Convention internationale OSPAR

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La Convention pour la protection du milieu marin de l'Atlantique du Nord-Est ou Convention OSPAR (OSPAR pour « Oslo-Paris ») définit les modalités de la coopération internationale pour la protection du milieu marin de l'Atlantique du nord-est. Elle est entrée en vigueur le , et remplace les Conventions d'Oslo de 1972 (traitant de la prévention de la pollution marine) et la convention de Paris de 1974 (traitant des rejets de substances d’origine tellurique). Elle vise à prévenir et éliminer la pollution marine résultant des activités humaines en Atlantique Nord-Est afin d’en protéger les écosystèmes et la diversité biologique.

OSPAR intègre un groupe « biodiversité » qui a notamment travaillé sur le problème des séquelles maritimes de guerre, et en particulier les problèmes posés par les nombreux sites de munitions immergées. Il a aussi fixé pour les parties prenantes un objectif pour 2010 qui est l'établissement d'un « réseau cohérent d'aires marines protégées » (AMP).

Parties contractantes

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  Sont parties à la convention OSPAR :

Munitions en mer

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En France, SECOIA est chargé de détruire les anciennes munitions. La plupart d'entre elles ont été immergées[réf. nécessaire].

Rejets en mer

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Estuaires des fleuves

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La Seine contamine la baie de Seine (et le littoral du pays de Caux) aux polychlorobiphényles[1].

Radioélements

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Selon l'association pour le contrôle de la radioactivité dans l'Ouest, si les rejets en tritium et en iode 129 de l'usine de retraitement de la Hague dans le raz Blanchard ne baissent pas significativement, l'objectif de voir les concentrations en radioéléments tendre vers zéro dans l’Atlantique Nord d’ici 2020 sera difficilement tenable[2]. Cet objectif est d'ailleurs repoussé à 2027 ou 2028[3].

Notes et références

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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