Man Ray

photographe et cinéaste américain

Emmanuel Radnitsky (ou Rudzitsky), dit Man Ray[3], né le à Philadelphie (États-Unis) et mort le à Paris 6e[4], est un peintre, photographe et réalisateur américain naturalisé français[5].

Man Ray
Man Ray en 1934.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Pseudonymes
Radenski, Emmanuel, Man Rei, Rudnitzky, EmmanuelVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Formation
Art Students League of New York
Boys and Girls High School (en)
Boys High School de Brooklyn (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Père
Max Ray (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Manya Lourie Ray (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoints
Adon Lacroix (d) (de à )
Juliet Man Ray (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Mouvements
Représenté par
Artists Rights Society, Sculpture to Wear (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Genres artistiques
Site web
Archives conservées par
Œuvres principales
Le Violon d'Ingres, Le Cadeau (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
signature de Man Ray
Signature
Vue de la sépulture.

Acteur du dadaïsme à New York, puis du surréalisme à Paris, Man Ray a perfectionné la technique du photogramme de Christian Schad et redécouvert, aux côtés de la photographe Lee Miller, le procédé dit de solarisation.

Biographie

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L'École Moderne de la ville de New York[6] vers 1911-1912.

Emmanuel Radnitsky naît dans le sud de Philadelphie, en Pennsylvanie, le 27 août 1890. « Manny » est l'aîné d’une famille juive ashkénaze d’origine russe. Ses parents sont Melach « Max » Radnitzky, un tailleur, et Manya « Minnie » Radnitzky (née Lourie ou Luria), couturière. Il a un frère, Sam, et deux sœurs, Dorothy « Dora » et Essie (ou Elsie), la plus jeune née en 1897, peu de temps après leur installation dans le quartier de Williamsburg à Brooklyn, à New York. Il sera l'oncle de la photographe (en) Naomi Savage[7].

Au début de 1912, la famille Radnitzky change son nom de famille en Ray, sous l’initiative du frère de Man Ray, qui a choisi le nom de famille en réaction à l'antisémitisme fréquent à l'époque. En même temps, Manny devient « Man ». Plus tard, il refusera même de reconnaître avoir eu un autre nom que celui de « Man Ray »[8].

Le père Radnitzky enrôle ses enfants pour l'aider dans son atelier.

Man Ray fréquente la Modern School du Ferrer Center qui fonctionne à Manhattan puis Harlem, selon les principes de l'éducateur libertaire catalan Francisco Ferrer. Cette formation anarchiste est déterminante puisqu'elle le libère très tôt du respect des valeurs établies, désacralise à ses yeux les techniques d'expression traditionnelles et l'encourage à ne suivre que sa propre nécessité individuelle dans toutes ses innovations.

Refusant toute hiérarchie entre la peinture et la photographie, il considère la caméra et le pinceau comme des instruments équivalents à ce qu'est la machine à écrire pour un écrivain[9].

New York

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Sa carrière commence à New York où il fréquente la Galerie 291 du photographe Alfred Stieglitz. Il travaille ensuite chez un graveur, dans la publicité et enfin comme dessinateur chez un éditeur de cartes[10].

Avec son ami proche Marcel Duchamp, ils forment la branche américaine du mouvement dada. Après quelques expériences artistiques infructueuses, notamment une publication sur le dada new-yorkais en 1920, Man Ray conclut que « Dada ne peut pas vivre à New York ».

Le , Man Ray débarque au Havre (Seine-Maritime), puis arrive à Paris, à la gare Saint-LazareMarcel Duchamp l'accueille chez lui, au 22, rue La Condamine[10].

Le soir même, il est présenté aux surréalistes Louis Aragon, André Breton, Paul Éluard et Gala Dali, Théodore Fraenkel, Jacques Rigaut et Philippe Soupault.

 
Noire et blanche par Man Ray, avec Kiki de Montparnasse comme modèle et un masque africain (1926)

Il s'installe dans le quartier du Montparnasse, rencontre et tombe amoureux de la chanteuse et modèle français Kiki de Montparnasse qui devient sa muse[10].

Il fréquente les bals des Beaumont ainsi que des cabarets, dont le Bœuf sur le toit et le Jockey[11].

Il rencontre également le couturier Paul Poiret. Il réalise de nombreuses photographies de mode qui sont publiées dans les magazines et contribuent à le faire connaître. À son grand regret, il n'aura jamais l'occasion de faire le portrait du couturier. Dans son livre de souvenirs, il confie qu'à la mort de Paul Poiret, il a envoyé à un journal une photographie du médecin personnel du couturier comme étant un portrait de Poiret et qu'elle a été publiée comme telle.

