Lormaison

commune française du département de l'Oise

Lormaison est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France (anc. Picardie)[1],[2],[3].

Lormaison
Lormaison
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes des Sablons
Maire
Mandat
Philippe Fremont
2020-2026
Code postal 60110
Code commune 60370
Démographie
Gentilé Lormaisonnais, Lormaisonnaises
Population
municipale
1 317 hab. (2021 en évolution de +1,54 % par rapport à 2015)
Densité 264 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 27″ nord, 2° 06′ 23″ est
Altitude Min. 102 m
Max. 153 m
Superficie 4,98 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Méru
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Lormaison
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Lormaison
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Lormaison
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Lormaison

Géographie

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Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[4],[Carte 1].

 
Réseau hydrographique de Lormaison[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 670 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 17 km à vol d'oiseau[7], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Lormaison est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,2 %), zones urbanisées (9,7 %), forêts (0,2 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La commune est desservie, en 2023, par la ligne E du réseau Sablons Bus et par les lignes 6112, 6121, 6131, 6132, 6138 et 6144 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Hugo de Lupi domibus (vers 1100) ; Lormesons (1165) ; Anculfus de Lormaisons (1165) ; Guillelmus de leumeisons (vers 1200) ; Willelmus de lormesons (1210) ; de lor mesons (1210) ; Galterus de leu meisons (vers 1200) ; Guillerm de Leurmaisons (1238) ; Petrum de Loesmesons (1239) ; Loumeseus (1245) ; Balduini de Lormesons (1246) ; Petrus de Lormesons (1246) ; Hugo de Lupidomibus (1248) ; de Lupi domibus (1255) ; Lupi domus (1256) ; de Lupidibus (1265) ; Adam de Leumesons (1275) ; Stephano de Lourmessons (1283) ; Leurmesons (1296) ; Leumeisons (XIIIe) ; Leumaisons (XIIIe) ; Laumesons (XIIIe) ; Leur mesons (1300) ; Perrenelle de leur mesons (1331) ; Estienot de leurs maisons (1376) ; Leurmaison (1390) ; Étienne de leursmaisons (1394) ; Lourmaisons (1405) ; Leur mesouz (1405) ; Leurs maisons (1410) ; Leumai(sons) (1417) ; de domibus illomen (1470) ; Leurmaysons (1496) ; Lès nos maisons (1631) ; L'Ormaison (1667) ; Lorsmaisons (XVIIe) ; Leurmaisons (XVIIe) ; Lormaison (1840)[15].

Composé du latin mansionnes et du picard leu pour « (la) maison de loup », loup pouvant-être un nom de personne[16], ou un surnom[17]. Lupidomus en latin, dont la forme Leumaison, fut comprise « Leur Maison », d'où Lormaison, qui n'a plus aucun sens[17].

Histoire

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Lucien David, curé de Lormaison

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Fin 1789, par décision royale, la réunion des États Généraux est prescrite pour le  ; entre-temps, des convocations pour l'élection des représentants des trois ordres (noblesse, clergé et tiers état) ainsi que les modalités de vote sont diffusées très largement dans les communautés du canton. La région étant alors divisée en quatre secteurs : le Beauvaisis, le Valois, le Vexin Français et le Noyonnais. Lormaison, comme Méru, Andeville, Lardières, Corbeil-cerf se trouvait rattachée au bailliage de Beauvais.

Dès le début mars de cette année 1789 est fixé le début des réunions électorales, beaucoup de candidats dans la noblesse et le clergé se désistent et se font représenter. Le tiers état plus motivé par cet avènement prépare ses revendications, vœux et doléances dans des cahiers qu'il transmettra aux représentants élus pour défendre ses intérêts auprès des plus hautes instances qui seront dès lors en place.

À l'issue du vote, Lucien David, curé de Lormaison de 1767 à 1793, obtint la majorité de voix au premier tour de scrutin, fut ainsi élu représentant du canton et député aux États Généraux (6 000 000 de personnes ont participé au vote dans toute la France). Cet enfant de la région, né à Beauvais le , fils de meunier, allait participer à l'ouverture des États Généraux les 4 et (un parmi les 578 députés élus du tiers état) puis à la lecture et l'étude des cahiers de doléances reçus au bailliage de Beauvais. Ces cahiers ont trouvé leur finalité dans la déclaration des droits de l'homme et du citoyen lors de séances du 20 au et dans la définition de la Constitution française en séance du au .

Première Guerre mondiale

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D'après le livre du SHAA sur les escadrilles françaises, il y aurait eu un terrain d'aviation utilisé en 1918 occupé par les escadrilles 29, 68, 123, 129, 159, 161, 162 et 218.

Seconde Guerre mondiale

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Dans la nuit du au , l'avion Lancaster LM121 LS-C Sqn 15 RAF, parti de Mildenhall pour bombarder des ateliers ferroviaires vers Trappes, a été abattu par un chasseur de nuit piloté par Hptm Fritz Sothe dans la commune de Lormaison. sept personnes sont décédées cette nuit-là :

  • P/O P.C.L Dombrain RAAF
  • Sgt L.T.Gearing
  • F/S A.S.Long RAAF
  • F/S L.S.Jamieson RNZAF
  • Sgt R.G.Norris
  • F/S S.S.Nystrom RAAF
  • F/S F.B.Reid RAAF[18].

