Petite-Rosselle
Petite-Rosselle (en allemand : Kleinrosseln) est une commune française de l'agglomération de Forbach, située dans le département de la Moselle, en région Grand Est. Elle est localisée dans la région naturelle du Warndt et dans le bassin de vie de la Moselle-est à proximité immédiate de la ville de Forbach.
Petite-Rosselle | |
Musée du carreau Wendel à Petite-Rosselle. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Forbach-Boulay-Moselle |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Forbach Porte de France |
Maire Mandat |
Éric Federspiel 2020-2026 |
Code postal | 57540 |
Code commune | 57537 |
Démographie | |
Gentilé | Rossellois |
Population municipale |
6 216 hab. (2021 ) |
Densité | 1 231 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 12′ 44″ nord, 6° 51′ 30″ est |
Altitude | Min. 190 m Max. 313 m |
Superficie | 5,05 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Sarrebruck (ALL)-Forbach (partie française) (banlieue) |
Aire d'attraction | Sarrebruck (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Forbach |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | mairie-petiterosselle.fr |
modifier |
Géographie
modifierLocalisation
modifierPetite-Rosselle se situe à la frontière franco-allemande, délimitée par la rivière Rosselle. De l’autre côté de la frontière, se trouve la ville allemande de Grande-Rosselle (Großrosseln).
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 505 hectares ; son altitude varie entre 190 et 313 mètres[1].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Le territoire de la commune est traversé par la rivière Rosselle qui prend sa source à dans la commune de Boucheporn, dans le département de la Moselle en France. Elle forme la frontière entre la France et l'Allemagne entre Morsbach et Petite-Rosselle en France et Großrosseln en Allemagne. Elle se jette dans la Sarre, en Allemagne, aux environs de Völklingen. Sa longueur totale est de 38 kilomètres, dont 32,8 en France[2],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin Houiller ». Ce document de planification, dont le territoire est approximativement délimité par un triangle formé par les villes de Creutzwald, Faulquemont et Forbach, d'une superficie de 576 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[3]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le SDAGE du Bassin Rhin-Meuse[4].
La qualité du ruisseau la Rosselle peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité. Ainsi en 2020, dernière année d'évaluation disponible en 2022, l'état écologique du ruisseau la Rosselle était jugé mauvais (rouge)[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 912 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Communes limitrophes
modifierVoies de communication et transports
modifierVoies ferroviaires
modifierLa gare régionale la plus proche est celle de Forbach (pour les trajets en TER à destination de Metz ainsi que, depuis des trajets TGV (ICE) en partance pour Paris ou Francfort), Sarreguemines ou celle de Sarrebruck. La gare TGV de Forbach met Paris à 1 h 50 avec le TGV Est et Francfort à 2 h 20 en Allemagne
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Petite-Rosselle est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sarrebruck (ALL)-Forbach (partie française)[Note 2], une agglomération internationale regroupant 15 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarrebruck (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[14]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (59,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (64,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (50,7 %), forêts (32,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,5 %), eaux continentales[Note 5] (5,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Morphologie urbaine
modifierLogement
modifierEn 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 2 882, alors qu'il était de 2 712 en 1999[Insee 1].
Parmi ces logements, 92,8 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 64,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 35,1 % des appartements[Insee 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 62,4 %, en sensible augmentation par rapport à 1999 (56,0 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) a beaucoup augmenté : 16,7 % contre 10,6 % en 1999, leur nombre ayant diminué de 721 à 705([Insee 3].
Projets d'aménagements
modifierToponymie
modifier- La commune est mentionnée sous les noms de[18]: Rossella en 1290, Rosseln en 1365, Rosselen en 1577, Klein Rosseln en 1594, Klain-Rosselen en 1618, Klein-Rossels en 1624, Petite-Rosselen et Petit Rousseln en 1709, Rosseling et Rosselle-la-Petite en 1756, Rosselle en 1801, Klein-Rosseln (1871-1918).
- La commune est nommée Klän Rossle en francique lorrain et Kleinrosseln en allemand.
Sobriquets
modifier- Anciens sobriquets désignant les habitants[19] : Die Rossler Windbeidel (les fanfarons rossellois).
Histoire
modifierPetite-Rosselle partage une grande partie de son histoire avec la ville de Grande-Rosselle. En effet, la ville de Rosselle est fondée en 1290 et la séparation en deux communes distinctes ne se fait qu’en 1326. Ces deux villes ne sont séparées que par une rivière, la Rosselle.
Au cours de son histoire, Petite-Rosselle a été soit française, soit allemande. Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Petite-Rosselle est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. La commune connaît alors une période de prospérité.
Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Mosellans se battent naturellement pour l’Empire allemand. Beaucoup de jeunes gens tomberont au champ d'honneur sous l’uniforme allemand, sur le Front de l’Est, mais aussi à l’Ouest, en particulier en France et dans les Flandres. Sujets loyaux de l'Empereur, les Rossellois accueillent cependant avec joie la fin des hostilités et la paix retrouvée. "Kleinrosseln" redevient Petite-Rosselle en 1918.
La Seconde Guerre mondiale et le drame de la seconde Annexion marqueront durablement les esprits. Au début des hostilités, les habitants sont évacués par les Français pendant quelques mois, en Charente, notamment à Mouthiers-sur-Boëme. Mais beaucoup de réfugiés reviennent en Moselle pour retrouver leur foyer, dès la fin 1940. Les premiers conscrits, incorporés de force dans l'armée allemande, partent à partir d'. Les civils ne sont pas épargnés. À partir de , l'armée américaine bombarde la région sans relâche. La commune ne sera libérée que le [20] après un long calvaire.
Depuis la découverte de charbon en 1856 par la famille de Wendel, l’exploitation minière a été la principale activité économique de la ville. Elle a été marquée par plusieurs catastrophes industrielles. Mais la société propriétaire de tous les puits de mines, les Houillères du Bassin de Lorraine (HBL), créées à la suite de l'ordonnance prise par le Général de Gaulle le portant nationalisation de toutes les sociétés d'exploitation de charbon, est une société qui n'a plus d'existence légale. Les puits de mines ne sont plus exploités depuis 2004 mais sont conservés dans un cadre muséographique. Longtemps en gestation et en travaux, cette mémoire du patrimoine minier et des « Gueules noires » est inaugurée en 2006 sous le nom de La mine, musée du Carreau Wendel.
Cette petite ville en développement est connue ; elle le sera de plus en plus grâce à son Musée de la mine qui doit devenir un établissement muséal relevant du Service des musées de France. Ce grand musée en expansion a inauguré dans le courant de l'année 2012 sa nouvelle tranche. Cette dernière est axée sur l'aspect social du mineur, sa vie, ses fêtes, sa famille et la Sainte-Barbe[21].
Rattachements géographiques
modifier- 843 : Francie médiane (Traité de Verdun)
- 925-1542 : Saint-Empire romain germanique - duché de Lorraine
- 1542-1766 : duché souverain de Lorraine
- 1766-1871 : France (duché de Lorraine jusqu'en fin 1789 puis département de la Moselle à compter de 1790)
- 1871-1918 : territoire annexé par les Allemands : devient alors un des deux composantes du « Reichsland Elsaß-Lothringen »
- 1918-1939 : France (département de la Moselle)
- 1940-1945 : deuxième annexion par les Allemands (période nazie)
- Depuis 1945 : France (département de la Moselle)
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierFinances communales
modifierL'endettement par habitant était en 2013 de 373 €, en constante diminution depuis plusieurs années : 390 € en 2012, 442 € en 2011, 499 € en 2010, 563 € en 2009, 605 € en 2008[23].
Jumelages
modifierAu , Petite-Rosselle est jumelée avec[24] :
- Großrosseln (Allemagne) depuis 1966 ;
- Spresiano (Italie) depuis 1999.
Par ailleurs, la commune a signé un contrat de partenariat avec la commune française de Mouthiers-sur-Boëme.
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2021, la commune comptait 6 216 habitants[Note 6], en évolution de −2,89 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (33,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,8 % la même année, alors qu'il est de 26,2 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 068 hommes pour 3 254 femmes, soit un taux de 51,47 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,08 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
modifierPetite-Rosselle administre cinq écoles maternelles (La Farandole, Les Marronniers, Les Mésanges, Vieille-Verrerie et Urselsbach) et deux écoles élémentaires (Jacques-Yves-Cousteau et Vieille-Verrerie)[31].
Économie
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierEn 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 25 635 €, ce qui plaçait Petite-Rosselle au 22 000e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[33].
Emploi
modifierEn 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 4 359 personnes, parmi lesquelles on comptait 63,5 % d'actifs dont 52,4 % ayant un emploi et 11,1 % de chômeurs[Insee 4].
On comptait 2 804 emplois dans la zone d'emploi, contre 2 516 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 2 294, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 7] est de 40,1 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre moins d'un emploi pour deux habitants actifs[Insee 5].
Évolution du taux de chômage
Année | 1999 | 2010 | ||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Petite-Rosselle[34] | 12,1 % | 12,9 % | ||||||||||
France[34] | 10,4 % | 9,3 % | ||||||||||
Sources des données : Insee |
Entreprises et commerces
modifierAu , Petite-Rosselle comptait 214 établissements : 1 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 9 dans l'industrie, 41 dans la construction, 117 dans le commerce-transports-services divers et 46 étaient relatifs au secteur administratif[Insee 6].