En 1922, ses portraits de peintres et d’écrivains publiés dans Vanity Fair remportent du succès[10]. La même année[12], il ouvre un studio de photographie au 31 bis, rue Campagne-Première[10]. L'argent lui a été prêté par l'agent de Marcel Duchamp, Pierre Roché, qu'il avait rencontré en à New York. Avant guerre, Pierre Roché a fait travailler Hélène Perdriat pour Paul Poiret et est un intime de Marie Laurencin, l'amante de la sœur du couturier, Nicole Groult. En échange [réf. souhaitée], il y développe les photographies érotiques des uns et des autres, telle celle de Helen Hessel se déshabillant sur la plage.

Outre Vanity Fair, il collabore aux magazines Littérature, Vogue (éditions française, anglaise et américaine), ainsi qu'à La Revue surréaliste[10].

Avec Jean Arp, Max Ernst, André Masson, Joan Miró et Pablo Picasso, il présente ses œuvres à la première exposition surréaliste de la galerie Pierre à Paris en 1925.

Ami de Marie-Laure de Noailles et de Charles, vicomte de Noailles, il tourne en 1928 à Hyères à la Villa Noailles son troisième film Les Mystères du château de Dé[10].

En 1929, Man Ray commence à travailler avec Lee Miller qui, en plus d'être sa muse et son assistante, devient sa maîtresse. Jusqu'en 1932, ils entretiennent cette relation créative, développant ensemble le potentiel esthétique de la solarisation[13],[10].

En 1931, il réalise une œuvre à vocation publicitaire intitulée Électricité. Il s'agit d'un album composé d'un ensemble de photographies commandé par la Compagnie Parisienne d'Électricité. Cet ensemble de rayogrammes a pour objectif la promotion de l'électricité à usage domestique, en tant que symbole de la modernité[14].

À Montparnasse, durant vingt ans, Man Ray révolutionne l'art photographique. Les grands artistes de son temps posent sous son objectif, comme James Joyce, Gertrude Stein ou Jean Cocteau. Il contribue à valoriser l'œuvre d'Eugène Atget qu'il fait découvrir aux surréalistes et à son assistante Berenice Abbott. Avec le groupe surréaliste, il participe d'octobre à au 6e Salon des surindépendants[15].

 
Salvador Dalí et Man Ray photographiés par Carl Van Vechten à Paris en 1934.

En 1934, Meret Oppenheim pose pour Man Ray ; cette série de photographies de nus devient l'une de ses séries les plus célèbres.

Fin 1934, au bal nègre de la rue Blomet, il fait la connaissance de la jeune guadeloupéenne Adrienne Fidelin[16],[17]. Il a 46 ans et elle presque 20. Elle devient sa compagne, son modèle et sa muse. Inséparables, Man Ray l'introduit dans son cercle d'amis artistes et écrivains, adeptes du surréalisme, mouvement alors en vogue. Dans son autobiographie, Man Ray décrit le groupe constitué par Pablo Picasso, Dora Maar, Paul Éluard et Nusch Éluard, Max Ernst et Leonora Carrington, ainsi que Lee Miller et Roland Penrose, André Breton[16]. C'est ainsi le début d'une histoire d'amour de cinq années étroitement mêlée à une vie artistique intense, au sein de la communauté surréaliste[18]. Adrienne Fidelin prend alors le nom d'Ady Fidelin[16]. C'est l'une des membres les plus fascinants de l’avant-garde internationale[19].

Hollywood

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En 1940, après la défaite de la France, et inquiété du fait de ses origines juives, Man Ray parvient à rejoindre Lisbonne et s'embarque pour les États-Unis en compagnie de Salvador et Gala Dalí ainsi que du cinéaste René Clair. Après quelques jours passés à New York, il gagne la côte ouest avec le projet de quitter le pays pour Tahiti où il resterait quelques années.

Arrivé à Hollywood, il reçoit des propositions d'exposition et rencontre dans un night-club sa deuxième femme, la danseuse et mannequin d'origine roumaine (en)Juliet Browner[18],[20] avec laquelle il se marie en 1946[21], et décide de se remettre à peindre. Installé à Los Angeles, il peint notamment des sculptures mathématiques qu'il avait découvertes et photographiées à l'institut Henri Poincaré dans les années 1930, donnant à chacune d'elles le titre d'une œuvre de Shakespeare[22].

Retour à Paris

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En 1951, il revient à Paris et habite par la suite à l'hôtel Istria, au 31 bis, rue Campagne-Première[23]. Cette même année, il expérimente la photographie en couleur dans son atelier du 2 bis rue Férou[10],[24].

Il devient satrape du Collège de 'Pataphysique en 1963, année où il publie son autobiographie Self-Portrait[25].

Il meurt à Paris le et est inhumé au cimetière du Montparnasse (7e division). Sa tombe porte l'épitaphe : « Unconcerned, but not indifferent » (« Détaché, mais pas indifférent »).

