un des rares exemples conservés des gares de la compagnie des Chemins de fer d'Orléans, décorée de céramiques de Choisy-le-Roi (1875) ;
  • Bords de Seine ;
  • Ferme pédagogique présentant de nombreux animaux et un parc de jeux pour enfants au quartier des Gondoles ;
  • Cimetière de Choisy-le-Roi, ouvert en 1851.

Patrimoine naturel

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Personnalités liées à la commune

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La statue de Rouget de Lisle.
  • Jacques Dutruy (1762-1836 à Choisy-le-Roi), général suisse, né à Genève, général des armées de la République et de l'Empire.
  • Rouget de Lisle a vécu à Choisy-le-Roi et y est mort le .
  • André-Joseph Bodem (1786-1870), artiste peintre, a vécu à Choisy-le-Roi et y est mort le .
  • Charles Feil (1824-1887), chimiste et verrier, y est mort.
  • Hippolyte Boulenger, industriel de la céramique, y avait sa faïencerie.
  • La bande à Bonnot prend fin avec le siège de Jules Bonnot, dans un garage situé avenue de la République à Choisy-le-Roi, et sa mort en 1912[20].
  • Marcel Cachin a vécu à Choisy-le-Roi et y est mort en 1958.
  • Ernest Chaplet, sculpteur et céramiste, avait son atelier à Choisy-le Roi, où il est mort en 1909.
  • Maurice Thorez, politique, dirigeant du PCF, y vécut[21].
  • Ipoustéguy (1920-2006), sculpteur dont l'atelier se situait quai des Gondoles.
  • Antonio Ferrara, figure du grand banditisme français qui a passé son adolescence à Choisy-le-Roi.
  • Olivier Kapo[pourquoi ?], footballeur français d'origine ivoirienne.
  • Erick Saint-Laurent, chanteur français, y est inhumé.
  • Bénabar, chanteur, a vécu à Choisy-le-Roi.
  • Émile Lenoble (1875-1940), céramiste, a vécu et exercé son activité à Choisy-le-Roi.
  • Pierre Lescure, journaliste et ancien dirigeant de Canal+, a vécu son enfance à Choisy-le-Roi.
  • Alain Frontier, poète et grammairien, a vécu à Choisy-le-Roi de 1960 à 1978.
  • Intouchable (groupe) groupe de hip-hop français originaire de Choisy-le-Roi et Orly, affilié à la Mafia K'1 Fry avec Demon One, Dry, Las Montana (1977-1999), ainsi que MS et Mokem (anciens membres).
  • Pro176, rappeur et graffeur, a passé son enfance à Choisy-le-Roi.
  • Yves Léger (1919-1944), résistant français, Compagnon de la Libération, Mort pour la France. Fils de Georges Léger, maire de Choisy-le-Roi en 1944, il est inhumé dans la commune où une rue a été baptisée en son honneur.

Choisy-le-Roi est le lieu de naissance de :

Héraldique, logotype et devise

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Blason de Choisy-le-Roi

Les armes de Choisy-le-Roi se blasonnent ainsi :

De gueules au pont d'or, soutenu d'une rivière d'argent, accompagné en pointe de cinq annelets entrelacés d'or[48] et surmonté d'un écu posé en abîme d'azur à trois fleurs de lys d'or, timbré de la couronne royale de France, la pointe de l'écu brochant sur le pont (création de Robert Louis)[49].