En 2011, 38 entreprises ont été créées à Petite-Rosselle[Insee 7], dont 28 par des autoentrepreneurs[Insee 8].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierÉdifices civils
modifier- Le musée du carreau Wendel propose au public une visite dans les galeries souterraines de la mine, la fameuse descente au fond, grâce à la réalisation d’une présentation unique au monde : la mine, grandeur nature[35].
- Durant sept ans, de 2005 à 2011, fin août, au pied du puits Vuillemin ont eu lieu les représentations du spectacle son et lumière Les Enfants du Charbon écrit par Sylvie Dervaux qui en assure également la mise en scène et la direction artistique. 300 figurants et techniciens bénévoles ont participé au montage et à l’interprétation des 27 tableaux du spectacle, servis par une technique impressionnante : projection d’images et de vidéos monumentales, lasers couleurs de grandes puissances, effets pyrotechniques et bruitages impressionnants. Cet événement recevra ainsi plus de 100 000 spectateurs transfrontaliers attirant également un public d’autres régions de France[36].
- Quartier de la Vieille-Verrerie.
- Carreau minier Vuillemin-Wendel.
- La statue du mineur érigée en 1956 pour le centenaire de la première extraction de charbon au Puits St. Charles.
- Le monument aux morts des guerres 1914-1918 et 1939-1945.
- La tombe de sept des victimes du coup de grisou au Puits Vuillemin le .
-
Chevalement du carreau Wendel.
-
Statue du mineur.
-
Monument aux morts.
-
Tombe des victimes du Puits Vuillemin.
-
Hôtel de Ville.
Édifices religieux
modifier- Église moderne Saint-Théodore (1955), par l'architecte Joseph Madeline.
- Église Saint-Joseph (Vieille-Verrerie) du XXe siècle.
- Chapelle Sainte-Marie-Madeleine construite entre 1896-1899 à Urselsbach.
- Église luthérienne, Impasse du Temple, la première construite en 1914 et détruite en 1944, la deuxième construite entre 1959 et 1960.
- Église néo-apostolique rue de la Vallée.
-
Église Saint-Théodore.
-
Église Saint-Joseph.
-
Chapelle Sainte-Marie-Madeleine de Urselsbach.
-
Église luthérienne.
-
Église néo-apostolique.
Salles municipales
modifierLoisirs
modifier- L'étang du Schafbach. Amicale des pêcheurs de Petite-Rosselle et Grossrosseln.
Personnalités liées à la commune
modifier- Jean Cavaillès (1903-1944), philosophe et résistant français, lieutenant du 43e R.I.C., en poste à Forbach et à Petite-Rosselle en , Compagnon de la Libération.
- Claudine Loquen (1965-), peintre, sculptrice, illustratrice, y a vécu et fut élève à l'école élémentaire Vieille Verrerie[37].
- Céline Géraud (1968-), judokate et animatrice de télévision.
- Alain Schmitt (1983-), judoka français.
Héraldique
modifierBlason | D'argent à deux bandes de gueules, à la lampe de mineur de sable, allumée de gueules brochant en barre |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifier- (de) Stroh, Sprachwahl in Petite-Roselle (Ost-Lothringen), 1988
- Daniel Deutsch, Destins lorrains : Scènes de la vie rosselloise , 1992, 222 p. lire en ligne sur Gallica
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Sarrebruck (ALL)-Forbach (partie française) comprend trois villes-centres (Forbach, Freyming-Merlebach et Stiring-Wendel) et douze communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Petite-Rosselle » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierInsee
modifier- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
- LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
- EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 - Emploi et activité.
- CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
- DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
- DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
Autres références
modifier- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « rivière la rosselle (A95-0200) », sur le site du Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- « SAGE Bassin Houiller », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Les SDAGE des districts Rhin et Meuse (2022-2027) », sur eau-rhin-meuse.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Petite-Rosselle et Seingbouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Sarrebruck (ALL)-Forbach (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Petite-Rosselle ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sarrebruck (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868
- Cercle "Die Furbacher" - Histoire locale de Forbach no 62 - 2008
- 1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994 (p. 15).
- « LA MINE, musée du carreau Wendel », sur la-mine.fr via Wikiwix (consulté le ).
- Liste des maires de Petite-Rosselle
- Base de données Alize2 des finances des communes de France
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Petite-Rosselle (57537) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Moselle (57) », (consulté le ).
- « Moselle (57), Petite-Rosselle, écoles »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Moselle (57), Petite-Rosselle, collège »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Site de l'Insee, chômage par zone d'emploi
- Site du Musée de la Mine du Carreau de Wendel
- INPI Paris -Dépôt de Marque du 21/02/2005 [1] et dépôt en 2004 auprès de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques no 166651 du 15/05/2004
- Active art, « Claudine Loquen », sur claudine-loquen.com, (consulté le ).