Entre le 18 et le , la tombe de Man Ray est profanée à cinq reprises [26]. Le médaillon représentant le couple est brisé et la stèle de son épouse Juliet Man Ray née Browner (1911-1991) est détruite.

Œuvres

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  • Autoportrait, assemblage, 1916[27]
  • Boardwalk, 1917[28]
  • Cadeau, fer à repasser garni de clou sur la semelle, 1921[29]
  • Objet indestructible, 1923[30],[31]
  • The Fisherman's Idol , 1926, morceaux de liège récupérés sur la plage de Biarritz puis assemblés[32]
  • Les Vingt jours et nuits de Juliette, 1952, paravent[33]
  • Boule de neige[34]

Photographie

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Marcel Duchamp en Rrose Sélavy (1921), photographie de Man Ray.

Peinture

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Ouvrages et monographies

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  • Revolving doors, Paris, Éditions Surréalistes, 1917.
  • Les Champs délicieux, Paris, hors commerce, 1922.
  • Man Ray photographs 1920-1934, James Thrall Soby.
  • Facile, poèmes de Paul Eluard, une photographie de Man Ray en frontispice, Paris, Éditions Guy Lévis Mano, 1935.
  • La Photographie n'est pas l'art : 12 photographies, Paris, Éditions Guy Lévis Mano, 1937, avec un avant-propos d'André Breton, Convulsionnaires[65].
  • Alphabet for adults, Beverly Hills, California, Copley Galleries, 1948.
  • Photographs-Portraits, Paris, Édition Prisma.
  • Self Portrait, Londres, André Deutsch, 1963 ; Autoportrait, traduit de l'américain par Anne Guérin, Paris, Robert Laffont, 1964 ; réédité chez Seghers, 1986, disponible sur Internet Archive