1966 Jumelage entre Lormaison et Uttershausen (Allemagne)

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Dans les premières années, la commune jumelée n'était pas Wabern (Schwalm-Eder ; au sud de Kassel) avec ses 3 000 habitants, mais Uttershausen qui en est aujourd'hui une partie. En 1966, Uttershausen et Lormaison avaient à peu près le même nombre d'habitants sur une superficie pareille. Ceux d'Uttershausen étaient même un peu plus nombreux que les Lormaisonnais (650 contre 500)[19].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de l'Oise.

Elle fait partie depuis 1793 du canton de Méru[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 20 à 16 communes.

Intercommunalité

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La commune fait partie de la communauté de communes des Sablons, créée en 2000.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 2001[21] Guy Dugendre   Cadre Aéroports de Paris retraité
mars 2001[21] En cours
(au 10 septembre 2014)
Jean-Pierre Lagny   Cadre bancaire retraité
Réélu pour le mandat 2014-2020[22]

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 1 317 habitants[Note 3], en évolution de +1,54 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
361385377336341365379378365
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
345363347315304338348393422
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
471615688533584501468460476
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
4885676399581 1671 3711 3281 3181 280
2018 2021 - - - - - - -
1 3101 317-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 653 hommes pour 657 femmes, soit un taux de 50,15 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,5 
3,2 
75-89 ans
4,1 
15,2 
60-74 ans
17,0 
23,3 
45-59 ans
23,4 
20,2 
30-44 ans
20,4 
17,0 
15-29 ans
15,4 
21,0 
0-14 ans
19,2 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Sainte-Marguerite du XVe siècle.
  • Château du XIXe siècle, actuelle mairie.
  • Deux colombiers.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
D'azur au chevron d'or chargé des trois gerbes de blé de sable, accompagné en chef de deux châteaux d'argent ouverts du troisième et en pointe d'un loup aussi d'argent et au chef cousu de gueules chargé de trois coquilles du dernier[28].
Devise
Fais ce que tu dois
Détails
Il traduit trois périodes historiques importantes de la commune au cours des siècles passés à savoir :
  • en pointe : la période gallo-romaine ou le village nommé lupidomus était une clairière située sur une butte très boisée à proximité d'une voie romaine, l'une des liaisons que César emprunta surement d'Osny/Pontoise (95) pour livrer bataille aux Bellovaques (habitants de Beauvais) ; cette voie romaine appelée aujourd'hui "Chemin de la Reine Blanche".
  • en chef : la période de 1915/1917, grandes grèves des boutonniers de Méru (à cette époque capitale du travail de la nacre: éventails, dominos, bijoux, boutons, etc.) et des villages environnants dont LORMAISON. Le maire de l'époque, M. Troisœufs (représenté sur le blason par trois coquilles de nacre sur couleur sang), fait réprimer par la force les contestataires se rendant à Méru au meeting organisé par Jean-Baptiste Platel et Marie-la-Rouge ;
  • la commune est située aux environs du trajet emprunté par les templiers (Gisors/Chambly) pour escorter et protéger les pèlerins partants pour Saint-Jacques de Compostelle. Les deux châteaux sont symbolisés par les châteaux de Castille pour rappeler que les Espagnols étaient présents en Flandre et apportaient leur soutien aux évêques de Beauvais. Le château de Lormaison fut rasé en 1569 par La Noue au service d'Henri IV ; les ligueurs du duc de Guise étant réunis en ses murs (le château fut incendié et démoli jusqu'à la dernière pierre), l'autre château, devenu mairie actuellement, est l'ancienne demeure d'un négociant en cotonnades des années 1800[29].
Ce blason a été réalisé et déposé par Mr DUGENDRE Guy (Maire 1983/2001) et accepté par l'association « Maintenance héraldique de France » "au registre de picardie" (brevet délivré le 16 avril 1988).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Lormaison » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. LOI n° 2015-29 du 16 janvier 2015
  2. Ministère de l'Intérieur.
  3. Conseil Constitutionnel
  4. « Fiche communale de Lormaison », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Lormaison et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Lormaison ».
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Lormaison », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 315.
  16. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 90.
  17. a et b Jean Blottière, Surnoms et patronymes du XIe au XIIIe siècle dans le Vexin français, le Pinserais et le Mantois, coll. « Revue internationale d'onomastique », , p. 39.
  18. « Lancaster LM121 », sur aerosteles.net (consulté le ).
  19. « noeding.info/Lormaison/livre2.… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. a et b P. C., « Jean-Pierre Lagny à Lormaison. … », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « A 52 ans, ancien adjoint de Guy Dugendre, il succède à ce dernier au poste de maire ».
  22. « Les maires élus et réélus avec les nouveaux conseils municipaux installés », L'Écho du Thelle, no 523,‎ , p. 12.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lormaison (60370) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  28. http://www.genealogie-bisval.net/blasons_communes_oise/L/lormaison.html
  29. Guy Dugendre (maire 1983-2001), note sur le blason.