Pour approfondir

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Bibliographie

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Article connexe

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. La Seine en amont de Paris. Région Île-de-France, service patrimoines et Inventaire.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France commune de Choisy-le-Roi) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France commune de Choisy-le-Roi) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Choisy-le-Roi ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Jacques Hillairet et Georges Poisson, Évocation du grand Paris, t. 1 : La banlieue sud, Les Éditions de minuit, , p. 245.
  14. a et b Histoire du diocèse de Pairs, tome douzième. Contenant la fin des paroisses du Doyenné de Montlhery, & les onze premieres du Doyenné du Vieux Corbeil, Prault, , 312 p. (lire en ligne), Page 162.
  15. Cf. l'article guerre des Gaules.
  16. Tristan Delamotte, « Le roi à Choisy », sur Le Parisien, .
  17. Julien Lefour, La marée lors des soupers de Louis XV avec la marquise de Pompadour, dans Élisabeth Ridel, Éric Barré, André Zysberg, sous la direction de, « Les nourritures de la mer, de la criée à l'assiette », Actes du colloque, Centre de recherche d'histoire quantitative, Histoire maritime, no 4, Caen, 2007, 25 p.
  18. Docteur Ermete Pierotti, Dictionnaire historique des environs de Paris.
  19. Jean Robert, Les tramways parisiens, Jean Robert (réimpr. 3e édition 1992).
  20. a et b Le Petit Parisien du 29 avril 1912 : Comment Bonnot fut pris et tué
  21. a et b « Maurice Thorez vivait avenue de Versailles à Choisy », sur Le Parisien, .
  22. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Historique sur le site de l'EPA-ORSA.
  25. « Intercommunalité », sur le site de la mairie de Vitry-sur-Seine (consulté le ).
  26. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
  27. Décret n° 2015-1659 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Vitry-sur-Seine sur Légifrance.
  28. Résultats officiels pour la commune Choisy-le-Roi
  29. David Leduc, « Municipales 2020. Tonino Panetta devient maire de Choisy-le-Roi : Dans la triangulaire qui l'opposait au maire sortant Didier Guillaume (PCF) et Nathalie Lemoine (LREM), Tonino Panetta (LR) a remporté le fauteuil de maire à Choisy-le-Roi (LR) », Actu Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Municipales 2020 : à Choisy-le-Roi la fin de l’ère communiste : Ce dimanche 28 juin les électeurs étaient appelés à choisir leur édile pour les six prochaines années. Les Choisyens ont élu le candidat divers droite, Tonino Panetta. La défaite de Didier Guillaume marque la fin du PCF dans la ville », France 3 Paris Île-de-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Les maires de Choisy-le-Roi depuis 1790 », L'actualité du patrimoine - A la découverte de l'histoire, de la mémoire, des archives et du patrimoine de Choisy-le-Roi, no 15,‎ , p. 5 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  32. Notice LEBIDON Alfred (LEBIDON Louis, Auguste, Alfred) par Claude Pennetier, version mise en ligne le 27 août 2009, dernière modification le 22 novembre 2022
  33. Notice LANTHEAUME Louis, Henri par Emmanuel Hagen, Claude Pennetier, version mise en ligne le 24 octobre 2009, dernière modification le 22 novembre 2022
  34. Notice DAVID Marcel, Eugène par Claude Pennetier, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 16 juillet 2022
  35. Maurice Thorez, Journal 1953-1964, Fayard, coll. « Histoire », (ISBN 978-2-213-71301-4), p. 38 (note 5). Marcel David était un ancien militant communiste.
  36. Notice SERGENT Henri, Lucien par Emmanuel Hagen, Claude Pennetier, version mise en ligne le 24 octobre 2009, dernière modification le 22 novembre 2022
  37. Notice DUPUY Fernand par Claude Pennetier, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 22 novembre 2022
  38. Notice LUC Louis par Claude Pennetier, version mise en ligne le 22 octobre 2009, dernière modification le 22 novembre 2022
  39. Marion Kremp, « Choisy-le-Roi : figure du PCF, l’ancien maire Daniel Davisse emporté par le coronavirus : Il avait dirigé la ville durant 18 ans. Le maire honoraire de Choisy-le-Roi est mort à 82 ans ce dimanche, à l’hôpital Henri-Mondor à Créteil », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. Notice DAVISSE Daniel (né HERZ Daniel) par Claude Pennetier, version mise en ligne le 1er novembre 2009, dernière modification le 5 mai 2022
  41. « Municipales à Choisy : Didier Guillaume (PC) peut souffler », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Dimanche soir, après l'annonce des résultats du second tour à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), le sourire de Didier Guillaume (PC, 47,8%) était à la hauteur de son soulagement. Malgré la grosse campagne de son parti, malgré l'accord avec Ali Id Elouali (EELV) entre les deux tours, et malgré la désunion à droite, le successeur désigné de Daniel Davisse n'a été élu qu'avec 239 voix d'avance sur le candidat UMP Tonino Panetta (45,6%). ».
  42. « Conseil municipal d’installation : Samedi 4juillet2020 – 9h – Théâtre Paul-Éluard » [PDF], Procès-verbaux, sur choisyleroi.fr (consulté le ).
  43. Marine Legrand, « Départementales dans le Val-de-Marne : Choisy-Villeneuve transforme l’essai des municipales et bascule à droite : Au terme d’une campagne ardue, le binôme Panetta-Niasme (DVD-LR) est parvenu à remporter le canton qui était aux mains de la gauche, avec 55,94%. », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après un premier tour serré et remué par de multiples rebondissements (premiers résultats erronés, plaintes pour fraude, etc.), le second n’a pas laissé place au doute : 55,94 % pour le binôme de droite et 44,06 % pour le binôme présenté par l’extrême gauche Katiana René et Robin Alber ».
  44. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Choisy-le-Roi, consultée le 27 octobre 2017.
  45. « Palmarès 2020 des Villes Internet sur le site officiel de l'association »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  48. Ces anneaux olympiques s'expliquent par la présence du Parc interdépartemental des sports qui, lors de sa création vers 1930, avait fait naître l'idée d'un Choisy-le-Roi, ville olympique. Cité dans Choisy-le-Roi, images d'hier et d'aujourd'hui, Maury imprimeur, 1970.
  49. R. Louis, « Du blason au logo », Guide pratique - Choisy-le-Roi, nos 2010/11,‎ .