Distinctions

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Expositions

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Hommages

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Notes et références

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  1. « http://archivesetdocumentation.centrepompidou.fr/ead.html?id=FRM5050-X0031_0000171 » (consulté le )
  2. « https://primo.getty.edu/primo-explore/fulldisplay?vid=GRI&docid=GETTY_ALMA21131584000001551&context=L »
  3. Son pseudonyme emprunte trois lettres à son prénom et trois à son nom, et signifie littéralement « homme rayon » (de lumière), ce qui doit être entendu comme « l'homme qui écrit avec la lumière », c'est-à-dire le sens étymologique du mot « photographe ».
  4. Acte de décès (avec date et lieu de naissance) à Paris 6e, n° 262, vue 6/11.
  5. « Man Ray (Emmanuel Radnitzky, dit) », sur Centre Pompidou (consulté le ).
  6. Paul Paul Avrich Collection, Anarchist voices : an oral history of anarchism in America, AK Press, (ISBN 1-904859-27-5 et 978-1-904859-27-7, OCLC 64098230, lire en ligne)
  7. (en) Jules Heller, North American Women Artists of the Twentieth Century : a Biographical Dictionary., Routledge, (ISBN 1-306-37471-5, 978-1-306-37471-2 et 978-1-315-05168-0, OCLC 868964311, lire en ligne)
  8. (en) Neil Baldwin, Man Ray, American artist, Da Capo Press, (ISBN 0-306-81014-X et 978-0-306-81014-5, OCLC 46887930, lire en ligne)
  9. « Man Ray », dans Encyclopædia Universalis (lire en ligne).
  10. a b c d e f g h et i « Qui est Man Ray ? », sur museeduluxembourg.fr (consulté le ).
  11. Valérie Duponchelle, « Man Ray, l'homme au double visage », Le Figaro, encart « Le Figaro et vous », 17 février 2018, page 32.
  12. X. Rockenstrocly, dir. C. Martin, Henri-Pierre Roché : profession écrivain - Thèse de doctorat, III, B, 1, Université Lyon-II, Lyon, 1996.
  13. Guy Duplat, « Couples d'artistes : Lee Miller et Man Ray », La Libre Belgique,‎ .
  14. (en) Jeff L. Rosenheim, « Electricité », sur MetMuseum (consulté le ).
  15. Agnès De La Beaumell, Alberto Giacometti, le dessin à l'œuvre, Paris, Éditions du Centre Pompidou, 2001, 256 p. (ISBN 9782844260109).
  16. a b et c Wendy A Grossman et Sala Patterson, « Adrienne Fidelin », sur academia.edu, in Le modèle noir, Musée d’Orsay/Flammarion, Paris, pages 306-311, (consulté le ).
  17. « Une femme dans la lumière - Ép. 1/2 - Adrienne Fidelin », sur France Culture (consulté le ).
  18. a et b « Une muse oubliée ? - Ép. 2/2 - Adrienne Fidelin », sur France Culture (consulté le ).
  19. (en-US) Sala Elise Patterson, « Yo, Adrienne », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le ).
  20. https://www.getty.edu/education/teachers/classroom_resources/curricula/performing_arts/downloads/juliet_dancing.pdf
  21. (en-US) Peter B. Flint, « Juliet Man Ray, 79, The Artist's Model And Muse, Is Dead », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  22. Fabrice Nicot et Olivier Lascar, « Man Ray et les équations shakespariennes », Sciences et Avenir, .
  23. Collectif, Étrangers célèbres et anonymes du 14e arrondissement, Mairie du 14e, octobre 2011, p.8.
  24. François Lévy-Kuentz, « Man Ray, 2 bis rue Férou », Documentaire de 22 min [vidéo], (consulté le ).
  25. Man Ray, Self portrait, Little, Brown, (ISBN 0-8212-2474-3 et 978-0-8212-2474-8, OCLC 39887154, lire en ligne)
  26. https://www.lefigaro.fr/arts-expositions/la-tombe-de-l-artiste-surrealiste-man-ray-saccagee-au-cimetiere-du-montparnasse-a-paris-20190327, Le Figaro, 23 mars 2019
  27. « Autoportrait, 1916 », sur Centre Pompidou (consulté le ).
  28. « Boardwalk - 1917 », sur Centre Pompidou (consulté le ).
  29. (en-GB) Tate, « ‘Cadeau’, Man Ray, 1921, editioned replica 1972 », sur Tate (consulté le ).
  30. (en-GB) Tate, « ‘Indestructible Object’, Man Ray, 1923, remade 1933, editioned replica 1965 », sur Tate (consulté le ).
  31. « Indestructible Object », sur Philadelphia Museum of Art.org (consulté le ).
  32. (en) « SAAM Linked Open Data », sur edan.si.edu (consulté le ).
  33. « Les vingt jours et nuits de Juliette », sur Centre Pompidou (consulté le ).
  34. Reproduction dans Beaux Arts magazine no 68, mai 1989, p. 115.
  35. « Three Heads | Object:Photo | MoMA », sur moma.org (consulté le ).
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  48. « René Crevel | Centre Pompidou », sur centrepompidou.fr (consulté le ).
  49. « Juliet Man Ray | Centre Pompidou »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur centrepompidou.fr (consulté le ).
  50. « L'énigme d'Isidore Ducasse | Centre Pompidou »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur centrepompidou.fr (consulté le ).
  51. « Marcel Proust sur son lit de mort | Centre Pompidou »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur centrepompidou.fr (consulté le ).
  52. Paris, MNAM. Reproduction dans Connaissance des arts no 658, mars 2008, p. 83.
  53. « Noire et blanche | Centre Pompidou »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur centrepompidou.fr (consulté le ).
  54. Reproduit en couverture de Lettres à Denise Lévy de Simone Breton, éditions Joëlle Losfeld, Paris, 2005
  55. (en) Adina Kamien-Kazhdan, « Man Ray’s Surrealist Chessboard », dans Manuel Segade (es) (dir.), Endgame : Duchamp, chess and the avant-garde (exposition, Fondation Joan Miró), Fundació Joan Miró, (ISBN 978-84-16411-20-7, lire en ligne)
  56. Quentin Bajac (dir.) et Clément Chéroux (dir.), La Subversion des images : surréalisme, photographie, film (exposition), Centre Pompidou, (ISBN 978-2-84426-390-2), « La photographie par tous, et non par un », p. 26, 48 et 471.
  57. Le Retour à la raison sur Ubu.com [vidéo]
  58. Emak-Bakia sur Ubu.com [vidéo]
  59. Les Mystères du château de Dé sur vimeo.com [vidéo]
  60. Collection Sylvio Perlstein, Anvers. Reproduction dans Giovanni Lista, Dada libertin & libertaire, Paris, L'Insolite, 2005, p. 67.
  61. « Man Ray », sur Universalis.fr (consulté le ).
  62. [1], Gilles Denis, "Enchères - Dans l'intimité de Man Ray"Le Point lifestyle, 28 février 2021.
  63. Reproduction dans Artpress 2, no 13, mai 2009, p. 11.
  64. « Philadelphia Museum of Art », sur philamuseum.org (consulté le ).
  65. Marguerite Bonnet, André Breton, œuvres complètes t. 1 : notes, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, Paris, 1988, p. 1965.
  66. Progress Medal
  67. Michel Conil Lacoste, « Le génie rhapsodique de Man Ray », Le Monde,‎ (lire en ligne  ).
  68. pinacotheque.com.
  69. « Man Ray et la mode, à Cantini et au musée Borély », sur culture.marseille.fr.
  70. « Exposition temporaire », sur Ville d'Hyères les Palmiers, (consulté le ).

Voir aussi

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Bibliographie

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Archives

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Filmographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Bases de données et dictionnaires

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